Une poignée d’employés de Google a publiquement exigé mardi que le géant d’internet abandonne un projet de moteur de recherche en Chine, respectant les règles de censures imposées par Pékin à ses internautes.
Le projet, connu sous le nom de “Dragonfly” et dont le PDG de Google Sundar Pichai a reconnu l’existence en octobre et l’a justifiée par le fait qu’il valait mieux offrir un moteur de recherche performant mais avec des restrictions que de laisser les Chinois avec des outils moins bons.
“Notre opposition à Dragonfly n’a rien à voir avec la Chine: nous sommes opposés aux technologies qui aident les puissants à opprimer les plus vulnérables, où que ce soit“, peut-on lire dans cette lettre signée par 90 employés et appelant leurs collègues à se joindre à eux.
“Dragonfly en Chine établirait un dangereux précédent à un moment d’incertitude politique, un précédent qui empêcherait Google de refuser des concessions similaires à d’autres pays“, poursuit la lettre.
Achat sur Internet a prix discount de batteries , chargeurs et de produits ordinateur portable adaptateur secteur, Achat d'une grande variété de batterie. Vente de Batteries pour ordinateurs portables, batteries de téléphone portable, des outils de batterie. Achat immédiat 30% de réduction!
Thursday, November 29, 2018
Wednesday, November 28, 2018
Sony envisage une nouvelle console avec des cartouches de jeux
Un brevet déposé par Sony indique que le géant japonais pourrait revenir sur le marché des consoles portables…
Un brevet déposé l’année dernière par Sony auprès de l’organisme de la propriété intellectuelle en Corée du Sud vient d’être rendu public. Le document, publié sur le site Techtastic, décrit un support de stockage média en forme de cartouche sur lequel est inscrit “Electronic Game Cartridge”.
Sony, qui est pour rappel à l’origine du format Blu-ray, ayant jusqu’à présent privilégié le support de ses jeux sur disque et le dématérialisé prenant de plus en plus d’importance, on penserait plutôt à un module destiné à une éventuelle console portable, qui succèderait alors à la Playstation Vita. Mais cette dernière a été un échec pour Sony, qui n’a réussi à en épuiser que 16 millions d’exemplaires dans le monde.
Néanmoins, le succès de la Switch est en mesure de faire des envieux, et peut-être que Sony réfléchit à inclure un tel support cartouche dans une console hybride, qui pourrait à la fois être utilisée chez soi et en déplacement. Quoiqu’il en soit, un brevet n’est pas toujours synonyme de concrétisation, mais la diffusion de celui-ci ouvre encore plus le champ des possibles quant à l’avenir vidéoludique que nous réserve Sony.
Un brevet déposé l’année dernière par Sony auprès de l’organisme de la propriété intellectuelle en Corée du Sud vient d’être rendu public. Le document, publié sur le site Techtastic, décrit un support de stockage média en forme de cartouche sur lequel est inscrit “Electronic Game Cartridge”.
Sony, qui est pour rappel à l’origine du format Blu-ray, ayant jusqu’à présent privilégié le support de ses jeux sur disque et le dématérialisé prenant de plus en plus d’importance, on penserait plutôt à un module destiné à une éventuelle console portable, qui succèderait alors à la Playstation Vita. Mais cette dernière a été un échec pour Sony, qui n’a réussi à en épuiser que 16 millions d’exemplaires dans le monde.
Néanmoins, le succès de la Switch est en mesure de faire des envieux, et peut-être que Sony réfléchit à inclure un tel support cartouche dans une console hybride, qui pourrait à la fois être utilisée chez soi et en déplacement. Quoiqu’il en soit, un brevet n’est pas toujours synonyme de concrétisation, mais la diffusion de celui-ci ouvre encore plus le champ des possibles quant à l’avenir vidéoludique que nous réserve Sony.
Tuesday, November 27, 2018
Shadow : tout savoir sur le PC du futur dans le cloud
Lancé en 2017, le Shadow PC est un projet de cloud computing made in France. La société Blade souhaite révolutionner le marché des PC en proposant une solution complète et évolutive à distance. Grâce à Shadow, vous pouvez utiliser un PC au top sur n’importe quel appareil, partout, tout le temps. On vous dit tout sur cette solution du futur.
En 2017, un groupe de quatre jeunes français, sans doute un peu rêveurs, se lançaient dans une aventure folle : lancer un PC entièrement dématérialisé (appelé cloud computing). Face aux évolutions rapides de la technologie les PC traditionnels deviennent vite obsolètes. En parallèle, les solutions dans le cloud se développent. Le déploiement de la fibre optique et l’arrivée de la 5G accélèrent le processus. Les utilisateurs ont également des besoins en mobilité. Les services dans le cloud semblent être une solution idéale.
Cette poignée de joyeux optimistes a donc fondé la société Blade et développé le Shadow PC. En 18 mois, et grâce à plusieurs levées de fonds, l’équipe est passée de 10 à près de 200 salariés. Elle compte exactement 170 salariés, dont 140 en France, centre névralgique du développement de Shadow. La trentaine d’autres aventuriers est basée à Los Angeles, dans la Silicon Valley. Fin 2018, Blade a lancé une nouvelle campagne de recrutement : une trentaine de talents sont attendus pour répondre aux besoins des quelque 45 000 utilisateurs. Et ce n’est qu’un début. Car Shadow a tout le potentiel pour révolutionner le marché du PC.
Nous avons visité les bureaux de Blade en France, découvert l’envers du décor, rencontré les équipes Shadow. Voici tout ce qu’il faut savoir sur le Shadow PC.
Graphistes, vidéastes, photographes, architectes, concepteur 3D ou simplement power users, des millions de personnes ont besoin d’un ordinateur très performant. Et rester dans la course implique des coûts de plus en plus élevé. Prenons pour exemple le Macbook Pro Retina de fin 2013 avec lequel cet article est écrit : acheté 1750 euros début 2014, il faut compter 3200 euros en 2018 pour s’offrir une configuration répondant aux mêmes besoins.
Concrètement, pour accéder à Shadow, il suffit d’avoir un PC, un Mac, une tablette, un smartphone ou une Shadow box pour accéder à votre Shadow PC. Moyennant un abonnement mensuel, on accède à un PC au top des performances même depuis un ordinateur vieillissant (le Macbook Pro Retina de 2013) par exemple.
Attention, il ne s’agit pas de cloud gaming, mais bien d’une solution permettant d’accéder à un ordinateur, sous Windows 10, à distance. Chaque utilisateur dispose d’un PC complet, réservé, sécurisé dans les data centers de Shadow. Yannis Weinbach, directeur marketing de Blade, déclarait lors de la présentation de Shadow :
Il s’agit de proposer l’accès à un PC complet se trouvant dans un data center à 1500 km au maximum de chez vous.
Notons que chaque machine est en partie partagée (processeur et mémoire vive). Mais chaque utilisateur a sa propre carte graphique, son propre stockage et ses propres composants.
Pour ceux souhaitant avoir une installation comparable à un PC fixe, l’entreprise a créé la Shadow box. Il s’agit d’un boîtier au format très compact, et au design particulièrement soigné. En plus de sa faible consommation d’énergie, il dispose d’une connectique complète afin d’y brancher écran, clavier, souris, casque, disques durs, etc. On compte :
Shadow dispose d’une équipe dédiée à la R&D en France. Son principal objectif est d’obtenir l’image la plus qualitative possible en consommant le moins de données internet possible. Et Shadow semble disposer de sacrés talents. En un an et demi, l’entreprise a réussi à optimiser sa solution de manière spectaculaire. Elle a même breveté certaines de ses techniques.
La latence en jeux par exemple (temps de réaction entre le moment où on clique et le moment ou l’action s’effectue) se rapproche de plus en plus de celle d’un PC classique. Régulièrement, Shadow invite des joueurs professionnels pour tester son service. Des équipes d’Overwatch ou encore CS:GO sont unanimes : il n’y a aucune différence perceptible.
Pour le jeu en ligne, la solution de Shadow est même plus efficace qu’un PC classique. Dès lors qu’on lance un jeu en ligne, on utilise la connexion des serveurs et non celle du domicile. Autant dire que l’on atteint des scores hallucinants de débit, de latence et de ping.
Les jeux les plus puissants et les plus exigeants graphiquement tournent parfaitement : The Witcher 3, jeu de référence sur PC, est une merveille et fonctionne aussi bien, voire mieux, que sur un PC classique. Le Shadow PC est une vraie machine de guerre.
Lors de notre visite chez Shadow en septembre 2018, les développeurs nous expliquaient avoir réussi à rendre le service encore plus accessible. Les foyers dont les débits sont de 5 Mb/s ou plus peuvent utiliser Shadow. Certes, la qualité n’est pas optimale, mais le service est accessible. Shadow fonctionne également en 4G qui a l’avantage d’afficher d’excellents débits.
De son côté, l’entreprise stocke les données des utilisateurs dans des data centers ultra-sécurisés et situés près des utilisateurs. En France par exemple les serveurs sont à Marcoussis. Le flux vidéo, lui, est chiffré.
Selon les fondateurs de Shadow leur solution est plus sécurisée qu’un PC traditionnel. Car avant de s’attaquer à la machine de l’utilisateur, le hacker devra d’abord faire sauter la défense du data center.
Avec sa configuration actuelle, un Shadow PC équivaut à un ordinateur vendu 1500 euros. Ajoutons à cela l’économie d’électricité réalisée par la Shadow box. Elle ne consomme que 15 Watts soit 8 à 10 euros par an. À titre de comparaison, un PC classique consomme 150 à 250 Watts soit 100 euros par an. On obtient donc une offre Shadow box à 1210 euros pour un équivalent PC classique à 1600 euros.
Le Shadow PC présente d’autres avantages : il ne peut pas être volé, les réparations sont prises en charge gratuitement par l’entreprise et le PC est évolutif. Tous les 18 ou 24 mois, votre Shadow PC se dote des composants dernier cri pour toujours être au top. On vous avait dit que c’était une révolution.
En 2017, un groupe de quatre jeunes français, sans doute un peu rêveurs, se lançaient dans une aventure folle : lancer un PC entièrement dématérialisé (appelé cloud computing). Face aux évolutions rapides de la technologie les PC traditionnels deviennent vite obsolètes. En parallèle, les solutions dans le cloud se développent. Le déploiement de la fibre optique et l’arrivée de la 5G accélèrent le processus. Les utilisateurs ont également des besoins en mobilité. Les services dans le cloud semblent être une solution idéale.
Cette poignée de joyeux optimistes a donc fondé la société Blade et développé le Shadow PC. En 18 mois, et grâce à plusieurs levées de fonds, l’équipe est passée de 10 à près de 200 salariés. Elle compte exactement 170 salariés, dont 140 en France, centre névralgique du développement de Shadow. La trentaine d’autres aventuriers est basée à Los Angeles, dans la Silicon Valley. Fin 2018, Blade a lancé une nouvelle campagne de recrutement : une trentaine de talents sont attendus pour répondre aux besoins des quelque 45 000 utilisateurs. Et ce n’est qu’un début. Car Shadow a tout le potentiel pour révolutionner le marché du PC.
Nous avons visité les bureaux de Blade en France, découvert l’envers du décor, rencontré les équipes Shadow. Voici tout ce qu’il faut savoir sur le Shadow PC.
Le Shadow PC, c’est quoi ?
Shadow naît d’un projet complètement fou. Celui de dématérialiser le PC. Plus besoin de tour, de PC portable dernier cri. Les quatre fondateurs souhaitaient dans un premier temps séduire les gamers. L’idée était de proposer un PC surpuissant dans le nuage afin de pouvoir y accéder même avec un ordinateur fatigué. Rapidement, Blade a visé plus large. Les gamers ne sont pas les seuls à avoir besoin de puissance.Graphistes, vidéastes, photographes, architectes, concepteur 3D ou simplement power users, des millions de personnes ont besoin d’un ordinateur très performant. Et rester dans la course implique des coûts de plus en plus élevé. Prenons pour exemple le Macbook Pro Retina de fin 2013 avec lequel cet article est écrit : acheté 1750 euros début 2014, il faut compter 3200 euros en 2018 pour s’offrir une configuration répondant aux mêmes besoins.
Concrètement, pour accéder à Shadow, il suffit d’avoir un PC, un Mac, une tablette, un smartphone ou une Shadow box pour accéder à votre Shadow PC. Moyennant un abonnement mensuel, on accède à un PC au top des performances même depuis un ordinateur vieillissant (le Macbook Pro Retina de 2013) par exemple.
Attention, il ne s’agit pas de cloud gaming, mais bien d’une solution permettant d’accéder à un ordinateur, sous Windows 10, à distance. Chaque utilisateur dispose d’un PC complet, réservé, sécurisé dans les data centers de Shadow. Yannis Weinbach, directeur marketing de Blade, déclarait lors de la présentation de Shadow :
Il s’agit de proposer l’accès à un PC complet se trouvant dans un data center à 1500 km au maximum de chez vous.
Une configuration toujours au top
Lancé en 2017, le Shadow PC disposait à ses débuts d’une configuration au top. Après un an et demi d’existence, Shadow a déjà mis à jour ses machines. Car l’autre grande force de Shadow est son suivi. Le credo de la marque : proposer un PC toujours au top des performances. Elle modifie donc la configuration au fil du temps, selon les besoins des utilisateurs, et sans surcoûts (tous les 18 à 24 mois environ). À l’heure où nous écrivons ces lignes, la configuration d’un Shadow PC correspond à celle d’un PC à 1500 euros :- Processeur Intel Xeon (4 coeurs, 8 threads dédiés) : Shadow assure que c’est un équivalent à l’Intel Core i7
- Carte graphique NVIDIA GeForce GTX 1080 (haut de gamme)
- 12 GB de RAM
- 256 Go de stockage hybride SSD/HDD extensible à 1 To (option payante)
- Une licence Windows 10
Notons que chaque machine est en partie partagée (processeur et mémoire vive). Mais chaque utilisateur a sa propre carte graphique, son propre stockage et ses propres composants.
Shadow est accessible partout, tout le temps
Le grand défi de Blade était de proposer un accès simple à Shadow, depuis le plus grand nombre de machines possible. Android étant le système d’exploitation mobile le plus répandu, Shadow a donc développé une application en plus de logiciels Windows et Mac. Cerise sur le gâteau, l’application Shadow pour Android est compatible Android TV. À l’heure où nous écrivons ces lignes, Shadow travaille sur une application pour iOS et Linux. On peut donc accéder à un PC complet surpuissant depuis un PC, une tablette, un smartphone ou une TV.Pour ceux souhaitant avoir une installation comparable à un PC fixe, l’entreprise a créé la Shadow box. Il s’agit d’un boîtier au format très compact, et au design particulièrement soigné. En plus de sa faible consommation d’énergie, il dispose d’une connectique complète afin d’y brancher écran, clavier, souris, casque, disques durs, etc. On compte :
- 2 ports USB 3.0
- 2 ports USB 3.0
- 2 ports Display Port
- 1 port Ethernet
- 1 connectique audio (entrée et sortie)
Qualité d’image, débits et latence
Shadow ne s’en cache pas : la qualité du service dépend énormément des débits internet. Il y a donc une grande différence entre ce que Shadow est capable de faire et ce qu’il fait vraiment, en fonction de la connexion internet. Mais l’entreprise travaille chaque jour pour réduire au maximum le débit nécessaire au bon fonctionnement de son service.Qualité 4K à 60fps, 1 à 10 ms de latence
Le Shadow PC est capable d’afficher les contenus jusqu’en 4K sur la fréquence 60 Hz (144 Hz en Full HD ou en 1440p). Pour parvenir à cette prouesse, Shadow encode le flux vidéo en H.264 ou H.265. Oui, il s’agit bien d’un flux vidéo. En réalité, toute la prouesse technique de Shadow est de diffuser un flux vidéo du PC distant depuis les serveurs vers l’utilisateur.Shadow dispose d’une équipe dédiée à la R&D en France. Son principal objectif est d’obtenir l’image la plus qualitative possible en consommant le moins de données internet possible. Et Shadow semble disposer de sacrés talents. En un an et demi, l’entreprise a réussi à optimiser sa solution de manière spectaculaire. Elle a même breveté certaines de ses techniques.
La latence en jeux par exemple (temps de réaction entre le moment où on clique et le moment ou l’action s’effectue) se rapproche de plus en plus de celle d’un PC classique. Régulièrement, Shadow invite des joueurs professionnels pour tester son service. Des équipes d’Overwatch ou encore CS:GO sont unanimes : il n’y a aucune différence perceptible.
Pour le jeu en ligne, la solution de Shadow est même plus efficace qu’un PC classique. Dès lors qu’on lance un jeu en ligne, on utilise la connexion des serveurs et non celle du domicile. Autant dire que l’on atteint des scores hallucinants de débit, de latence et de ping.
Les jeux les plus puissants et les plus exigeants graphiquement tournent parfaitement : The Witcher 3, jeu de référence sur PC, est une merveille et fonctionne aussi bien, voire mieux, que sur un PC classique. Le Shadow PC est une vraie machine de guerre.
La fibre c’est mieux, mais pas obligatoire
Pour pouvoir utiliser Shadow dans les meilleures conditions, la fibre est bien évidemment la meilleure solution. Les jeux sont fluides, sans latence, en qualité d’image optimale. Aucun problème pour jouer sur des écrans 4K en qualité maximale. Conscient que la fibre est loin d’être démocratisée, Shadow s’efforce d’optimiser son service pour les débits plus faibles. Fin novembre 2017, Shadow annonçait avoir travaillé sur des algorithmes de compression permettant d’utiliser le service dans des foyers connectés à l’ADSL à 20 Mb/s.Lors de notre visite chez Shadow en septembre 2018, les développeurs nous expliquaient avoir réussi à rendre le service encore plus accessible. Les foyers dont les débits sont de 5 Mb/s ou plus peuvent utiliser Shadow. Certes, la qualité n’est pas optimale, mais le service est accessible. Shadow fonctionne également en 4G qui a l’avantage d’afficher d’excellents débits.
Sécurité
Les données en ligne ont tendance à affoler le grand public. Pourtant, l’offre de Shadow est plus sécurisée que n’importe quel PC personnel. S’agissant d’un ordinateur à distance, chaque utilisateur doit protéger lui-même sa machine avec un antivirus ou tout autre logiciel de protection des données.De son côté, l’entreprise stocke les données des utilisateurs dans des data centers ultra-sécurisés et situés près des utilisateurs. En France par exemple les serveurs sont à Marcoussis. Le flux vidéo, lui, est chiffré.
Selon les fondateurs de Shadow leur solution est plus sécurisée qu’un PC traditionnel. Car avant de s’attaquer à la machine de l’utilisateur, le hacker devra d’abord faire sauter la défense du data center.
Prix et disponibilité
Shadow est une offre disponible sur abonnement. Trois formules sont proposées selon la période d’engagement :- 44,95 euros par mois sans engagement
- 34,95 euros par mois avec engagement de 3 mois
- 29,95 euros par mois avec engagement de 12 mois
Shadow est-il plus rentable qu’un PC classique ?
Là est toute la question. Shadow est-il une alternative viable ? Un petit calcul s’impose. Partons du principe qu’un ordinateur a une durée de vie de 3 ans (à son potentiel maximum, sans compter les réparations, changements de certains composants, etc.). Toutes les études valident ce taux de renouvellement. L’abonnement à Shadow sur 3 ans coûterait donc 1080 euros pour une offre avec engagement de 12 mois (30 € x 36mois = 1080 €). Supposons que vous souhaitiez pour une raison ou une autre utiliser la Shadow box vendue 120 euros. On obtient alors un total de 1200 euros pour trois ans.Avec sa configuration actuelle, un Shadow PC équivaut à un ordinateur vendu 1500 euros. Ajoutons à cela l’économie d’électricité réalisée par la Shadow box. Elle ne consomme que 15 Watts soit 8 à 10 euros par an. À titre de comparaison, un PC classique consomme 150 à 250 Watts soit 100 euros par an. On obtient donc une offre Shadow box à 1210 euros pour un équivalent PC classique à 1600 euros.
Le Shadow PC présente d’autres avantages : il ne peut pas être volé, les réparations sont prises en charge gratuitement par l’entreprise et le PC est évolutif. Tous les 18 ou 24 mois, votre Shadow PC se dote des composants dernier cri pour toujours être au top. On vous avait dit que c’était une révolution.
L’internet mobile est plus rapide que le Wi-Fi dans au moins 33 pays
Le bureau d’études OpenSignal a compilé les mesures de débit internet sur près de huit millions de smartphones à travers 80 pays. Il ressort que pour 33 d’entre eux, les données mobiles sont plus rapides que le Wi-Fi.
Les données mobiles sont-elles en passe de supplanter le Wi-Fi? La course des opérateurs vers des packs de data de plus en plus imposants prend en tout cas tout son sens à la lumière de cette étude.
Sur 80 pays mesurés, les données mobiles transitent plus rapidement qu’avec un réseau Wi-Fi dans 33 pays. Tous les continents sont concernés par ce dépassement, la différence la plus marquée s’observe en Australie où l’internet mobile enregistre une vitesse de téléchargement moyenne de 34,6 Mbps contre 21,6 Mbps pour le Wi-Fi. Le pays des kangourous est suivi par le Liban (+12,3 Mbps), le Qatar (+11,8 Mbps) et Oman (+11 Mbps).
En revanche, la Belgique n’affiche pas de différence significative entre ses débits mobile et Wi-Fi. Les données mobiles transitent même légèrement moins vite qu’en réseau local : 33,5 Mbps en moyenne contre 34,3 Mbps. L’étude permet toutefois de constater que notre pays fait partie des bons élèves en matière de débit, dont le classement est dominé par la Corée du sud, Singapour et la Norvège.
La différence de débit est encore plus frappante quand on ne s’intéresse qu’au réseau 4G. Si l’on ne prend en compte que ce protocole de télécommunication, l’internet mobile est plus rapide dans 50 des 80 pays étudiés, soit une proportion de 63%. La Belgique fait alors son entrée au classement, enregistrant un débit 4G supérieur de 4,2 Mbps au Wi-Fi. Pour les autres pays, l’écart se creuse : le Liban enregistre une différence de 25 Mbps, suivie par Oman (18,4 Mbps), le Qatar (+ 18,1 Mbps) et l’Australie (+ 17,5 Mbps).
Cet avantage va s’accélérer avec l’introduction de la 5G, en raison de la croissance rapide de l’innovation mobile face à un déploiement de réseaux Wi-Fi lent et coûteux. L’écart s’explique également par la conception des smartphones qui n’est pas orientée vers le Wi-Fi, ainsi que la limitation de nombreux téléphones à ne supporter que les réseaux Wi-Fi 2.4 Ghz, plus lents que les réseaux 5 Ghz.
Les données mobiles sont-elles en passe de supplanter le Wi-Fi? La course des opérateurs vers des packs de data de plus en plus imposants prend en tout cas tout son sens à la lumière de cette étude.
Sur 80 pays mesurés, les données mobiles transitent plus rapidement qu’avec un réseau Wi-Fi dans 33 pays. Tous les continents sont concernés par ce dépassement, la différence la plus marquée s’observe en Australie où l’internet mobile enregistre une vitesse de téléchargement moyenne de 34,6 Mbps contre 21,6 Mbps pour le Wi-Fi. Le pays des kangourous est suivi par le Liban (+12,3 Mbps), le Qatar (+11,8 Mbps) et Oman (+11 Mbps).
En revanche, la Belgique n’affiche pas de différence significative entre ses débits mobile et Wi-Fi. Les données mobiles transitent même légèrement moins vite qu’en réseau local : 33,5 Mbps en moyenne contre 34,3 Mbps. L’étude permet toutefois de constater que notre pays fait partie des bons élèves en matière de débit, dont le classement est dominé par la Corée du sud, Singapour et la Norvège.
La différence de débit est encore plus frappante quand on ne s’intéresse qu’au réseau 4G. Si l’on ne prend en compte que ce protocole de télécommunication, l’internet mobile est plus rapide dans 50 des 80 pays étudiés, soit une proportion de 63%. La Belgique fait alors son entrée au classement, enregistrant un débit 4G supérieur de 4,2 Mbps au Wi-Fi. Pour les autres pays, l’écart se creuse : le Liban enregistre une différence de 25 Mbps, suivie par Oman (18,4 Mbps), le Qatar (+ 18,1 Mbps) et l’Australie (+ 17,5 Mbps).
Cet avantage va s’accélérer avec l’introduction de la 5G, en raison de la croissance rapide de l’innovation mobile face à un déploiement de réseaux Wi-Fi lent et coûteux. L’écart s’explique également par la conception des smartphones qui n’est pas orientée vers le Wi-Fi, ainsi que la limitation de nombreux téléphones à ne supporter que les réseaux Wi-Fi 2.4 Ghz, plus lents que les réseaux 5 Ghz.
LG travaille sur un smartphone doté de 16 capteurs photo
Un brevet déposé par LG et repéré par Let’s Go Digital trace les contours d’un smartphone équipé de seize modules photo.
Là où Google mise tout sur un unique capteur photo soutenu par un puissant traitement logiciel pour sa gamme Pixel, d’autres constructeurs luttent pour multiplier les objectifs photo au dos de l’appareil. Tantôt grand angle, tantôt téléobjectif, chacun joue un rôle pour offrir une large gamme de possibilités à son utilisateur sans toujours forcément réussir dans tous les domaines.
Le P20 Pro de Huawei initiait le triple capteur photo plus tôt cette année, Samsung place la barre un cran au-dessus avec un module supplémentaire sur son Galaxy A9. De son côté, Nokia planche sur un modèle équipé de cinq capteurs.
Le brevet déposé par LG fait mention d’un smartphone à seize objectifs disposé en une grille de 4 x 4 capteurs. L’idée n’est pas de capturer un sujet selon seize réglages, à l’instar des smartphones développés par l’entreprise Light, mais de saisir l’instant sous autant d’angles différents.
L’assemblage de capteurs serait disposé sur un support légèrement bombé ou, au contraire, renfoncé pour que chaque objectif vise dans une direction légèrement différente. Le smartphone de LG permettrait ainsi de sélectionner l’angle optimal pour une photo après le déclenchement du cliché. Le brevet prend l’exemple d’une photo d’ours en peluche dont la tête pourrait être tournée à volonté dans la direction que choisira le photographe.
En outre, le dispositif permettrait de réaliser des clichés en 3D, la technologie pourrait s’avérer utile pour les graphistes et ceux qui travaillent en modélisation 3D, ou tout simplement pour reconstituer son visage sous forme d’emoji en relief.
La technologie n’est qu’à l’état de brevet, pas sûr que LG s’y attaque réellement mais on se réjouit d’ores et déjà qu’une telle innovation émerge des cerveaux de l’entreprise.
Là où Google mise tout sur un unique capteur photo soutenu par un puissant traitement logiciel pour sa gamme Pixel, d’autres constructeurs luttent pour multiplier les objectifs photo au dos de l’appareil. Tantôt grand angle, tantôt téléobjectif, chacun joue un rôle pour offrir une large gamme de possibilités à son utilisateur sans toujours forcément réussir dans tous les domaines.
Le P20 Pro de Huawei initiait le triple capteur photo plus tôt cette année, Samsung place la barre un cran au-dessus avec un module supplémentaire sur son Galaxy A9. De son côté, Nokia planche sur un modèle équipé de cinq capteurs.
Le brevet déposé par LG fait mention d’un smartphone à seize objectifs disposé en une grille de 4 x 4 capteurs. L’idée n’est pas de capturer un sujet selon seize réglages, à l’instar des smartphones développés par l’entreprise Light, mais de saisir l’instant sous autant d’angles différents.
L’assemblage de capteurs serait disposé sur un support légèrement bombé ou, au contraire, renfoncé pour que chaque objectif vise dans une direction légèrement différente. Le smartphone de LG permettrait ainsi de sélectionner l’angle optimal pour une photo après le déclenchement du cliché. Le brevet prend l’exemple d’une photo d’ours en peluche dont la tête pourrait être tournée à volonté dans la direction que choisira le photographe.
En outre, le dispositif permettrait de réaliser des clichés en 3D, la technologie pourrait s’avérer utile pour les graphistes et ceux qui travaillent en modélisation 3D, ou tout simplement pour reconstituer son visage sous forme d’emoji en relief.
La technologie n’est qu’à l’état de brevet, pas sûr que LG s’y attaque réellement mais on se réjouit d’ores et déjà qu’une telle innovation émerge des cerveaux de l’entreprise.
Babyphone : les problèmes les plus fréquents
Quand on est nouveaux parents, rien n’est plus important que de s’assurer de la sécurité de son enfant. Le sommeil concentre à ce titre une forte attention tant on a peur qu’il se passe quelque chose alors que le bébé n’est plus sous la surveillance parentale. C’est pourquoi bon nombre de parents s’équipent d’un babyphone pour pouvoir rester à l’écoute de bébé même quand celui-ci est dans son lit. Equipé d’un émetteur et d’un récepteur, le babyphone est certes rassurant mais présente aussi parfois quelques petits soucis.
Si votre babyphone fonctionne avec des piles, c’est la première chose qu’il faut vérifier. La plupart des modèles ont un témoin lumineux qui vous indique le niveau de charge. Dans ce cas, il vous faudra changer les piles à chaque fois qu’il vous l’indiquera. Si vous comptez utiliser votre babyphone quotidiennement, sachez qu’il existe aussi des babyphones avec des batteries rechargeables, plus économiques à long terme.
Si vous avez un babyphone avec une batterie rechargeable sur secteur et que celle-ci donne des signes de fin de vie : charge qui ne tient plus, par exemple, sachez qu’il est possible et très simple de remplacer une batterie de babyphone, en en commandant une neuve et remplaçant l’ancienne par celle-ci.
Pensez aussi à vérifier le chargeur, qui peut lui aussi être remplacé sans problème par un chargeur universel.
Bien que tout parent en rêve, votre babyphone ne vous permettra pas d’écouter votre bébé partout ! Sa portée est forcément limitée et pas toujours clairement indiquée par le fournisseur. Cependant, il est indispensable de vérifier selon vos besoins si la portée sera suffisante. Ainsi, si vous avez des problèmes de réception, référez-vous à la portée maximale indiquée et assurez-vous que votre récepteur n’est pas trop loin de votre émetteur.
La notice vous indique comment configurer le babyphone lors de son installation, si vous observez un problème de liaison, tentez de rapprocher le récepteur de la chambre. Si malgré la bonne configuration et le rapprochement, il n’y a toujours pas de signal, il vous faudra vous tourner vers le fabricant pour résoudre le problème.
Pour les babyphones fonctionnant avec wifi, assurez-vous que votre connexion fonctionne. Si vous craignez les ondes pour votre bébé, pensez à placer l’émetteur au moins à 1 mètre de sa tête.
En cas de grésillement, placez l’émetteur de manière à ce qu’il capte le moins de bruits parasites possible afin de ne pas créer d’interférence. Evitez une trop grande proximité avec d’autres appareils électriques ou électroniques ainsi que les structures en acier.
En cas d’interférence avec une autre famille, essayez de changer de canal afin de limiter le problème. C’est pourquoi il est important d’opter pour un appareil qui propose bien plusieurs canaux.
Quand l’alimentation vous lâche
Tout fonctionne a priori mais aucun son dans le babyphone ? La première chose à vérifier est l’alimentation.Si votre babyphone fonctionne avec des piles, c’est la première chose qu’il faut vérifier. La plupart des modèles ont un témoin lumineux qui vous indique le niveau de charge. Dans ce cas, il vous faudra changer les piles à chaque fois qu’il vous l’indiquera. Si vous comptez utiliser votre babyphone quotidiennement, sachez qu’il existe aussi des babyphones avec des batteries rechargeables, plus économiques à long terme.
Si vous avez un babyphone avec une batterie rechargeable sur secteur et que celle-ci donne des signes de fin de vie : charge qui ne tient plus, par exemple, sachez qu’il est possible et très simple de remplacer une batterie de babyphone, en en commandant une neuve et remplaçant l’ancienne par celle-ci.
Pensez aussi à vérifier le chargeur, qui peut lui aussi être remplacé sans problème par un chargeur universel.
Problème de portée ou de connexion
Malgré le changement de piles ou de batterie, votre babyphone ne marche toujours pas ? Vérifiez tous les éléments de connexion notamment la portée et le signal wifi, si celui-ci fonctionne en wifi.Bien que tout parent en rêve, votre babyphone ne vous permettra pas d’écouter votre bébé partout ! Sa portée est forcément limitée et pas toujours clairement indiquée par le fournisseur. Cependant, il est indispensable de vérifier selon vos besoins si la portée sera suffisante. Ainsi, si vous avez des problèmes de réception, référez-vous à la portée maximale indiquée et assurez-vous que votre récepteur n’est pas trop loin de votre émetteur.
La notice vous indique comment configurer le babyphone lors de son installation, si vous observez un problème de liaison, tentez de rapprocher le récepteur de la chambre. Si malgré la bonne configuration et le rapprochement, il n’y a toujours pas de signal, il vous faudra vous tourner vers le fabricant pour résoudre le problème.
Pour les babyphones fonctionnant avec wifi, assurez-vous que votre connexion fonctionne. Si vous craignez les ondes pour votre bébé, pensez à placer l’émetteur au moins à 1 mètre de sa tête.
Des interférences ?
Le babyphone peut parfois grésiller ou vous pouvez même parfois capter une autre famille aux alentours !En cas de grésillement, placez l’émetteur de manière à ce qu’il capte le moins de bruits parasites possible afin de ne pas créer d’interférence. Evitez une trop grande proximité avec d’autres appareils électriques ou électroniques ainsi que les structures en acier.
En cas d’interférence avec une autre famille, essayez de changer de canal afin de limiter le problème. C’est pourquoi il est important d’opter pour un appareil qui propose bien plusieurs canaux.
Réglages du volume
Le but du babyphone est d’amplifier les sons produits par l’enfant pour que vous puissiez l’entendre via le récepteur. Votre babyphone a forcément un bouton de réglage du volume, assurez-vous que celui-ci est correctement réglé ni trop bas, ni trop fort pour ne pas faire des bonds à chaque fois qu’il s’allume.Monday, November 26, 2018
Des chercheurs créent un code JavaScript qui espionne l’activité web
Difficile de naviguer sur le net en toute discrétion, les chercheurs de plusieurs universités à travers le monde ont mis en évidence le risque d’espionnage de l’activité sur le web. Les experts en cybersécurité ont mis au point un code JavaScript qui permet d’identifier les sites visités sur d’autres onglets et navigateurs.
Surfer sur le web via le navigateur Tor peut sembler une bonne solution pour ne pas être pisté mais ce n’est pas suffisant. Un groupe de chercheurs venus d’Israël, des États-Unis et d’Australie ont développé un code JavaScript capable de surveiller l’activité d’un internaute malgré les défenses pour la protection de la vie privée récemment mises en place.
Il suffit que le code JavaScript soit implanté sur une page web et que sont onglet reste ouvert pour qu’une personne malintentionnée récolte les informations contenues sur d’autres onglets ouverts, et ce, même s’ils sont sur des navigateurs différents. Les chercheurs ont même soumis le réputé Tor à des tests et le navigateur n’a pas pu dissimuler son activité.
Comment ça fonctionne?
Le code développé par le conglomérat de chercheurs observe la composition des temps d’accès à la mémoire cache. À l’ouverture d’un site web, le cache de la mémoire subit une modification qui est propre à chaque site internet, c’est ce qu’on appelle son empreinte digitale. Les chercheurs ont donc cherché à répertorier l’empreinte de milliers de sites.
Avec cette base de données, l’équipe d’experts a constitué un détecteur capable de reconnaître le site visité avec un taux de précision compris entre 70 et 90% pour les navigateurs classiques, quand un site sur deux est correctement identifié sur Tor.
Le problème d’un tel type de surveillance est qu’il permet de constituer le profil d’un internaute sur base des sites qu’il visite : habitudes de consommation, tranche d’âge, orientation sexuelle ou encore opinions politiques. Ce genre d’informations pourrait intéresser les diffuseurs de contenus publicitaires pour mieux cibler encore les annonces.
Surfer sur le web via le navigateur Tor peut sembler une bonne solution pour ne pas être pisté mais ce n’est pas suffisant. Un groupe de chercheurs venus d’Israël, des États-Unis et d’Australie ont développé un code JavaScript capable de surveiller l’activité d’un internaute malgré les défenses pour la protection de la vie privée récemment mises en place.
Il suffit que le code JavaScript soit implanté sur une page web et que sont onglet reste ouvert pour qu’une personne malintentionnée récolte les informations contenues sur d’autres onglets ouverts, et ce, même s’ils sont sur des navigateurs différents. Les chercheurs ont même soumis le réputé Tor à des tests et le navigateur n’a pas pu dissimuler son activité.
Comment ça fonctionne?
Le code développé par le conglomérat de chercheurs observe la composition des temps d’accès à la mémoire cache. À l’ouverture d’un site web, le cache de la mémoire subit une modification qui est propre à chaque site internet, c’est ce qu’on appelle son empreinte digitale. Les chercheurs ont donc cherché à répertorier l’empreinte de milliers de sites.
Avec cette base de données, l’équipe d’experts a constitué un détecteur capable de reconnaître le site visité avec un taux de précision compris entre 70 et 90% pour les navigateurs classiques, quand un site sur deux est correctement identifié sur Tor.
Le problème d’un tel type de surveillance est qu’il permet de constituer le profil d’un internaute sur base des sites qu’il visite : habitudes de consommation, tranche d’âge, orientation sexuelle ou encore opinions politiques. Ce genre d’informations pourrait intéresser les diffuseurs de contenus publicitaires pour mieux cibler encore les annonces.
Le smartphone pliable de Samsung pourrait être vendu à plus de 2200 euros
Dévoilé plus tôt ce mois-ci, le smartphone à écran pliable de Samsung sera commercialisé en mars de l’année prochaine. Les premières estimations indiquaient un prix de vente supérieur à 1500€ mais celui-ci pourrait bien frôler les 2300€ d’après un rapport du site britannique Gizmodo.
Les yeux du monde entier étaient rivés sur Samsung le 7 novembre dernier, la firme coréenne n’a laissé qu’apercevoir un prototype de son futur téléphone pliable. Alors que la presse espérait en savoir un peu plus sur ce téléphone qui pourrait marquer le début d’une nouvelle ère, pas une miette n’a été lâchée.
Des doutes subsistent encore sur son nom, d’abord désigné sous le nom Galaxy X, puis Galaxy F, il pourrait finalement s’appeler Samsung Galaxy Flex.
Quant à son prix, les analystes estimaient dans un premier temps qu’il franchirait la barre des 1500€. La présence de deux écrans dont un pliable, la technologie qu’il devrait embarquer et les années de recherche et développement nécessaires à sa conception auront raison des bourses les moins fournies, mais pas seulement. Le site Gizmodo indique que le prix du flexiphone se situerait aux alentours de 1500 à 2000£ sur le sol britannique, soit approximativement 1700 à 2250€.
Baisse de prix à prévoir dans les années à venir
L’appareil serait décliné en plusieurs versions – probablement en termes de puissance et de stockage – donnant ainsi cette large fourchette de prix. Bien que cela donne déjà une idée assez claire de la valeur de cette nouvelle génération de smartphones, les estimations correspondent au marché britannique. Si l’on s’en réfère au prix de lancement du Galaxy Note 9, les prix du Royaume-Uni sont toutefois identiques aux nôtres.
Le smartphone pliable ne devrait dans un premier temps se destiner qu’à une clientèle restreinte, désireuse de profiter en avant-première d’une technologie en passe de se répandre sur tout le marché. Au fil des ans, le coût des flexiphones devrait diminuer de par la généralisation des processus de fabrication et des composantes.
Les yeux du monde entier étaient rivés sur Samsung le 7 novembre dernier, la firme coréenne n’a laissé qu’apercevoir un prototype de son futur téléphone pliable. Alors que la presse espérait en savoir un peu plus sur ce téléphone qui pourrait marquer le début d’une nouvelle ère, pas une miette n’a été lâchée.
Des doutes subsistent encore sur son nom, d’abord désigné sous le nom Galaxy X, puis Galaxy F, il pourrait finalement s’appeler Samsung Galaxy Flex.
Quant à son prix, les analystes estimaient dans un premier temps qu’il franchirait la barre des 1500€. La présence de deux écrans dont un pliable, la technologie qu’il devrait embarquer et les années de recherche et développement nécessaires à sa conception auront raison des bourses les moins fournies, mais pas seulement. Le site Gizmodo indique que le prix du flexiphone se situerait aux alentours de 1500 à 2000£ sur le sol britannique, soit approximativement 1700 à 2250€.
Baisse de prix à prévoir dans les années à venir
L’appareil serait décliné en plusieurs versions – probablement en termes de puissance et de stockage – donnant ainsi cette large fourchette de prix. Bien que cela donne déjà une idée assez claire de la valeur de cette nouvelle génération de smartphones, les estimations correspondent au marché britannique. Si l’on s’en réfère au prix de lancement du Galaxy Note 9, les prix du Royaume-Uni sont toutefois identiques aux nôtres.
Le smartphone pliable ne devrait dans un premier temps se destiner qu’à une clientèle restreinte, désireuse de profiter en avant-première d’une technologie en passe de se répandre sur tout le marché. Au fil des ans, le coût des flexiphones devrait diminuer de par la généralisation des processus de fabrication et des composantes.
Pourquoi Apple pourrait relancer la production de son iPhone X
Si certains revendeurs proposent encore des iPhone X à la vente, ils ne sont en revanche plus produits par Apple. Toutefois, les ventes surestimées d’iPhone Xs et le surplus d’écrans OLED contraignent Cupertino à revoir ses plans. On vous explique les raisons de ce revirement de situation.
À l’occasion des dix ans de l’iPhone, Apple présente l’iPhone X, cible de bien des erreurs de prononciation. Coup de maître pour la Pomme, son premier smartphone à écran intégral s’écoule à plus de 63 millions d’exemplaires en l’espace de 11 mois mais le succès s’estompe à l’approche de la nouvelle génération d’iPhone.
Début juillet, Apple stoppe les chaînes de production pour son iPhone anniversaire, de quoi laisser respirer le marché, prêt à accueillir de nouveaux téléphones. Le 12 septembre, ces derniers sont dévoilés par la firme californienne, signant le retrait de l’iPhone X du site d’Apple. Le smartphone ne peut coexister aux côtés d’une nouvelle gamme similaire en tous points.
Trop d’enthousiasme sur une nouvelle génération pas si différente
Apple mise gros sur ses nouveaux flagships, les iPhone Xs et Xs Max, les prévisions de ventes sont optimistes. Il y a quelques jours, la décision d’amputer la production des iPhone Xs et Xr se répand dans la presse, touchant principalement l’iPhone Xr dont 30 millions d’unités de moins seront produites et dont le prix pourrait même diminuer sur certains marchés.
Bien qu’Apple boxe seul dans sa catégorie, la firme fait face à une saturation du marché. La hausse des prix de ses téléphones d’une génération à l’autre atteint ses limites et la clientèle de la Pomme se détourne des smartphones les plus récents vers l’iPhone 8. Le dernier iPhone au bouton Home a vu son prix baisser alors que sa lignée se poursuivait mais son succès ne s’est pas amoindri.
Que faire des pièces en trop?
Second problème : Apple a signé un important contrat avec Samsung, son rival et fournisseur d’écrans OLED pour les iPhone Xs et Xs Max. Leur production réduite, Cupertino se retrouve avec un surplus d’écrans sur les bras. Résultat des courses : les anciens smartphones se vendent mieux que prévu, les nouveaux ne s’écoulent pas assez et les dalles OLED similaires à celle de l’iPhone X s’accumulent.
Il ne faut pas être devin pour comprendre que la seule issue pour Apple est de relancer la production de l’iPhone X pour écouler, d’une part, ses écrans OLED, et, d’autre part, reconquérir le coeur d’une clientèle en quête d’un iPhone ultra-performant à moins de 1000€. Toutefois, cela pourrait définitivement signer la mise à mort des iPhone Xs, gardons les yeux rivés vers Tim Cook et son entreprise pour guetter leurs prochains mouvements.
À l’occasion des dix ans de l’iPhone, Apple présente l’iPhone X, cible de bien des erreurs de prononciation. Coup de maître pour la Pomme, son premier smartphone à écran intégral s’écoule à plus de 63 millions d’exemplaires en l’espace de 11 mois mais le succès s’estompe à l’approche de la nouvelle génération d’iPhone.
Début juillet, Apple stoppe les chaînes de production pour son iPhone anniversaire, de quoi laisser respirer le marché, prêt à accueillir de nouveaux téléphones. Le 12 septembre, ces derniers sont dévoilés par la firme californienne, signant le retrait de l’iPhone X du site d’Apple. Le smartphone ne peut coexister aux côtés d’une nouvelle gamme similaire en tous points.
Trop d’enthousiasme sur une nouvelle génération pas si différente
Apple mise gros sur ses nouveaux flagships, les iPhone Xs et Xs Max, les prévisions de ventes sont optimistes. Il y a quelques jours, la décision d’amputer la production des iPhone Xs et Xr se répand dans la presse, touchant principalement l’iPhone Xr dont 30 millions d’unités de moins seront produites et dont le prix pourrait même diminuer sur certains marchés.
Bien qu’Apple boxe seul dans sa catégorie, la firme fait face à une saturation du marché. La hausse des prix de ses téléphones d’une génération à l’autre atteint ses limites et la clientèle de la Pomme se détourne des smartphones les plus récents vers l’iPhone 8. Le dernier iPhone au bouton Home a vu son prix baisser alors que sa lignée se poursuivait mais son succès ne s’est pas amoindri.
Que faire des pièces en trop?
Second problème : Apple a signé un important contrat avec Samsung, son rival et fournisseur d’écrans OLED pour les iPhone Xs et Xs Max. Leur production réduite, Cupertino se retrouve avec un surplus d’écrans sur les bras. Résultat des courses : les anciens smartphones se vendent mieux que prévu, les nouveaux ne s’écoulent pas assez et les dalles OLED similaires à celle de l’iPhone X s’accumulent.
Il ne faut pas être devin pour comprendre que la seule issue pour Apple est de relancer la production de l’iPhone X pour écouler, d’une part, ses écrans OLED, et, d’autre part, reconquérir le coeur d’une clientèle en quête d’un iPhone ultra-performant à moins de 1000€. Toutefois, cela pourrait définitivement signer la mise à mort des iPhone Xs, gardons les yeux rivés vers Tim Cook et son entreprise pour guetter leurs prochains mouvements.
Sunday, November 25, 2018
Les autorités américaines utilisent Whatsapp pour surveiller les migrants
Deux responsables anonymes du département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) ont annoncé qu’ils utilisaient l’application Whatsapp pour s’informer sur les mouvements des groupes de migrants, selon NBC News.
Près de 4000 migrants, principalement originaires du Honduras, sont soupçonnés de vouloir passer la frontière américano-mexicaine. Mais les autorités américaines gardent un œil sur la caravane, notamment par Whatsapp. Des agents du département de la sécurité intérieure des États-Unis auraient infiltré les groupes de discussion où les migrants communiquent.
Ces fils sont utilisés par les migrants pour s’organiser. En infiltrant ces discussions, les autorités peuvent déterminer la position de ces groupes ou le nombre de migrants qu’ils représentent. Mais aussi à quel endroit et à quelle date ils prévoient de passer la frontière. Whatsapp s’apparente à une source directe pour en savoir plus sur les méthodes de ces groupes pour passer d’un pays à un autre.
Parallèlement à la surveillance des communications par Whatsapp, des informateurs au sein même des groupes de migrants permettraient de compléter la recherche d’information. C’est en mélangeant ces sources que le gouvernement de Donald Trump espère bloquer les caravanes.
Des responsables du DHS ont déclaré à la presse que les services de renseignements auraient décelé un passage de frontière près de San Diego, prévu pour le lundi 19 novembre, selon NBC News. Le passage aurait été fermé par le service des douanes à la date prévue. Mais la traversée n’a jamais eu lieu.
Près de 4000 migrants, principalement originaires du Honduras, sont soupçonnés de vouloir passer la frontière américano-mexicaine. Mais les autorités américaines gardent un œil sur la caravane, notamment par Whatsapp. Des agents du département de la sécurité intérieure des États-Unis auraient infiltré les groupes de discussion où les migrants communiquent.
Ces fils sont utilisés par les migrants pour s’organiser. En infiltrant ces discussions, les autorités peuvent déterminer la position de ces groupes ou le nombre de migrants qu’ils représentent. Mais aussi à quel endroit et à quelle date ils prévoient de passer la frontière. Whatsapp s’apparente à une source directe pour en savoir plus sur les méthodes de ces groupes pour passer d’un pays à un autre.
Parallèlement à la surveillance des communications par Whatsapp, des informateurs au sein même des groupes de migrants permettraient de compléter la recherche d’information. C’est en mélangeant ces sources que le gouvernement de Donald Trump espère bloquer les caravanes.
Des responsables du DHS ont déclaré à la presse que les services de renseignements auraient décelé un passage de frontière près de San Diego, prévu pour le lundi 19 novembre, selon NBC News. Le passage aurait été fermé par le service des douanes à la date prévue. Mais la traversée n’a jamais eu lieu.
Un logiciel pour connaître le temps passé chaque jour sur son smartphone
Cette semaine, Microsoft a lancé la version bêta de Launcher 5.1, une fonctionnalité permettant notamment de surveiller sa dépendance au smartphone.
Comme le rapporte Windows Central, le nouveau Microsoft Launcher s’adresse particulièrement à ceux qui souhaitent mesurer leur activité quotidienne au téléphone.
Ce nouvel élément, que ses créateurs décrivent comme une “fonctionnalité de santé numérique” retient le nombre de déverrouillages, la longueur des sessions d’activité et le temps général passé au téléphone. Il identifie les applications les plus utilisées et les plus consultées, ainsi que l’heure à laquelle toutes ces actions sont accomplies. Apple a intégré la fonction Screen Time à iOS 12. Elle procure ce type d’informations aux utilisateurs de l’iPhone.
Par ailleurs, Cortana est de retour et s’active à partir de Launcher, tout comme Microsoft Notes et la liste de tâches à accomplir (To Do), qui se synchronise sur tous les appareils.
Il est possible de tester la bêta de Microsoft Launcher. Si tout se passe comme prévu, la version officielle de la technologie sera bientôt disponible.
Comme le rapporte Windows Central, le nouveau Microsoft Launcher s’adresse particulièrement à ceux qui souhaitent mesurer leur activité quotidienne au téléphone.
Ce nouvel élément, que ses créateurs décrivent comme une “fonctionnalité de santé numérique” retient le nombre de déverrouillages, la longueur des sessions d’activité et le temps général passé au téléphone. Il identifie les applications les plus utilisées et les plus consultées, ainsi que l’heure à laquelle toutes ces actions sont accomplies. Apple a intégré la fonction Screen Time à iOS 12. Elle procure ce type d’informations aux utilisateurs de l’iPhone.
Par ailleurs, Cortana est de retour et s’active à partir de Launcher, tout comme Microsoft Notes et la liste de tâches à accomplir (To Do), qui se synchronise sur tous les appareils.
Il est possible de tester la bêta de Microsoft Launcher. Si tout se passe comme prévu, la version officielle de la technologie sera bientôt disponible.
Apple relancerait la production de l’iPhone X
Le nouveau trio d’iPhone ne s’écoule pas aussi bien que prévu. À tel point que la Pomme aurait décidé de relancer la production de l’iPhone X pour parvenir à écouler ses dalles OLED, d’après un rapport du Wall Street Journal.
L’enthousiasme d’Apple à la sortie des iPhone Xr, Xs et Xs Max était grand, trop grand. De semaines en semaines, les prévisions de vente ont été revues à la baisse.
Malheureusement pour la firme californienne qui a misé gros sur ses nouveaux flagships, un téléphone populaire a été écarté des ventes pour laisser place à des modèles trop proches pour co-exister. L’iPhone X a été stoppé à l’instant-même où les Xs et Xs Max investissaient le marché.
Vendre l’iPhone X pour écouler ses écrans OLED
La hausse des prix constante des appareils pommés a fini par trouver ses limites, les derniers appareils sont réussis mais se vendent à un rythme insuffisant pour remplir le contrat d’Apple avec son fournisseur d’écrans. Ce partenaire, ce n’est autre que le grand rival du géant américain, Samsung.
Apple ne parvient pas à honorer sa part du marché en volume de ventes d’écrans OLED. Pour pallier à ce manque, Cupertino aurait pris la décision de relancer ses lignes de production pour l’iPhone X. Équipé du même type d’écrans, rendant par ailleurs ses cousins si onéreux, il permettrait de compenser l’écart des prévisions.
C’est ce même rapport du Wall Street Journal qui indiquait que la firme appliquerait prochainement une baisse indirecte de prix sur ses iPhone Xr au Japon. La relance de la production d’iPhone X ne viserait elle aussi que “certains marchés”.
Cela prouve qu’Apple ne parvient pas à créer suffisamment de contraste entre ses générations d’iPhone pour créer un besoin de renouvellement chez ses consommateurs pour qui il est préférable de payer moins cher pour à peine moins de performances.
L’enthousiasme d’Apple à la sortie des iPhone Xr, Xs et Xs Max était grand, trop grand. De semaines en semaines, les prévisions de vente ont été revues à la baisse.
Malheureusement pour la firme californienne qui a misé gros sur ses nouveaux flagships, un téléphone populaire a été écarté des ventes pour laisser place à des modèles trop proches pour co-exister. L’iPhone X a été stoppé à l’instant-même où les Xs et Xs Max investissaient le marché.
Vendre l’iPhone X pour écouler ses écrans OLED
La hausse des prix constante des appareils pommés a fini par trouver ses limites, les derniers appareils sont réussis mais se vendent à un rythme insuffisant pour remplir le contrat d’Apple avec son fournisseur d’écrans. Ce partenaire, ce n’est autre que le grand rival du géant américain, Samsung.
Apple ne parvient pas à honorer sa part du marché en volume de ventes d’écrans OLED. Pour pallier à ce manque, Cupertino aurait pris la décision de relancer ses lignes de production pour l’iPhone X. Équipé du même type d’écrans, rendant par ailleurs ses cousins si onéreux, il permettrait de compenser l’écart des prévisions.
C’est ce même rapport du Wall Street Journal qui indiquait que la firme appliquerait prochainement une baisse indirecte de prix sur ses iPhone Xr au Japon. La relance de la production d’iPhone X ne viserait elle aussi que “certains marchés”.
Cela prouve qu’Apple ne parvient pas à créer suffisamment de contraste entre ses générations d’iPhone pour créer un besoin de renouvellement chez ses consommateurs pour qui il est préférable de payer moins cher pour à peine moins de performances.
Friday, November 23, 2018
Dell M0H25 Adaptateur - Adaptateur Pour Dell 130W Dell XPS 15 9575 2-In-1 Type-C Port Alimentation
Achetez Dell M0H25 Chargeur/Adaptateur Adaptateur,Chargeur M0H25 - 5V=1A 20V=6.5A 130W pour Dell 130W Dell XPS 15 9575 2-in-1 Type-C port - Alimentation,Chargeur de batterie, neufs et d'occasion au meilleur prix sur,Nos chargeurs compatibles bénéficient d'une garantie pour échange standard de 12 mois.
Durée de vie:3 à 5 ans. Garantie: 1 Année 30 jours remboursé. Facile à utiliser et 100% compatible. Batterie rechargeable sans effet mémoire.
- Marque: DELL Adaptateur
- Capacité: 100-240V 50-60Hz (for worldwide use)
- Tension: 5V=1A 20V=6.5A 130W
Numéros de pièces compatibles:
-
K00F5 M0H25
Cette batterie est aussi compatible avec:
DELL 9575 9570 Type-C USB-CDell 130W Dell XPS 15 9575 2-in-1 Type-C port
Bloc d’alimentation conseils d'utilisation
- Il est important d’enlever la batterie lorsque la charge est finie, car une charge trop longue va endommager la pile.
- Lors de la première utilisation de votre ordinateur portable, chargez complètement la batterie neuve avec adaptateur secteur M0H25.
- Après utilisation, stockez votre chargeur DELL M0H25 dans un environnement à l’abri de la lumière et à température ambiante d’environ 20°.
57Wh 11.55V Batterie pour OM03XL HP EliteBook 1030 G2 OM03XL
HP OM03XL à bas prix, mais également une large offre batterie informatique vous sont accessibles à prix moins cher sur Ruebatterie.fr !
Capacité de la batterie: 57Wh, Technologie batterie: Li-ion, Tension des piles: 11.55V.
Toutes nos batteries pour ordinateurs portables passent des tests rigoureux de contrôle de la qualité. Vous trouverez ici les meilleures batteries d'ordinateurs portables.
justifier nos produits pour 1 an et nous offrons une période de garantie de 30 jours garantie de remboursement sur tous les produits que nous vendons.
Paiement sécurisé et le chiffrement SSL
Remplacez votre batterie d'ordinateur portable: comment trouver le code de la batterie
our voir la batterie que vous devez faire deux choses, tourner l'ordinateur portable et est sous le numéro de série du modèle, ou allez dans le panneau de commande.
Retirez la batterie et est également un code de 9 ou 12 chiffres eux.
HP EliteBook x360 1030 G2 1GY29PA
HP EliteBook x360 1030 G2 1GY30PA
HP EliteBook x360 1030 G2 1GY31PA
HP EliteBook x360 1030 G2 1UX08PA
Capacité de la batterie: 57Wh, Technologie batterie: Li-ion, Tension des piles: 11.55V.
Toutes nos batteries pour ordinateurs portables passent des tests rigoureux de contrôle de la qualité. Vous trouverez ici les meilleures batteries d'ordinateurs portables.
justifier nos produits pour 1 an et nous offrons une période de garantie de 30 jours garantie de remboursement sur tous les produits que nous vendons.
Paiement sécurisé et le chiffrement SSL
Remplacez votre batterie d'ordinateur portable: comment trouver le code de la batterie
our voir la batterie que vous devez faire deux choses, tourner l'ordinateur portable et est sous le numéro de série du modèle, ou allez dans le panneau de commande.
Retirez la batterie et est également un code de 9 ou 12 chiffres eux.
Numéros de pièces compatibles:
Cette batterie est aussi compatible avec:
HP EliteBook X360 1030 G2 SeriesHP EliteBook x360 1030 G2 1GY29PA
HP EliteBook x360 1030 G2 1GY30PA
HP EliteBook x360 1030 G2 1GY31PA
HP EliteBook x360 1030 G2 1UX08PA
6 conseils pour étendre la batterie HP OM03XL la vie
- 1. Ne rechargez votre batterie notbook décharge de la batterie quand.
- 2 . Rangez votre batterie pour HP OM03XL dans un endroit frais et sec quand ne pas utiliser.
- 3 . Maintenez-le en mode veille ou veille lorsque vous n'êtes pas utilisé pendant une longue période. Peut économiser de l'énergie, mais aussi prolonger la durée de vie de la batterie HP OM03XL
- 4. Rangez votre batterie HP OM03XL dans un endroit frais et sec quand ne pas utiliser.
- 5. La durée de vie de la batterie et l'utilisation de la température ambiante, -10 ℃ -40 ℃ entre le travail normal. Évitez donc la batterie au froid ou à l'exposition au soleil chaud.
- 6. La batterie est complètement chargée, la performance est encore une récession significative, ce qui signifie que la batterie a dépassé sa durée de vie, remplacez la batterie
Batterie Ordinateur Portable HP 76802-1C1 767069-005 15-C011DX 15-C Series Li-ion 50Wh
Toutes nos HP SM03XL batteries sont neuves et compatibles et toutes SM03XL batteries ordinateur portable a passé les attestations internationales ISO9001, RoHS et de certification CE.Ainsi, vous pouvez acheter en toute confiance.
15-C001DX 15-C011DX
HP Envy X2 15-C001
HP Envy X2 15-C000NG
HP Envy X2 15-C000NA
HP Envy X2 15-C000ND
HP ENVY 15-C101DX
HP ENVY X2 15-C001TU
HP ENVY X2 15-C011
Durée de vie:3 à 5 ans
Garantie: 1 Année 30 jours remboursé
Facile à utiliser et 100% compatible.
Batterie rechargeable sans effet mémoire.
Garantie: 1 Année 30 jours remboursé
Facile à utiliser et 100% compatible.
Batterie rechargeable sans effet mémoire.
HP SM03XL BATTERIE ORDINATEUR PORTABLE
- Marque: HP Batterie
- Capacité: 50Wh
- Tension: 11.4V
Numéros de pièces compatibles:
Cette batterie est aussi compatible avec:
HP Envy X2 15-C Series15-C001DX 15-C011DX
HP Envy X2 15-C001
HP Envy X2 15-C000NG
HP Envy X2 15-C000NA
HP Envy X2 15-C000ND
HP ENVY 15-C101DX
HP ENVY X2 15-C001TU
HP ENVY X2 15-C011
Maintien de la durée de vie de la HP SM03XL batterie
Pour réduire l'usure de HP SM03XL batterie, il y a quelques précautions simples à prendre :- Chargez toujours votre HP SM03XL batterie à 100%.
- Chargez entièrement une nouvelle HP SM03XL batterie avant sa première utilisation. Déchargez-la ensuite complètement, puis rechargez-la complètement.
- Évitez la chaleur excessive.
- Travaillez autant que possible avec l'adaptateur CA branché. Les précautions ci-dessus amélioreront non seulement la durée de vie de la Batterie pour ordinateur portable HP SM03XL, mais elle aura également une plus longue autonomie par charge.
Les piles et les adaptateurs fournis par notre entreprise sont [remplacement pour] vendus pour être utilisés avec certains produits de fabricants d'ordinateurs, et toute référence à des produits ou des marques déposées de ces sociétés est uniquement dans le but d'identifier les fabricants d'ordinateurs avec lesquels nos produits [remplacement pour] peut être utilisé. Notre compagnie et ce site Web ne sont ni affiliés avec, autorisé par une licence par, les distributeurs pour, ni liées en aucune façon à ces fabricants d'ordinateurs, ni les produits proposés à la vente sur notre site Web fabriqués ou vendus avec l'autorisation des fabricants de les ordinateurs avec lesquels nos produits [remplacement pour] peuvent être utilisés.
Thursday, November 22, 2018
Apple envisage de réduire le prix de l’iPhone Xr
À peine un mois après la sortie de l’iPhone Xr, Apple envisagerait d’en réduire le prix. Cette décision intervient dans un contexte instable pour la Pomme qui a récemment réduit sa production de 30% pour le modèle en question.
Non, ce n’est pas dans le cadre du Black Friday qu’Apple décide de brader ses prix, la diminution envisagée par la firme californienne vise précisément l’iPhone Xr, d’après le Wall Street Journal. Baisser ses prix ne fait pas partie des habitudes de la Pomme, d’autant qu’un mois à peine s’est écoulé depuis la sortie du téléphone.
Dans le même laps de temps, l’action de la Pomme a perdu 20% de sa valeur et la chute se poursuit à l’heure d’écrire ses lignes. Écouler le dernier iPhone sorti sur le marché à moindre prix ne devrait guère rassurer les investisseurs qui retirent leurs billes de l’entreprise depuis quelques temps.
Toutefois, cette décision de Cupertino ne viserait qu’un marché restreint, seul le Japon serait concerné par les rabais. Le chemin emprunté par la firme a de quoi surprendre puisque la Pomme domine le marché des smartphones dans l’archipel.
Les raisons de ce choix sont probablement liées au succès de l’iPhone 8. Son attrait perdure depuis plus d’un an auprès des Nippons grâce à un prix attractif, éclipsant de fait la sortie de l’iPhone Xr, dont la demande est plus faible que prévu.
Par ailleurs, la réduction de prix se traduirait par une baisse des tarifs auprès des opérateurs locaux. Les nouvelles grilles tarifaires devraient entrer en vigueur dès la semaine prochaine, comme l’explique le WSJ.
Non, ce n’est pas dans le cadre du Black Friday qu’Apple décide de brader ses prix, la diminution envisagée par la firme californienne vise précisément l’iPhone Xr, d’après le Wall Street Journal. Baisser ses prix ne fait pas partie des habitudes de la Pomme, d’autant qu’un mois à peine s’est écoulé depuis la sortie du téléphone.
Dans le même laps de temps, l’action de la Pomme a perdu 20% de sa valeur et la chute se poursuit à l’heure d’écrire ses lignes. Écouler le dernier iPhone sorti sur le marché à moindre prix ne devrait guère rassurer les investisseurs qui retirent leurs billes de l’entreprise depuis quelques temps.
Toutefois, cette décision de Cupertino ne viserait qu’un marché restreint, seul le Japon serait concerné par les rabais. Le chemin emprunté par la firme a de quoi surprendre puisque la Pomme domine le marché des smartphones dans l’archipel.
Les raisons de ce choix sont probablement liées au succès de l’iPhone 8. Son attrait perdure depuis plus d’un an auprès des Nippons grâce à un prix attractif, éclipsant de fait la sortie de l’iPhone Xr, dont la demande est plus faible que prévu.
Par ailleurs, la réduction de prix se traduirait par une baisse des tarifs auprès des opérateurs locaux. Les nouvelles grilles tarifaires devraient entrer en vigueur dès la semaine prochaine, comme l’explique le WSJ.
Oppo rejoint Samsung et Huawei dans la course à l’écran pliable
Samsung et Huawei ne sont plus seuls dans l’arène, Oppo prépare également les armes en vue d’un smartphone à écran pliable. Le site Mobielkopen rapporte qu’un brevet déposé par le constructeur chinois vient d’être accepté par le SIPO, l’organisme en charge de la propriété intellectuelle en Chine.
Détenteur de la marque OnePlus, Oppo est habitué à surprendre le marché par des choix audacieux. C’est notamment par le haut de gamme que la firme tente de conquérir le marché européen avec le Find X – non moins étonnant – commercialisé à 999€ quand les confrères chinois attaquent le marché par le bas.
Après avoir développé un mécanisme coulissant pour laisser place à un véritable écran dénué de bords et proposé un lecteur d’empreintes sous l’écran d’un smartphone à 200€, Oppo se fraie à nouveau un chemin à la pointe de l’innovation en déposant un brevet pour un smartphone à écran pliable.
Si le téléphone convertible en tablette est véritablement la voie tracée pour l’avenir du téléphone, il sera question pour les différents acteurs de se démarquer dans leur conception.
Là où Samsung et Huawei envisagent un petit écran à l’extérieur du téléphone en plus du grand écran intérieur, Oppo propose un unique écran extérieur. Le Flexpai, premier smartphone à écran pliable commercialisé par Rouyu et ayant volé la vedette à Samsung, adopte d’ailleurs la même solution.
Quant aux caractéristiques techniques du téléphone, Oppo n’a pas dévoilé ses ambitions. Pourtant, l’intérêt de cette future génération de téléphones convertibles réside plus dans la possibilité d’en faire de véritables stations de travail mobiles que d’avoir un écran encore plus grand en poche.
À noter que d’autres firmes ont déjà confirmé leur intérêt pour cette technologie : LG, Sharp et Lenovo sont également en lice mais les chances de voir leurs projets aboutir sont quasi-nulles.
Détenteur de la marque OnePlus, Oppo est habitué à surprendre le marché par des choix audacieux. C’est notamment par le haut de gamme que la firme tente de conquérir le marché européen avec le Find X – non moins étonnant – commercialisé à 999€ quand les confrères chinois attaquent le marché par le bas.
Après avoir développé un mécanisme coulissant pour laisser place à un véritable écran dénué de bords et proposé un lecteur d’empreintes sous l’écran d’un smartphone à 200€, Oppo se fraie à nouveau un chemin à la pointe de l’innovation en déposant un brevet pour un smartphone à écran pliable.
Si le téléphone convertible en tablette est véritablement la voie tracée pour l’avenir du téléphone, il sera question pour les différents acteurs de se démarquer dans leur conception.
Là où Samsung et Huawei envisagent un petit écran à l’extérieur du téléphone en plus du grand écran intérieur, Oppo propose un unique écran extérieur. Le Flexpai, premier smartphone à écran pliable commercialisé par Rouyu et ayant volé la vedette à Samsung, adopte d’ailleurs la même solution.
Quant aux caractéristiques techniques du téléphone, Oppo n’a pas dévoilé ses ambitions. Pourtant, l’intérêt de cette future génération de téléphones convertibles réside plus dans la possibilité d’en faire de véritables stations de travail mobiles que d’avoir un écran encore plus grand en poche.
À noter que d’autres firmes ont déjà confirmé leur intérêt pour cette technologie : LG, Sharp et Lenovo sont également en lice mais les chances de voir leurs projets aboutir sont quasi-nulles.
Batterie pour Motorola Moto Z3 XT1929-15 - JS40 (2820mah/11.4Wh) Batterie de remplacement
Haute performance pour votre Moto Z3 XT1929-15 - l'endurance maximale avec la batterie de remplacement de haute qualité de JS40 .
La batterie haute capacité spécialement conçue pour les Moto Z3 XT1929-15 . Vous assure que votre téléphone a assez de puissance pour les petites et grandes tâches de la vie quotidienne.
Ne laisser jamais descendre votre batterie Lithium ion en dessous de 20% de capacité avant de la recharger
La batterie pour MOTOROLA JS40 est livrée avec un reliquat de charge. Il est nécessaire de la charger avant son utilisation. Il est également recommandé de charger et décharger votre nouvelle batterie pour MOTOROLA JS40 2 à 5 fois pour obtenir sa capacité maximale.
La batterie haute capacité spécialement conçue pour les Moto Z3 XT1929-15 . Vous assure que votre téléphone a assez de puissance pour les petites et grandes tâches de la vie quotidienne.
La JS40 Batterie de remplacement de Motorola Moto Z3 XT1929-15 – Une grande Qualité à Prix Avantageux
✔ Batterie de Rechange de très bonne Qualité avec une grande Capacité
✔ Longue durée de vie avec sa Technologie moderne au lithium sans effet de mémoire
✔ Sécurité et Fiabilité Garanties contre: Courts-Circuits, Surchauffes, Surtensions
✔ Chaque Cellules sont séparement testées et contrôlées par des professionels compétants
✔ 100% Similaire avec votre batterie d'origine
✔ Longue durée de vie avec sa Technologie moderne au lithium sans effet de mémoire
✔ Sécurité et Fiabilité Garanties contre: Courts-Circuits, Surchauffes, Surtensions
✔ Chaque Cellules sont séparement testées et contrôlées par des professionels compétants
✔ 100% Similaire avec votre batterie d'origine
- Marque: MOTOROLA Batterie
- Capacité: 2820mah/11.4Wh
- Tension: 3.82V/4.4V
- Garantie: 12 mois / 30 jours de retour
Numéros de pièces compatibles:
Cette batterie est aussi compatible avec:
Motorola Moto Z3 XT1929-15
La batterie Aboutbatteries pour MOTOROLA JS40 est neuve et composée de cellules de qualité.
Elle répond aux normes du constructeur dans la mesure où elle a :
- La même technologie (Li-ion ou Ni-CD/Ni-MH).
- La même tension (V), un écart d'un volt est toléré.
- La capacité de la batterie (mAh/A/W) peut être différente; plus elle affiche de mAh/A/W, plus son autonomie est élevée.
Elle répond aux normes du constructeur dans la mesure où elle a :
- La même technologie (Li-ion ou Ni-CD/Ni-MH).
- La même tension (V), un écart d'un volt est toléré.
- La capacité de la batterie (mAh/A/W) peut être différente; plus elle affiche de mAh/A/W, plus son autonomie est élevée.
Conseils d'entretien
La batterie pour MOTOROLA JS40 doit subir au moins une charge par mois pour se préserver de l'effet mémoire et éviter que sa tension ne chute trop bas. Une batterie au repos trop longtemps risque de perdre ses performances, voire de ne plus fonctionner du tout.Ne laisser jamais descendre votre batterie Lithium ion en dessous de 20% de capacité avant de la recharger
La batterie pour MOTOROLA JS40 est livrée avec un reliquat de charge. Il est nécessaire de la charger avant son utilisation. Il est également recommandé de charger et décharger votre nouvelle batterie pour MOTOROLA JS40 2 à 5 fois pour obtenir sa capacité maximale.
Batterie HZ40 pour Motorola Moto Z2 Play XT1710 XT1710-01 XT1710-08 - 3000mAh
Prix bas Motorola HZ40 batterie sur ruebatterie.fr , Toutes nos Motorola HZ40 Batterie sont neuves et compatibles. livraison rapide.
Batterie Motorola HZ40 - [3000mah/11.4Wh] - [3.8V/4.4V] - Li-ion
- Capacité: 3000mah/11.4Wh
- Tension: 3.8V/4.4V
Batterie aux normes CE, garantie 12 mois.
- * Batterie adaptable (tout neuf)
- * Longue durée de vie grâce à des cellules de qualité.
- * Parfait Cette batterie fonctionne parfaitement bien sur Motorola HZ40 .
- * Batterie pour Motorola HZ40 a été testée et certifiée pour garantir un fonctionnement parfait sur votre portable.
- * Batterie pour Motorola HZ40 de remplacement pour portable est conçue pour atteindre ou dépasser les spécifications du fabricant d'origine.
- * Batterie longue durée pour Motorola HZ40.
- * Caractéristiques supérieures à celles de la batterie ordinateur portable Motorola HZ40 origine.
Numéros de pièces compatibles:
Cette batterie est aussi compatible avec:
Motorola Moto Z2 Play XT1710 XT1710-01 XT1710-08- Vous avez juste besoin d’être au courant de quelques choses simples comme la température et le niveau de charge de votre téléphone.
- 1 Attention à la température
- Essayez de garder le téléphone ou la tablette à l’abri de la lumière directe du soleil ou de l’exposer à des températures inférieures à zéro, chaque fois que c’est possible.
- 2 Décharge partielle contre décharge complète
- Cela signifie la charge votre téléphone quand il atteint la charge de 40 pour cent et l’arrêt et l’arrêt de la charge quand la batterie atteint 80 pour cent, quoique vous deviez équilibrer ces pourcentages avec l’utilisation pratique.
- 3 Ne pas le laisser branché tout le temps
- Le Li-ion ne peut pas absorber la surcharge et quand elle est entièrement chargée, le courant de charge doit être coupé.
Neuve 130W K00F5 M0H25 AC Adaptateur pour DELL 9575 9570
DELL K00F5 M0H25 Adaptateur, 130W K00F5 M0H25 AC Adaptateur Chargeur pour DELL 9575 9570 Type-C USB-C,Chargeur de batterie, neufs et d'occasion au meilleur prix sur,Nos chargeurs compatibles bénéficient d'une garantie pour échange standard de 12 mois.
Cette est conforme aux normes de sécurité de l'industrie les plus élevées et a une construction solide.
Dell 130W Dell XPS 15 9575 2-in-1 Type-C port
- Remboursement de 30 jours ! Achat Vente Garanti
- Paiement sécurisé ssl !100% neuf !Garantie : 12 mois
- Chargeur ordinateur portable 100% compatible constructeur.
- Type de Produit : dell chargeur de pc portable
- Entrée AC : 100-240V 50-60Hz
- Sortie DCT : 5V=1A 20V=6.5A 130W
Cette est conforme aux normes de sécurité de l'industrie les plus élevées et a une construction solide.
Numéros de pièces compatibles:
-
K00F5 M0H25
Cette batterie est aussi compatible avec:
DELL 9575 9570 Type-C USB-CDell 130W Dell XPS 15 9575 2-in-1 Type-C port
Bloc d’alimentation conseils d'utilisation
- Il est important d’enlever la batterie lorsque la charge est finie, car une charge trop longue va endommager la pile.
- Lors de la première utilisation de votre ordinateur portable, chargez complètement la batterie neuve avec adaptateur secteur K00F5.
- Après utilisation, stockez votre chargeur DELL K00F5 dans un environnement à l’abri de la lumière et à température ambiante d’environ 20°.
Wednesday, November 21, 2018
Valve dit adieu à son boitier de streaming
La production du Steam Link, le boitier permettant le streaming de ses jeux PC sur sa télé, vient d’être arrêtée.
Le studio Valve, qui gère la plateforme de jeux vidéo Steam, vient d’annoncer la fin de son Steam Link. Le boitier, lancé en 2015, permet de lancer ses jeux PC en streaming sur sa télévision (et en 1080p via HDMI) avec un PC connecté au même réseau. Une manière de profiter de ses jeux Steam comme avec une “vraie console”.
Valve a annoncé officiellement sur une page de son site que les stocks du boîtier Steam Link étaient en rupture en Europe, et que ce sera également le cas très prochainement aux États-Unis. Ceux qui possèdent le boitier bénéficieront toutefois toujours du support, Valve s’engageant à le poursuivre à l’avenir.
Le studio délaisse ainsi son produit hardware au profit de l’application Android également baptisée Steam Link, qui a la même fonctionnalité, permettant de jouer sur l’écran d’un smartphone ou d’une tablette. Seule quelques smartTV sont pour l’instant compatibles avec l’app disponible en version bêta depuis le mois de mai, comme les téléviseurs Samsung.
Le studio Valve, qui gère la plateforme de jeux vidéo Steam, vient d’annoncer la fin de son Steam Link. Le boitier, lancé en 2015, permet de lancer ses jeux PC en streaming sur sa télévision (et en 1080p via HDMI) avec un PC connecté au même réseau. Une manière de profiter de ses jeux Steam comme avec une “vraie console”.
Valve a annoncé officiellement sur une page de son site que les stocks du boîtier Steam Link étaient en rupture en Europe, et que ce sera également le cas très prochainement aux États-Unis. Ceux qui possèdent le boitier bénéficieront toutefois toujours du support, Valve s’engageant à le poursuivre à l’avenir.
Le studio délaisse ainsi son produit hardware au profit de l’application Android également baptisée Steam Link, qui a la même fonctionnalité, permettant de jouer sur l’écran d’un smartphone ou d’une tablette. Seule quelques smartTV sont pour l’instant compatibles avec l’app disponible en version bêta depuis le mois de mai, comme les téléviseurs Samsung.
Apple veut transmettre les dossiers médicaux des anciens combattants sur iPhone
Apple est actuellement en discussion pour que les vétérans américains puissent toujours avoir leurs dossiers médicaux sous la main.
Selon le Wall Street Journal, Apple est en pourparlers avec le département des anciens combattants des États-Unis (Department of Veterans Affairs) pour créer une plateforme qui permettrait aux neuf millions de vétérans présents dans le pays de transférer leurs données médicales vers iOS, et donc de les avoir tout le temps sur eux par le biais de leur iPhone.
Actuellement, ces données sont placées dans un système spécialement dédié et demande une requête spécifique pour y avoir accès.
Le but d’Apple est d’une part de faciliter l’accès à ces données médicales pour les vétérans, et d’autre part de développer des services en partenariat avec l’armée autour de la Santé qui est un domaine, on le sait, qui tient beaucoup à cœur à la firme de Cupertino.
Pour ce faire, Apple pourrait exploiter Health Records, une fonctionnalité apparue dans iOS 11.3 et qui est déjà utilisée par plus d’une centaine d’établissements médicaux aux États-Unis. Celle-ci permet d’avoir directement dans l’application Santé une grande partie de son dossier médical, avec entre autres les indications sur les médicaments pris, les résultats de laboratoire ou encore les allergies connues.
Selon le Wall Street Journal, Apple est en pourparlers avec le département des anciens combattants des États-Unis (Department of Veterans Affairs) pour créer une plateforme qui permettrait aux neuf millions de vétérans présents dans le pays de transférer leurs données médicales vers iOS, et donc de les avoir tout le temps sur eux par le biais de leur iPhone.
Actuellement, ces données sont placées dans un système spécialement dédié et demande une requête spécifique pour y avoir accès.
Le but d’Apple est d’une part de faciliter l’accès à ces données médicales pour les vétérans, et d’autre part de développer des services en partenariat avec l’armée autour de la Santé qui est un domaine, on le sait, qui tient beaucoup à cœur à la firme de Cupertino.
Pour ce faire, Apple pourrait exploiter Health Records, une fonctionnalité apparue dans iOS 11.3 et qui est déjà utilisée par plus d’une centaine d’établissements médicaux aux États-Unis. Celle-ci permet d’avoir directement dans l’application Santé une grande partie de son dossier médical, avec entre autres les indications sur les médicaments pris, les résultats de laboratoire ou encore les allergies connues.
Netflix se met à jour sur iOS pour améliorer la lecture des films et séries
Une nouvelle mise à jour de Netflix est disponible sur iPhone, iPad et Apple TV. Elle vise à améliorer la lecture des contenus.
Après avoir adapté son application pour qu’elle s’affiche pleinement sur l’écran des nouveaux iPad de 11 pouces, Netflix propose une nouvelle mise à jour pour améliorer l’expérience des utilisateurs sur iOS.
La version de la plateforme de streaming optimisée pour l’environnement Apple se voit désormais améliorée dans ses contrôles vidéo. Apparaissent ainsi deux nouveaux boutons permettant soit de revenir 10 secondes en arrière soit d’avancer la lecture de 10 secondes. Les deux commandes sont placées au centre de l’écran, de part et d’autre du bouton Lecture/Pause, et il suffit de tapoter son écran par deux fois sur la gauche ou la droite pour effectuer le saut temporel.
Cette dernière update embarque également des commandes agrandies, notamment pour le bouton Lecture/Pause, ainsi que des vignettes en bas de l’écran pour modifier les langues et sous-titres et sélectionner rapidement l’épisode suivant. En touchant le nouveau bouton “Épisode suivant”, on accède ainsi à la suite de son show plus vite.
Ces améliorations inspirées, il faut le reconnaître, de YouTube, visent une manipulation plus simple et rapide de l’application Netflix sur iOS, que vous pouvez télécharger gratuitement ici si ce n’est déjà fait.
Après avoir adapté son application pour qu’elle s’affiche pleinement sur l’écran des nouveaux iPad de 11 pouces, Netflix propose une nouvelle mise à jour pour améliorer l’expérience des utilisateurs sur iOS.
La version de la plateforme de streaming optimisée pour l’environnement Apple se voit désormais améliorée dans ses contrôles vidéo. Apparaissent ainsi deux nouveaux boutons permettant soit de revenir 10 secondes en arrière soit d’avancer la lecture de 10 secondes. Les deux commandes sont placées au centre de l’écran, de part et d’autre du bouton Lecture/Pause, et il suffit de tapoter son écran par deux fois sur la gauche ou la droite pour effectuer le saut temporel.
Cette dernière update embarque également des commandes agrandies, notamment pour le bouton Lecture/Pause, ainsi que des vignettes en bas de l’écran pour modifier les langues et sous-titres et sélectionner rapidement l’épisode suivant. En touchant le nouveau bouton “Épisode suivant”, on accède ainsi à la suite de son show plus vite.
Ces améliorations inspirées, il faut le reconnaître, de YouTube, visent une manipulation plus simple et rapide de l’application Netflix sur iOS, que vous pouvez télécharger gratuitement ici si ce n’est déjà fait.
La future Apple Watch pourrait prévenir les risques de cancer de la peau
Un nouveau brevet prouve les efforts d’Apple dans le développement de capteurs UV à destination de l’Apple Watch.
Cet été, nous avions repéré cette demande de brevet décrivant une Apple Watch capable de détecter les ultraviolets. Même si le dépôt d’un brevet n’est pas synonyme de la concrétisation du projet qui y figure, le document prouvait en tous cas que la firme réfléchissait à de nouvelles fonctionnalités orientées “santé” pour sa montre connectée.
L’idée de capteurs UV sur l’Apple Watch trotte dans la tête des développeurs de la pomme, c’est certain. Un nouveau brevet qui vient d’être accordé par l’USPTO (le Bureau américain des brevets et des marques de commerce) le prouve. Le schéma décrit des capteurs placés tout autour du cadran qui peuvent mesurer l’exposition aux rayons ultraviolets. Un système de notifications indiquant quel type de protection à appliquer et à quelle fréquence est bien sûr aussi prévu.
Des informations d’indices UV en fonction de l’emplacement où l’on se trouve, données grâce aux prévisions météorologiques, pourraient également être données. Les utilisateurs pourraient ainsi être avertis à l’avance du changement de climat et des périodes à plus haut risque au cours de la journée.
Le document indique également que d’autres fonctionnalités pourraient être ajoutées, comme des indications pour prévenir le vieillissement ou les risques de cancer de la peau.
Cet été, nous avions repéré cette demande de brevet décrivant une Apple Watch capable de détecter les ultraviolets. Même si le dépôt d’un brevet n’est pas synonyme de la concrétisation du projet qui y figure, le document prouvait en tous cas que la firme réfléchissait à de nouvelles fonctionnalités orientées “santé” pour sa montre connectée.
L’idée de capteurs UV sur l’Apple Watch trotte dans la tête des développeurs de la pomme, c’est certain. Un nouveau brevet qui vient d’être accordé par l’USPTO (le Bureau américain des brevets et des marques de commerce) le prouve. Le schéma décrit des capteurs placés tout autour du cadran qui peuvent mesurer l’exposition aux rayons ultraviolets. Un système de notifications indiquant quel type de protection à appliquer et à quelle fréquence est bien sûr aussi prévu.
Des informations d’indices UV en fonction de l’emplacement où l’on se trouve, données grâce aux prévisions météorologiques, pourraient également être données. Les utilisateurs pourraient ainsi être avertis à l’avance du changement de climat et des périodes à plus haut risque au cours de la journée.
Le document indique également que d’autres fonctionnalités pourraient être ajoutées, comme des indications pour prévenir le vieillissement ou les risques de cancer de la peau.
Comment programmer l’envoi de SMS sur iPhone
Contrairement à Android, iMessage ne permet pas à ses utilisateurs de planifier l’envoi automatique de SMS. Pourtant, il existe des solutions pour éviter d’oublier de souhaiter un bon anniversaire à mamy.
Pour les plus distraits, ou par simple facilité, programmer l’envoi de SMS est une véritable nécessité. Une fonctionnalité absente de l’iPhone, mais qui pourrait éviter tellement de situations gênantes.
Si vous souhaitez malgré tout planifier l’envoi de SMS, il faudra télécharger une application dédiée. Par exemple, SMS Scheduler, gratuite et disponible sur l’App Store, est une solution intermédiaire. Celle-ci aura l’avantage de vous forcer à envoyer le message prévu le moment venu.
Dans un premier temps, il faudra enregistrer le numéro de la personne, la date ainsi que le message à envoyer. Le jour venu, l’application vous enverra une notification pour vous rappeler d’envoyer votre SMS à la personne.
Malheureusement, SMS Scheduler ne permet pas d’envoyer automatiquement des SMS. Seules les applications payantes le permettent. À vous de voir si vous voulez mettre le prix. Par exemple ; Scheduled. La méthode reste la même.
Sinon, vous pouvez toujours ajouter des rappels pour chaque événement. Ainsi, vous n’oublierez pas de souhaiter une bonne année à vos beaux-parents.
Pour les plus distraits, ou par simple facilité, programmer l’envoi de SMS est une véritable nécessité. Une fonctionnalité absente de l’iPhone, mais qui pourrait éviter tellement de situations gênantes.
Si vous souhaitez malgré tout planifier l’envoi de SMS, il faudra télécharger une application dédiée. Par exemple, SMS Scheduler, gratuite et disponible sur l’App Store, est une solution intermédiaire. Celle-ci aura l’avantage de vous forcer à envoyer le message prévu le moment venu.
Dans un premier temps, il faudra enregistrer le numéro de la personne, la date ainsi que le message à envoyer. Le jour venu, l’application vous enverra une notification pour vous rappeler d’envoyer votre SMS à la personne.
Malheureusement, SMS Scheduler ne permet pas d’envoyer automatiquement des SMS. Seules les applications payantes le permettent. À vous de voir si vous voulez mettre le prix. Par exemple ; Scheduled. La méthode reste la même.
Sinon, vous pouvez toujours ajouter des rappels pour chaque événement. Ainsi, vous n’oublierez pas de souhaiter une bonne année à vos beaux-parents.
Assassin’s Creed débarque sur l’App Store
Assassin’s Creed Rebellion est dès aujourd’hui disponible sur iOS et Android.
Les fans de la célèbre saga d’Ubisoft peuvent dès à présent expérimenter gratuitement ce nouvel épisode sur leur smartphone. Baptisé Rebellion, le free-to-play nous plonge au XVème siècle en Espagne, à l’époque de l’Inquisition.
On y monte dans un premier temps sa propre confrérie en construisant une base et en recrutant jusqu’à 40 assassins parmi les plus célèbres de la série: Ezio, Aguilar, Mario, Shao Jun, Machiavelli, Claudia Auditore, et bien d’autres. Ensuite, la seconde partie du jeu consiste à infiltrer les places fortes des Templiers à l’aide d’escouades composées de trois héros. L’approche tactique ayant son importance, on pourra choisir de passer en force ou en toute discrétion).
Rebellion arbore des graphismes loin des standards de la série-mère, optant pour un design plus mignon, assez proche des figurines Funko Pop! Le jeu de base est disponible gratuitement sur l’App Store mais contient bien sûr de nombreux achats intégrés. Des évènements temporaires sont prévus, proposant de nouveaux environnements et des récompenses à la clé (assassins rares, pièces d’équipements, etc.). Un abonnement mensuel premium est même proposé pour ne rien manquer, mais pour cela il faudra bien sûr sortir la carte de crédit.
Les fans de la célèbre saga d’Ubisoft peuvent dès à présent expérimenter gratuitement ce nouvel épisode sur leur smartphone. Baptisé Rebellion, le free-to-play nous plonge au XVème siècle en Espagne, à l’époque de l’Inquisition.
On y monte dans un premier temps sa propre confrérie en construisant une base et en recrutant jusqu’à 40 assassins parmi les plus célèbres de la série: Ezio, Aguilar, Mario, Shao Jun, Machiavelli, Claudia Auditore, et bien d’autres. Ensuite, la seconde partie du jeu consiste à infiltrer les places fortes des Templiers à l’aide d’escouades composées de trois héros. L’approche tactique ayant son importance, on pourra choisir de passer en force ou en toute discrétion).
Rebellion arbore des graphismes loin des standards de la série-mère, optant pour un design plus mignon, assez proche des figurines Funko Pop! Le jeu de base est disponible gratuitement sur l’App Store mais contient bien sûr de nombreux achats intégrés. Des évènements temporaires sont prévus, proposant de nouveaux environnements et des récompenses à la clé (assassins rares, pièces d’équipements, etc.). Un abonnement mensuel premium est même proposé pour ne rien manquer, mais pour cela il faudra bien sûr sortir la carte de crédit.
Tuesday, November 20, 2018
Google préparerait un Pixel “low-cost”
Google n’a pas annoncé de déclinaison plus abordable du Pixel 3, pourtant, les adeptes ne perdent pas espoir. Un blog russe révèle d’ailleurs un candidat potentiel.
Cette semaine, le blog russe Rozetked a publié des images et la liste de spécifications d’un téléphone très similaire au Google Pixel 3, mais doté d’une prise jack et d’un logo différent.
L’appareil intéressera ceux qui recherchent un smartphone Google au prix plus doux pour le porte-monnaie.
Ce successeur potentiel au Pixel est doté du même cadran blanc que le 3 et le 3 XL et dispose d’un bouton d’allumage coloré sur la droite. L’écran est encadré de bords plus larges et au lieu d’une encoche, on aperçoit une barre noire ressemblant à celle du bas des téléphones.
Au dos toutefois, à la place du “G” de Google, on aperçoit un “C”, ce qui laisse sceptique.
Les utilisateurs se montrent tout de même enthousiastes face à cette possibilité. Il ne reste plus qu’à guetter des informations en provenance de l’entreprise elle-même.
Cette semaine, le blog russe Rozetked a publié des images et la liste de spécifications d’un téléphone très similaire au Google Pixel 3, mais doté d’une prise jack et d’un logo différent.
L’appareil intéressera ceux qui recherchent un smartphone Google au prix plus doux pour le porte-monnaie.
Ce successeur potentiel au Pixel est doté du même cadran blanc que le 3 et le 3 XL et dispose d’un bouton d’allumage coloré sur la droite. L’écran est encadré de bords plus larges et au lieu d’une encoche, on aperçoit une barre noire ressemblant à celle du bas des téléphones.
Au dos toutefois, à la place du “G” de Google, on aperçoit un “C”, ce qui laisse sceptique.
Les utilisateurs se montrent tout de même enthousiastes face à cette possibilité. Il ne reste plus qu’à guetter des informations en provenance de l’entreprise elle-même.
Monday, November 19, 2018
Les premières infos sur le smartphone pliable de Huawei
La compétition s’annonce rude sur le champ de bataille du smartphone pliable l’an prochain. Plus tôt ce mois-ci, Samsung dévoilait son Samsung Galaxy F dont la commercialisation est attendue en mars prochain. Huawei prépare également les armes de son côté, avec un premier smartphone pliable qui serait dévoilé en février 2019.
Difficile de prédire qui sera le premier à commercialiser ce nouveau format de smartphone. Samsung tente de s’emparer des rennes en annonçant officiellement le Galaxy F (ou X) – exception faite du téléphone de Rouyu Technology – mais rien n’indique que Huawei ne gagne pas la course.
Que sait-on au juste du téléphone pliable du constructeur chinois? Si l’on s’en réfère aux informations livrées par Huawei, on sait d’ores et déjà que la firme veut y intégrer la 5G. Double pari donc pour l’entreprise puisque ni téléphones pliables ni support 5G ne sont encore commercialisés.
Pour cette raison, Huawei envisagerait un lancement dans quelques pays prioritaires dont la Corée du Sud, qui est pour l’instant un des seuls pays qui disposera d’une couverture 5G au cours du premier semestre 2019. Selon ETNews, un média local, les opérateurs coréens auraient d’ailleurs déjà eu l’occasion de voir le prototype de Huawei, qui aurait déjà des allures de téléphone achevé.
Surpasser Samsung
Quant à l’écran, Huawei miserait sur un écran externe lorsque le smartphone est replié et un écran interne, plus grand, lorsque celui-ci est ouvert, une conception similaire au Galaxy F. Mais le constructeur chinois viserait plus grand que son concurrent coréen : 5 pouces et 8 pouces pour les deux écrans contre 4,6 et 7,3 pour ceux de Samsung. C’est le fabricant chinois BOE qui serait chargé de fournir les écrans, déjà fournisseur des écrans OLED courbés du Mate 20 Pro.
En ce qui concerne le prix et le nom de l’appareil, les inconnues subsistent. En revanche, ETNews affirme que le téléphone pliable devrait être dévoilé en février prochain à l’occasion du salon MWC à Barcelone avant d’être mis en vente au mois de juin.
Difficile de prédire qui sera le premier à commercialiser ce nouveau format de smartphone. Samsung tente de s’emparer des rennes en annonçant officiellement le Galaxy F (ou X) – exception faite du téléphone de Rouyu Technology – mais rien n’indique que Huawei ne gagne pas la course.
Que sait-on au juste du téléphone pliable du constructeur chinois? Si l’on s’en réfère aux informations livrées par Huawei, on sait d’ores et déjà que la firme veut y intégrer la 5G. Double pari donc pour l’entreprise puisque ni téléphones pliables ni support 5G ne sont encore commercialisés.
Pour cette raison, Huawei envisagerait un lancement dans quelques pays prioritaires dont la Corée du Sud, qui est pour l’instant un des seuls pays qui disposera d’une couverture 5G au cours du premier semestre 2019. Selon ETNews, un média local, les opérateurs coréens auraient d’ailleurs déjà eu l’occasion de voir le prototype de Huawei, qui aurait déjà des allures de téléphone achevé.
Surpasser Samsung
Quant à l’écran, Huawei miserait sur un écran externe lorsque le smartphone est replié et un écran interne, plus grand, lorsque celui-ci est ouvert, une conception similaire au Galaxy F. Mais le constructeur chinois viserait plus grand que son concurrent coréen : 5 pouces et 8 pouces pour les deux écrans contre 4,6 et 7,3 pour ceux de Samsung. C’est le fabricant chinois BOE qui serait chargé de fournir les écrans, déjà fournisseur des écrans OLED courbés du Mate 20 Pro.
En ce qui concerne le prix et le nom de l’appareil, les inconnues subsistent. En revanche, ETNews affirme que le téléphone pliable devrait être dévoilé en février prochain à l’occasion du salon MWC à Barcelone avant d’être mis en vente au mois de juin.
tout savoir sur la NM Card de Huawei
Invitée surprise de de l’annonce des Mate 20 et Mate 20 Pro, la NM Card a fait coulé beaucoup d’encre (numérique, forcément). Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce format de stockage développé par Huawei.
L’impossibilité d’étendre la mémoire de stockage d’un Mate était le principal reproche récurrent adressé à Huawei par ses clients. Pour sa défense, le constructeur arguait qu’avec 64 ou 128 Go de stockage intégré, l’extension de la capacité interne n’était pas une urgence absolue. L’arrivée de la captation vidéo en 4K et le support des photos au format RAW ont changé les choses et Huawei s’est mis à plancher sérieusement sur le sujet. Le plus évident était bien entendu d’utiliser la bonne vieille microSD. le format est universellement reconnu et standardisé par la SD Association, organisme interconstructeur dont Huawei est membre . Bien entendu, la micro SD n’était pas une nouveauté pour Huawei, qui l’utilise depuis des années dans ses produits.
La première victime fut le vénérable port jack audio, très regretté des audiophiles à en croire les débats récurrents sur le sujet dans les commentaires de nos tests. À n’en pas douter, la carte SIM lui emboîtera le pas un jour ou l’autre vers le Panthéon des gloires technologiques passées, remplacée par l’eSIM… dès que les opérateurs se seront faits à l’idée. Car la disparition d’une SIM physique les prive (un peu) de la maîtrise de l’abonnement de l’utilisateur au profit du constructeur.
Huawei a conçu la NM Card afin qu’elle soit avant tout compacte. Elle l’est indéniablement puisque sa taille est 45% inférieure à celle d’une NanoSD. Le constructeur a eu l’idée de lui faire épouser les dimensions exactes d’une nanoSIM. Si l’on utilise qu’une seule ligne téléphonique – ce qui est le cas pour la majorité des utilisateurs occidentaux -, le second emplacement peut alors accueillir une NM Card.
Huawei pourrait-il faire adopter sa NM Card par la SD Association comme successeur de la MicroSD ? Techniquement, rien ne semble s’y opposer, la NM Card étant technologiquement très proche de la microSD. Reste à convaincre la SD Association et ses membres qui pourraient prendre ombrage de l’initiative.
L’UFS Card est ouvertement destinée à succéder à la microSD. Afin de faciliter la transition, Samsung a même conçu un lecteur interne capable d’accepter les deux formats. Qu’il s’agisse de la version interne ou de la carte, la promotion de ce standard prometteur est assurée par l’UFS Association. On y retrouve entre autres Microsoft, Samsung, Western Digital (maison-mère de SanDisk), Crucial et… Huawei.
Qualcomm quant à lui, supporte l’UFS en plus du SD depuis le SnapDragon 835 (novembre 2016). À ce jour, aucun produit grand public supportant les cartes UFS n’a encore été annoncé. Cela signifie-t-il qui le marché n’est pas encore prêt à accepter un nouveau format de cartes ? On peut le penser si l’on prend pour exemple le marché de la photographie, où les principaux acteurs n’arrivent pas à faire adopter de nouveaux formats de cartes ultra performantes comme le XQD.
Bien entendu, la curiosité nous a poussée à tester une NM Card 128 Go. Nous avons ainsi mesuré un débit en lecture variant entre 85 et 87 Mo/s (donc proche des chiffres annoncés) tandis que le débit en écriture se situe entre 71 et 74 Mo/s. On ne rencontrera donc pas de mauvaise surprise sur les performances, tant en enregistrement 4K HEVC qu’en lecture.
Les plus attentifs de nos lecteurs auront sûrement remarqué en examinant la capture d’écran de BlackMagic Disk Speed Test que nous avons effectué nos mesures sur un ordinateur. Nous avons pour cela utilisé l’adaptateur NM Card conçu par Huawei qui autorise la connexion de la carte sur un notebook en USB-C ou USB 3.0. A noter aussi qu’il est équipé d’un lecteur de microSD, histoire de faciliter le transfert de fichiers d’une carte vers l’autre.
L’adaptateur devrait être disponible en France pour une vingtaine d’euros, Huawei n’ayant pas été en mesure pour l’instant de nous communiquer son prix définitif.
Cette explication, aussi compréhensible soit-elle, nous laisse songeurs puisque les cartes microSD sont taxées de la même manière et tournent preneurs en France. Faut-il donc comprendre en filigrane que le prix de vente des NM Card serait bien plus élevé que celui des microSD ? Pas vraiment.
Le tarif officiel d’une NM Card de 128 Go est de 79 € TTC, ce qui est en phase avec les tarifs officiels de constructeurs comme SanDisk pour des microSD de capacité et vitesse équivalentes. Comme pour les microSD, les revendeurs pratiquent des prix bien plus intéressants. Il est par exemple possible de trouver la carte à 51,47 € sur Amazon.fr, prix que nous jugeons plus raisonnable. Étonnamment, les sites chinois comme AliExpress pratiquent pour l’instant un tarif plus élevé qu’Amazon (53,60 €, frais de port inclus, mais sans les taxes), mais proposent les versions 64 et 256 Go à respectivement 33,10 et 107,40 €.
L’impossibilité d’étendre la mémoire de stockage d’un Mate était le principal reproche récurrent adressé à Huawei par ses clients. Pour sa défense, le constructeur arguait qu’avec 64 ou 128 Go de stockage intégré, l’extension de la capacité interne n’était pas une urgence absolue. L’arrivée de la captation vidéo en 4K et le support des photos au format RAW ont changé les choses et Huawei s’est mis à plancher sérieusement sur le sujet. Le plus évident était bien entendu d’utiliser la bonne vieille microSD. le format est universellement reconnu et standardisé par la SD Association, organisme interconstructeur dont Huawei est membre . Bien entendu, la micro SD n’était pas une nouveauté pour Huawei, qui l’utilise depuis des années dans ses produits.
La compacité avant tout
Utiliser une Micro SD dans les Mate 20 et Mate 20 Pro posait toutefois un problème majeur, celui de la taille de la carte. Ne rigolez pas : malgré une superficie de la taille d’un ongle, la microSD est à l’heure actuelle un composant encombrant. « La multiplication des antennes à l’intérieur des smartphones à l’occasion du lancement de la 5G rend bienvenu tout gain de place dans l’appareil » explique François Hingant, Directeur Marketing Produit de Huawei CBG France. Et notamment dans des smartphones toujours plus compacts et devant bénéficier d’une autonomie de plus en plus importante, d’un écran bord à bord et des modules bi ou tricaméras… Bref, un tri sélectif devait impérativement avoir lieu.La première victime fut le vénérable port jack audio, très regretté des audiophiles à en croire les débats récurrents sur le sujet dans les commentaires de nos tests. À n’en pas douter, la carte SIM lui emboîtera le pas un jour ou l’autre vers le Panthéon des gloires technologiques passées, remplacée par l’eSIM… dès que les opérateurs se seront faits à l’idée. Car la disparition d’une SIM physique les prive (un peu) de la maîtrise de l’abonnement de l’utilisateur au profit du constructeur.
Huawei a conçu la NM Card afin qu’elle soit avant tout compacte. Elle l’est indéniablement puisque sa taille est 45% inférieure à celle d’une NanoSD. Le constructeur a eu l’idée de lui faire épouser les dimensions exactes d’une nanoSIM. Si l’on utilise qu’une seule ligne téléphonique – ce qui est le cas pour la majorité des utilisateurs occidentaux -, le second emplacement peut alors accueillir une NM Card.
Complémentaire, pas remplaçante (pour l’instant)
Huawei l’affirme la main sur le coeur : il n’est pas question avec la NM Card de vouloir concurrencer la MicroSD ni d’en garder l’exclusivité. « NM Card est un format ouvert à tous les constructeurs qui souhaitent l’utiliser », assure François Hingant. Au moment où ces lignes sont écrites, aucun constructeur n’a manifesté officiellement d’intérêt pour la NM Card. De fait, Huawei n’est pour l’instant pas en mesure de nous dire quelle forme prendra cette ouverture au côté financier. Il est toutefois fort probable que le constructeur mette en place un système de royalties. Si c’est le cas, espérons qu’il ne sera pas trop gourmand afin de ne pas décourager les industriels potentiellement intéressés.Huawei pourrait-il faire adopter sa NM Card par la SD Association comme successeur de la MicroSD ? Techniquement, rien ne semble s’y opposer, la NM Card étant technologiquement très proche de la microSD. Reste à convaincre la SD Association et ses membres qui pourraient prendre ombrage de l’initiative.
NM Card et UFS Card
Les tentatives de remplacement de la vieillissante microSD ne datent pas d’hier. On se rappelle peut-être qu’en 2016 Samsung Semiconductors a annoncé la première carte mémoire UFS (Universal Flash Storage). Elle reprend le format de la microSD (avec des connecteurs différents), tout en étant jusqu’à cinq fois plus rapide (jusqu’à 1200 Mo/s pour l’UFS 2.0). Si l’UFS est déjà utilisé dans sa version embarquée dans un nombre croissant de produits, il n’en va pas de même pour sa déclinaison carte. Et pourtant, le format a de nombreux avantages en termes de débits, mais aussi de consommation d’énergie.L’UFS Card est ouvertement destinée à succéder à la microSD. Afin de faciliter la transition, Samsung a même conçu un lecteur interne capable d’accepter les deux formats. Qu’il s’agisse de la version interne ou de la carte, la promotion de ce standard prometteur est assurée par l’UFS Association. On y retrouve entre autres Microsoft, Samsung, Western Digital (maison-mère de SanDisk), Crucial et… Huawei.
Qualcomm quant à lui, supporte l’UFS en plus du SD depuis le SnapDragon 835 (novembre 2016). À ce jour, aucun produit grand public supportant les cartes UFS n’a encore été annoncé. Cela signifie-t-il qui le marché n’est pas encore prêt à accepter un nouveau format de cartes ? On peut le penser si l’on prend pour exemple le marché de la photographie, où les principaux acteurs n’arrivent pas à faire adopter de nouveaux formats de cartes ultra performantes comme le XQD.
La taille compte, finalement
L’UFS Card se positionne comme nettement plus rapide que la microSD tout en conservant les mêmes dimensions. Huawei a choisi une stratégie différente en mettant en avant la miniaturisation de la NM Card plutôt que l’augmentation des performances. Ainsi, son débit maximal théorique en lecture atteint 90 Mo/s (identique à celui d’une bonne microSD) et autorise donc la lecture de vidéo 4K HEVC. Aucune indication n’est donnée quant à la vitesse d’écriture.Bien entendu, la curiosité nous a poussée à tester une NM Card 128 Go. Nous avons ainsi mesuré un débit en lecture variant entre 85 et 87 Mo/s (donc proche des chiffres annoncés) tandis que le débit en écriture se situe entre 71 et 74 Mo/s. On ne rencontrera donc pas de mauvaise surprise sur les performances, tant en enregistrement 4K HEVC qu’en lecture.
Les plus attentifs de nos lecteurs auront sûrement remarqué en examinant la capture d’écran de BlackMagic Disk Speed Test que nous avons effectué nos mesures sur un ordinateur. Nous avons pour cela utilisé l’adaptateur NM Card conçu par Huawei qui autorise la connexion de la carte sur un notebook en USB-C ou USB 3.0. A noter aussi qu’il est équipé d’un lecteur de microSD, histoire de faciliter le transfert de fichiers d’une carte vers l’autre.
L’adaptateur devrait être disponible en France pour une vingtaine d’euros, Huawei n’ayant pas été en mesure pour l’instant de nous communiquer son prix définitif.
Chère, la NM Card ?
La NM Card existe en trois capacités – 64, 128 et 256 Go – mais dans les faits, Huawei France ne compte distribuer que la version 128 Go, la seule intéressante à ses yeux. Si l’on peut à la rigueur comprendre l’absence de la version 64 Go, on tique un peu face à la non-commercialisation du modèle 256 Go. Huawei justifie ce choix par la taxe sur la copie privée dont le montant pour une telle capacité est jugé trop important (15,36 € pour 256 Go) pour attirer les acheteurs potentiels.Cette explication, aussi compréhensible soit-elle, nous laisse songeurs puisque les cartes microSD sont taxées de la même manière et tournent preneurs en France. Faut-il donc comprendre en filigrane que le prix de vente des NM Card serait bien plus élevé que celui des microSD ? Pas vraiment.
Le tarif officiel d’une NM Card de 128 Go est de 79 € TTC, ce qui est en phase avec les tarifs officiels de constructeurs comme SanDisk pour des microSD de capacité et vitesse équivalentes. Comme pour les microSD, les revendeurs pratiquent des prix bien plus intéressants. Il est par exemple possible de trouver la carte à 51,47 € sur Amazon.fr, prix que nous jugeons plus raisonnable. Étonnamment, les sites chinois comme AliExpress pratiquent pour l’instant un tarif plus élevé qu’Amazon (53,60 €, frais de port inclus, mais sans les taxes), mais proposent les versions 64 et 256 Go à respectivement 33,10 et 107,40 €.
Sunday, November 18, 2018
Une faille permet aux hackers de récupérer les photos supprimées de votre iPhone
Dans le cadre du concours Mobile Pwn2Own qui se tenait à Tokyo, deux hackers sont parvenus à infiltrer un iPhone sous iOS 12.1 et récupérer une photo contenue dans la corbeille.
Cet exploit accompli par Richard Zhu et Amat Cama a permis aux deux pirates informatiques d’empocher 50.000$ de gains. Seulement, la faille pourrait en coûter bien plus à des victimes de la brèche. Une simple photo d’un mot de passe ou d’un code de carte bancaire envoyé vers la corbeille n’aurait pas suffi à faire disparaître le cliché.
Pire encore, n’importe quel fichier contenu dans la corbeille aurait pu être récupéré par les deux hackers qui ont fait équipe sous le nom Fluoroacetate. Le duo a exploité une faille de Safari qui leur a permis d’exploiter le compilateur “just-in-time” via un point d’accès Wi-Fi malveillant.
La brèche réside dans le fait que les fichiers envoyés vers la corbeille subsistent encore 30 jours sur le téléphone avant de disparaître définitivement. À l’issue de ce délai, Apple supprime irrémédiablement les fichiers mais c’est au cours de cette période que des hackers peuvent y accéder à distance.
Informé de l’existence de cette faille, Apple aurait déjà mise des moyens en oeuvre pour la refermer.
Cet exploit accompli par Richard Zhu et Amat Cama a permis aux deux pirates informatiques d’empocher 50.000$ de gains. Seulement, la faille pourrait en coûter bien plus à des victimes de la brèche. Une simple photo d’un mot de passe ou d’un code de carte bancaire envoyé vers la corbeille n’aurait pas suffi à faire disparaître le cliché.
Pire encore, n’importe quel fichier contenu dans la corbeille aurait pu être récupéré par les deux hackers qui ont fait équipe sous le nom Fluoroacetate. Le duo a exploité une faille de Safari qui leur a permis d’exploiter le compilateur “just-in-time” via un point d’accès Wi-Fi malveillant.
La brèche réside dans le fait que les fichiers envoyés vers la corbeille subsistent encore 30 jours sur le téléphone avant de disparaître définitivement. À l’issue de ce délai, Apple supprime irrémédiablement les fichiers mais c’est au cours de cette période que des hackers peuvent y accéder à distance.
Informé de l’existence de cette faille, Apple aurait déjà mise des moyens en oeuvre pour la refermer.
Apple souhaiterait concevoir son propre modem pour ses iPhone
Un rapport de Bloomberg indique que la Pomme élargit sa palette de pièces pour iPhone, envisageant d’assembler ses propres modems. Une manière pour l’entreprise de contrôler sa production et de ne dépendre que d’un minimum de fournisseurs externes.
Depuis le lancement des premiers iPhone, Apple a ramené la fabrication de nombre de ses composants sous son drapeau. Bien avant la puce A12 Bionic qui équipe les derniers iPhone, saviez-vous par exemple que la SoC de la première génération d’iPhone était produite par son grand rival, Samsung?
Mais l’acteur incontournable du secteur, c’est Qualcomm. Le fournisseur domine le marché mais il est également en plein conflit juridique avec Apple. D’où la séparation entre les deux firmes, obligeant Apple à faire un virage à 180 degrés vers Intel en 2017 pour produire ses modems.
Bloomberg indique que Cupertino fait un pied de nez à son ex-partenaire : la Pomme engage à tour de bras des ingénieurs spécialisés en technologies LTE et Bluetooth, pour la conception de composants sans fil. Où les trouver? Bingo! Chez Qualcomm. Pas de quoi calmer les esprits entre les deux géants qui s’affrontent dans les tribunaux.
En revanche, le recrutement témoigne de la volonté de la firme californienne de se constituer une équipe pour la fabrication de modems made in Apple. Toutes les offres d’emploi délivrées par l’entreprise convergent vers une ville : San Diego. La Pomme y concentrerait sa nouvelle production de modems.
Aucune raison de s’inquiéter du côté de chez Intel, du moins pour les deux prochaines années. Le fournisseur électronique marche toujours aux côtés de son partenaire américain pour l’assemblage des premiers modems 5G attendus à l’horizon 2020. Au-delà de cette date, les chances de travailler avec l’entreprise la plus cotée en bourse s’amenuisent.
Depuis le lancement des premiers iPhone, Apple a ramené la fabrication de nombre de ses composants sous son drapeau. Bien avant la puce A12 Bionic qui équipe les derniers iPhone, saviez-vous par exemple que la SoC de la première génération d’iPhone était produite par son grand rival, Samsung?
Mais l’acteur incontournable du secteur, c’est Qualcomm. Le fournisseur domine le marché mais il est également en plein conflit juridique avec Apple. D’où la séparation entre les deux firmes, obligeant Apple à faire un virage à 180 degrés vers Intel en 2017 pour produire ses modems.
Bloomberg indique que Cupertino fait un pied de nez à son ex-partenaire : la Pomme engage à tour de bras des ingénieurs spécialisés en technologies LTE et Bluetooth, pour la conception de composants sans fil. Où les trouver? Bingo! Chez Qualcomm. Pas de quoi calmer les esprits entre les deux géants qui s’affrontent dans les tribunaux.
En revanche, le recrutement témoigne de la volonté de la firme californienne de se constituer une équipe pour la fabrication de modems made in Apple. Toutes les offres d’emploi délivrées par l’entreprise convergent vers une ville : San Diego. La Pomme y concentrerait sa nouvelle production de modems.
Aucune raison de s’inquiéter du côté de chez Intel, du moins pour les deux prochaines années. Le fournisseur électronique marche toujours aux côtés de son partenaire américain pour l’assemblage des premiers modems 5G attendus à l’horizon 2020. Au-delà de cette date, les chances de travailler avec l’entreprise la plus cotée en bourse s’amenuisent.
Les 5 meilleurs smartphones du moment
Pas toujours facile de bien choisir son smartphone. Pour vous aider dans votre choix, la rédaction de Geeko a préparé pour vous une sélection des meilleurs smartphones du moment…
Son smartphone est ainsi équipé d’un triple capteur dorsal. Le groupe chinois change toutefois sa configuration. Exit le capteur monochrome du P20 et place cette fois à un capteur grand angle, idéal pour la photographie de paysage et la macro. Les 3 capteurs correspondent en fait à des focales différentes. Outre une optique 16mm, on retrouve une optique 27 et une optique 81mm. De quoi s’adapter facilement à tous les types de situations.
Globalement, le rendu des photos est excellent. Le Mate 20 Pro brille particulièrement de nuit, lorsque la lumière vient à manquer. Le mode portrait semble avoir lui aussi eu droit à quelques belles améliorations.
De manière globale, si la photo reste l’un des atouts du Mate 20 Pro, c’est pourtant bien au niveau de son autonomie que le nouveau smartphone de Huawei écrase ses concurrents, avec une autonomie record de près de 2 jours. Mieux encore, l’appareil est équipé d’un système de recharge ultra-rapide qui permet de le recharger intégralement en moins de 45 minutes.
Autre nouveauté pour cette cuvée 2018 : le Mate 20 Pro s’équipe de bords incurvés, à l’image du Galaxy S9. On aime, ou on déteste à l’usage. Visuellement toutefois, le résultat est très abouti.
D’une efficacité redoutable, le smartphone de Huawei se révèle plus véloce que la plupart de ses concurrents. Avec ses 6 Go de RAM et son interface épurée, il fait mieux que son principal concurrent, le Galaxy Note 9.
Huawei dote également son smartphone de quelques fonctionnalités tendances chez les autres constructeurs. Son Mate 20 Pro supporte désormais la recharge sans fil. Il est également équipé de l’un des premiers lecteurs d’empreinte digitale directement intégré à l’écran. On regrettera en revanche l’abandon du microSD pour une technologie propriétaire baptisée le nanoSD, qui ne devrait guère faire d’émules…
Les + :
Le stylet en question permet non seulement de prendre des notes à la volée mais peut également être utilisé comme une télécommande pour activer à distance l’appareil photo du smartphone. Pratique ! Même si, au final, tout cela reste très gadget. Car en dehors de cette fonction, presque rien ne différencie le Note 9 du Galaxy S9, si ce n’est un prix plus élevé.
Les professionnels y trouveront toutefois un réel intérêt puisque le petit stylet du Note 9 peut être utilisé comme une télécommande lors de la présentation de Powerpoint. Petit bémol toutefois : l’autonomie du stylet ne dépasse pas les 30 minutes. Mieux vaut donc éviter de s’éterniser.
Pour le reste, on retrouve exactement la même expérience que sur un S9, qui était lui-même un joli copié-collé du S8. L’écran du Note 9 est superbe, ses performances à la hauteur et le smartphone de Samsung impressionne même au niveau de la photo, grâce à sa colorimétrie plus réaliste que sur les smartphones de ses concurrents. Le Note 9 se positionne au même niveau que le P20 Pro dans le domaine de la photographie. Le détourage des sujets est excellent, le smartphone excelle en photographie nocturne et son zoom écrase la concurrence. En revanche, le Note 9 se classe dernier de ce top pour la partie selfie.
Côté autonomie, le smartphone de Samsung tiendra sans difficulté une journée complète. Une autonomie légèrement supérieure au OnePlus 6, et équivalente à ce qu’on trouve chez Huawei et Apple, mais qui n’impressionne plus autant que par le passé.
Au final, même s’il présente quelques caractéristiques intéressantes, le Note 9 n’est pas forcément le meilleur candidat pour tous les publics. Sa spécificité unique se paye cash. Il faudra compter au minimum 1009€ pour mettre la main dessus…
Les + :
Ces deux modèles se différencient principalement par leur taille d’écran. Plus petit, l’iPhone Xs se destinera davantage aux utilisateurs à la recherche d’un modèle compact, avec son écran de 5,8 pouces. L’iPhone Xs Max, avec son gigantesque écran de 6,5 pouces, se destine lui davantage aux gros consommateurs de multimédia (films, séries et jeux vidéo).
On retiendra également à l’avantage de l’iPhone Xs Max une meilleure autonomie – même si la différence ne saute pas forcément aux yeux.
Sans être une révolution, l’iPhone Xs Max se positionne comme un modèle très alléchant… Si vous en avez les moyens ! Pour se le procurer, il faudra tout de même débourser pas moins de 1.259€. Inutile de le préciser : il s’agit d’une dépense très dispensable pour ceux qui n’en ont pas les moyens, d’autant plus qu’aujourd’hui, on trouve des appareils très performants proposant pratiquement la même expérience pour un prix deux fois inférieur.
Car oui, l’iPhone Xs Max est un très bon smartphone, aux performances exceptionnelles, beaucoup plus rapide que ses ancêtres, qui est capable de réaliser de très jolis clichés avec son double capteur photo, et qui est en outre équipé du système d’identification faciale le plus abouti du marché. Mais aucune de ces spécificités n’est exclusive à la pomme.
Toutefois, évitons les conclusions hâtives. Oui l’iPhone Xs Max est horriblement cher, et oui, il ne propose pas forcément davantage que ses rivaux. Toutefois, ce serait omettre un détail qui a tout son importance. L’acheteur paye également une expérience utilisateur unique, avec un écosystème complet et un OS plus sécurisé et facile d’accès que son principal rival, Android. Autrement dit, si vous disposez d’un iPad ou d’un Mac, ou que l’expérience utilisateur sur les smartphones Android ne vous a pas convaincu, il s’agit toujours de la seule option envisageable…
Attention toutefois aux frais cachés : pour profiter de la charge rapide, il faudra débourser quelques euros supplémentaires, Apple ne fournissant toujours pas de chargeur rapide aux acheteurs…
Les + :
Si son design ne plaira pas à tout le monde, le U12 Plus impressionne surtout au niveau de sa fiche technique. Aussi puissant que ses concurrents, le smartphone de HTC est un véritable délice à utiliser quotidiennement. Et pour cause puisque l’interface se rapproche comme dans le cas du OnePlus 6 de l’expérience Android pure. Pas de ralentissement ni de bugs donc, pour une expérience authentique.
Le constructeur taïwanais se positionne comme leader dans le domaine de la photo, grâce au double capteur qui équipe son smartphone. Certes, la résolution d’image est inférieure à ce qu’on trouve chez les concurrents, avec un capteur principal de 12 mégapixels seulement, épaulé par un second capteur de 16 mégapixels dédié au zoom et à la photo de portrait, mais le résultat est juste remarquable. La balance des blancs est parfaite. La quantité de détails est simplement impressionnante et le zoom du U12+ écrase tout simplement tous ses concurrents. Seul petit défaut sans doute : l’autofocus est beaucoup plus lent que sur les autres modèles.
On lui regrettera toutefois une autonomie en léger retrait, un écran de qualité moyenne avec une faible lisibilité sous le soleil, et un design pas forcément très sexy. HTC tente de se démarquer avec sa fonctionnalité edge sense, qui permet de lancer une fonction en serrant fort les bords – tactiles – de son smartphone. Un concept original qui ne fonctionne toutefois qu’à moitié puisque l’utilité de ces raccourcis est somme toute limitée. Tout le monde n’appréciera pas non plus forcément ces modes de contrôle « innovants.
Dans la pratique toutefois, avec son prix de 799€, le HTC U12+ reste une alternative très bon marché à l’iPhone Xs Max et au Galaxy Note 9.
Les + :
D’un point de vue esthétique tout d’abord, le constructeur réduit la taille de son encoche, désormais sous la forme d’une petite goutte d’eau, beaucoup plus esthétique que celle que l’on retrouve sur l’iPhone ou le dernier smartphone de Huawei.
Au niveau du hardware, pas de grosse évolution majeure. L’appareil embarque pratiquement les mêmes composants que son ainé, et ne s’en démarque pas vraiment au niveau des performances. Il embarque toutefois une batterie de plus haute capacité, qui lui permet à nouveau de tenir une journée complète avec une seule charge. Du côté de l’appareil photo aussi, OnePlus améliore les performances. Son smartphone est désormais capable de prendre des photos beaucoup plus nettes dans les environnements sombres et semble avoir aujourd’hui rattrapé son retard sur la concurrence dans ce domaine. Le rendu des selfies est en revanche un poil moins convaincant, même si l’appareil fait ici aussi bien que l’iPhone.
Comme le Mate 20 Pro, le OnePlus 6T embarque un capteur d’empreinte digitale qui lui aussi directement intégré à l’écran. Si la technologie fonctionne parfaitement, l’intérêt de cette innovation reste limité dans la mesure où la reconnaissance faciale est beaucoup plus rapide.
En corrigeant les deux principaux défauts du OnePlus 6, OnePlus livre un smartphone vraiment très séduisant, qui se caractérise surtout par son prix très attractif – presque deux fois inférieur à celui de ses concurrents! Attention toutefois, pour le commander, il faudra impérativement passer par le site web du constructeur. Inutile donc d’espérer trouver ce smartphone en magasin…
Les + :
Huawei Mate 20 Pro – le roi de la photo
Introduit début novembre, le Mate 20 Pro est le nouveau smartphone haut de gamme de Huawei. Fidèle à ses habitudes, le constructeur chinois mise avant tout sur la photo pour se démarquer de ses concurrents.Son smartphone est ainsi équipé d’un triple capteur dorsal. Le groupe chinois change toutefois sa configuration. Exit le capteur monochrome du P20 et place cette fois à un capteur grand angle, idéal pour la photographie de paysage et la macro. Les 3 capteurs correspondent en fait à des focales différentes. Outre une optique 16mm, on retrouve une optique 27 et une optique 81mm. De quoi s’adapter facilement à tous les types de situations.
Globalement, le rendu des photos est excellent. Le Mate 20 Pro brille particulièrement de nuit, lorsque la lumière vient à manquer. Le mode portrait semble avoir lui aussi eu droit à quelques belles améliorations.
De manière globale, si la photo reste l’un des atouts du Mate 20 Pro, c’est pourtant bien au niveau de son autonomie que le nouveau smartphone de Huawei écrase ses concurrents, avec une autonomie record de près de 2 jours. Mieux encore, l’appareil est équipé d’un système de recharge ultra-rapide qui permet de le recharger intégralement en moins de 45 minutes.
Autre nouveauté pour cette cuvée 2018 : le Mate 20 Pro s’équipe de bords incurvés, à l’image du Galaxy S9. On aime, ou on déteste à l’usage. Visuellement toutefois, le résultat est très abouti.
D’une efficacité redoutable, le smartphone de Huawei se révèle plus véloce que la plupart de ses concurrents. Avec ses 6 Go de RAM et son interface épurée, il fait mieux que son principal concurrent, le Galaxy Note 9.
Huawei dote également son smartphone de quelques fonctionnalités tendances chez les autres constructeurs. Son Mate 20 Pro supporte désormais la recharge sans fil. Il est également équipé de l’un des premiers lecteurs d’empreinte digitale directement intégré à l’écran. On regrettera en revanche l’abandon du microSD pour une technologie propriétaire baptisée le nanoSD, qui ne devrait guère faire d’émules…
Les + :
- L’un des meilleurs photophones
- Une autonomie exceptionnelle
- Des performances impressionnantes
- Un design soigné
- La recharge sans fil et la recharge rapide
- Les bords incurvés de l’écran
- Le port microSD remplacé par un port nanoSD propriétaire
- Le lecteur d’empreinte sous l’écran, qu’on oublie très vite
Galaxy Note 9 – l’argument du stylet
A côté de son Galaxy S9, Samsung propose également un autre modèle de smartphone haut de gamme qui a l’atout de proposer quelque chose d’unique puisque le Galaxy Note 9 est livré avec un stylet. Et cette fois, il n’explose pas.Le stylet en question permet non seulement de prendre des notes à la volée mais peut également être utilisé comme une télécommande pour activer à distance l’appareil photo du smartphone. Pratique ! Même si, au final, tout cela reste très gadget. Car en dehors de cette fonction, presque rien ne différencie le Note 9 du Galaxy S9, si ce n’est un prix plus élevé.
Les professionnels y trouveront toutefois un réel intérêt puisque le petit stylet du Note 9 peut être utilisé comme une télécommande lors de la présentation de Powerpoint. Petit bémol toutefois : l’autonomie du stylet ne dépasse pas les 30 minutes. Mieux vaut donc éviter de s’éterniser.
Pour le reste, on retrouve exactement la même expérience que sur un S9, qui était lui-même un joli copié-collé du S8. L’écran du Note 9 est superbe, ses performances à la hauteur et le smartphone de Samsung impressionne même au niveau de la photo, grâce à sa colorimétrie plus réaliste que sur les smartphones de ses concurrents. Le Note 9 se positionne au même niveau que le P20 Pro dans le domaine de la photographie. Le détourage des sujets est excellent, le smartphone excelle en photographie nocturne et son zoom écrase la concurrence. En revanche, le Note 9 se classe dernier de ce top pour la partie selfie.
Côté autonomie, le smartphone de Samsung tiendra sans difficulté une journée complète. Une autonomie légèrement supérieure au OnePlus 6, et équivalente à ce qu’on trouve chez Huawei et Apple, mais qui n’impressionne plus autant que par le passé.
Au final, même s’il présente quelques caractéristiques intéressantes, le Note 9 n’est pas forcément le meilleur candidat pour tous les publics. Sa spécificité unique se paye cash. Il faudra compter au minimum 1009€ pour mettre la main dessus…
Les + :
- Un très joli écran
- Un appareil photo très performant
- Le style, pratique comme télécommande
- De solides performances
- Une surcouche logicielle trop « flashy »
- Une autonomie qui déçoit un peu
- Beaucoup trop cher (1009€)
- Pas le meilleur choix pour les selfies
iPhone Xs Max : l’iPhone version extra-large
Du côté de la pomme, on retrouve cette année un line-up très alléchant, avec d’une part l’iPhone Xr, le modèle « grand public », séduisant, mais dépourvu d’écran OLED et du double-capteur photo qui s’est pourtant imposé comme un incontournable sur le haut de gamme, et les iPhone Xs et Xs Max, successeurs directs de l’iPhone X.Ces deux modèles se différencient principalement par leur taille d’écran. Plus petit, l’iPhone Xs se destinera davantage aux utilisateurs à la recherche d’un modèle compact, avec son écran de 5,8 pouces. L’iPhone Xs Max, avec son gigantesque écran de 6,5 pouces, se destine lui davantage aux gros consommateurs de multimédia (films, séries et jeux vidéo).
On retiendra également à l’avantage de l’iPhone Xs Max une meilleure autonomie – même si la différence ne saute pas forcément aux yeux.
Sans être une révolution, l’iPhone Xs Max se positionne comme un modèle très alléchant… Si vous en avez les moyens ! Pour se le procurer, il faudra tout de même débourser pas moins de 1.259€. Inutile de le préciser : il s’agit d’une dépense très dispensable pour ceux qui n’en ont pas les moyens, d’autant plus qu’aujourd’hui, on trouve des appareils très performants proposant pratiquement la même expérience pour un prix deux fois inférieur.
Car oui, l’iPhone Xs Max est un très bon smartphone, aux performances exceptionnelles, beaucoup plus rapide que ses ancêtres, qui est capable de réaliser de très jolis clichés avec son double capteur photo, et qui est en outre équipé du système d’identification faciale le plus abouti du marché. Mais aucune de ces spécificités n’est exclusive à la pomme.
Toutefois, évitons les conclusions hâtives. Oui l’iPhone Xs Max est horriblement cher, et oui, il ne propose pas forcément davantage que ses rivaux. Toutefois, ce serait omettre un détail qui a tout son importance. L’acheteur paye également une expérience utilisateur unique, avec un écosystème complet et un OS plus sécurisé et facile d’accès que son principal rival, Android. Autrement dit, si vous disposez d’un iPad ou d’un Mac, ou que l’expérience utilisateur sur les smartphones Android ne vous a pas convaincu, il s’agit toujours de la seule option envisageable…
Attention toutefois aux frais cachés : pour profiter de la charge rapide, il faudra débourser quelques euros supplémentaires, Apple ne fournissant toujours pas de chargeur rapide aux acheteurs…
Les + :
- De solides performances
- Une expérience utilisateur unique
- Un écran gigantesque et de très haute qualité
- Une autonomie en légère progression
- Un prix beaucoup trop élevé
- Pas de chargeur rapide
- Pas de nouveauté majeure
HTC U12+ : le challenge
Autrefois très populaire, la marque taïwanaise a presque totalement disparu du marché. HTC propose toutefois toujours des smartphones de très grande qualité. Le HTC U12 Plus en est le parfait exemple.Si son design ne plaira pas à tout le monde, le U12 Plus impressionne surtout au niveau de sa fiche technique. Aussi puissant que ses concurrents, le smartphone de HTC est un véritable délice à utiliser quotidiennement. Et pour cause puisque l’interface se rapproche comme dans le cas du OnePlus 6 de l’expérience Android pure. Pas de ralentissement ni de bugs donc, pour une expérience authentique.
Le constructeur taïwanais se positionne comme leader dans le domaine de la photo, grâce au double capteur qui équipe son smartphone. Certes, la résolution d’image est inférieure à ce qu’on trouve chez les concurrents, avec un capteur principal de 12 mégapixels seulement, épaulé par un second capteur de 16 mégapixels dédié au zoom et à la photo de portrait, mais le résultat est juste remarquable. La balance des blancs est parfaite. La quantité de détails est simplement impressionnante et le zoom du U12+ écrase tout simplement tous ses concurrents. Seul petit défaut sans doute : l’autofocus est beaucoup plus lent que sur les autres modèles.
On lui regrettera toutefois une autonomie en léger retrait, un écran de qualité moyenne avec une faible lisibilité sous le soleil, et un design pas forcément très sexy. HTC tente de se démarquer avec sa fonctionnalité edge sense, qui permet de lancer une fonction en serrant fort les bords – tactiles – de son smartphone. Un concept original qui ne fonctionne toutefois qu’à moitié puisque l’utilité de ces raccourcis est somme toute limitée. Tout le monde n’appréciera pas non plus forcément ces modes de contrôle « innovants.
Dans la pratique toutefois, avec son prix de 799€, le HTC U12+ reste une alternative très bon marché à l’iPhone Xs Max et au Galaxy Note 9.
Les + :
- De solides performances
- Très bon en photo
- Une interface très réussie
- Un prix compétitif
- Une autonomie en retrait
- Edge Sense, très gadget
- Un design qui ne plaira pas à tout le monde…
- Une faible lisibilité en plein soleil
OnePlus 6T : le meilleur rapport qualité/prix
On ne change pas une équipe qui gagne. OnePlus l’a bien compris. Le constructeur chinois nous livre une refonte de son OnePlus 6, qui reprend pratiquement à l’identique le design de son ancêtre, tout en corrigeant ses quelques petits défauts.D’un point de vue esthétique tout d’abord, le constructeur réduit la taille de son encoche, désormais sous la forme d’une petite goutte d’eau, beaucoup plus esthétique que celle que l’on retrouve sur l’iPhone ou le dernier smartphone de Huawei.
Au niveau du hardware, pas de grosse évolution majeure. L’appareil embarque pratiquement les mêmes composants que son ainé, et ne s’en démarque pas vraiment au niveau des performances. Il embarque toutefois une batterie de plus haute capacité, qui lui permet à nouveau de tenir une journée complète avec une seule charge. Du côté de l’appareil photo aussi, OnePlus améliore les performances. Son smartphone est désormais capable de prendre des photos beaucoup plus nettes dans les environnements sombres et semble avoir aujourd’hui rattrapé son retard sur la concurrence dans ce domaine. Le rendu des selfies est en revanche un poil moins convaincant, même si l’appareil fait ici aussi bien que l’iPhone.
Comme le Mate 20 Pro, le OnePlus 6T embarque un capteur d’empreinte digitale qui lui aussi directement intégré à l’écran. Si la technologie fonctionne parfaitement, l’intérêt de cette innovation reste limité dans la mesure où la reconnaissance faciale est beaucoup plus rapide.
En corrigeant les deux principaux défauts du OnePlus 6, OnePlus livre un smartphone vraiment très séduisant, qui se caractérise surtout par son prix très attractif – presque deux fois inférieur à celui de ses concurrents! Attention toutefois, pour le commander, il faudra impérativement passer par le site web du constructeur. Inutile donc d’espérer trouver ce smartphone en magasin…
Les + :
- Deux fois moins cher que les autres modèles
- De solides performances
- Un design très séduisant
- Un suivi logiciel au top
- La partie photo, encore améliorée
- Une surcouche logicielle discrète
- Une autonomie améliorée
- Pas d’écouteurs livrés avec
- Il faut impérativement le commander en ligne
Ultrabook : batterie, performance, que peut-on espérer ?
Un ordinateur ultra-plat, ultra-léger qui conjugue esthétisme et performance… Le rêve ? C’est justement ce que nous promettent les ultrabooks ou ultra-portables selon que vous êtes pro Apple ou pro Windows… Plus fourni qu’une tablette, moins encombrant qu’un portable, ces petits pc ultraplats tiennent-ils la route malgré tout ?
Si la batterie d’un ultra-pc ne tiendra pas 8 heures comme annoncé par certains constructeurs, vous pouvez néanmoins compter sur une autonomie de 4 à 5 heures en moyenne et 6 heures pour les plus performants. On attendrait de ces ultra-pc une autonomie moins importante du fait de leur petite dimension qui diminue aussi la taille des batteries mais ceux-ci n’ont rien à envier aux performances des principaux pc portables du marché, en matière d’autonomie et en surpassent même certains !
On parle bien entendu ici d’une autonomie avec une utilisation standard. Jouer, lancer des applications lourdes constituent autant d’activités gourmandes en énergie qui feront diminuer l’autonomie de votre batterie.
Pour optimiser l’espace, la plupart des ultrabooks ou pc ont des batteries intégrées qu’il n’est pas possible de déplacer, à l’instar de la plupart des composants. Tandis que les pc portables proposent des composants qu’il est possible de retirer et replacer et donc changer facilement. Néanmoins, il reste possible d’atteindre les composants et la batterie d’un ultra-pc et de les changer, cela demande juste un peu plus de technicité !
Toutefois, les ultra-pc tournent avec des composants particulièrement performants comme des disques durs SSD ou des solutions hybrides qui garantissent des performances particulièrement intéressantes.
L’aspect très compact des ultrabooks n’impose pas seulement de limiter la taille et le nombre des composants mais aussi le nombre de ports. Ainsi la connectivité est relativement limitée en comparaison à un pc portable standard. Si vous recherchez un usage standard notamment bureautique ou graphique avec plusieurs éléments à connecter, passez votre chemin ou il vous faudra investir dans des solutions qui réduiront l’encombrement limité tant apprécié !
Retenez cependant que pour tous les composants ou éléments depuis l’écran jusqu’au disque dur, taille limitée ne signifie pas pour autant qualité limitée. Les ultrabooks offrent plutôt une qualité supérieure avec des composants de qualité et des performances à la hauteur. Ce qui peut justifier leurs prix souvent très élevés pour leur petite taille !
Du côté de la batterie ?
De manière générale, ultra-pc ou pc portable, quel que soit les ordinateurs, les batteries ne tiennent jamais aussi longtemps la charge que l’annoncent les marques. Et pour cause, le temps d’activité annoncé suit un scénario qui ne correspond en rien à une utilisation normale !Si la batterie d’un ultra-pc ne tiendra pas 8 heures comme annoncé par certains constructeurs, vous pouvez néanmoins compter sur une autonomie de 4 à 5 heures en moyenne et 6 heures pour les plus performants. On attendrait de ces ultra-pc une autonomie moins importante du fait de leur petite dimension qui diminue aussi la taille des batteries mais ceux-ci n’ont rien à envier aux performances des principaux pc portables du marché, en matière d’autonomie et en surpassent même certains !
On parle bien entendu ici d’une autonomie avec une utilisation standard. Jouer, lancer des applications lourdes constituent autant d’activités gourmandes en énergie qui feront diminuer l’autonomie de votre batterie.
Pour optimiser l’espace, la plupart des ultrabooks ou pc ont des batteries intégrées qu’il n’est pas possible de déplacer, à l’instar de la plupart des composants. Tandis que les pc portables proposent des composants qu’il est possible de retirer et replacer et donc changer facilement. Néanmoins, il reste possible d’atteindre les composants et la batterie d’un ultra-pc et de les changer, cela demande juste un peu plus de technicité !
Et en matière de performances ?
La contrainte principale de l’ultra-pc est incarnée par sa petite dimension et sa finesse qui l’obligent à embarquer un nombre limité de composants. C’est pourquoi il n’y a souvent pas de carte graphique ou vidéo séparées mais tout est intégré sur le disque dur. Les pc classiques offrent ainsi un potentiel de configuration personnalisée bien plus important.Toutefois, les ultra-pc tournent avec des composants particulièrement performants comme des disques durs SSD ou des solutions hybrides qui garantissent des performances particulièrement intéressantes.
D’autres choses à savoir ?
Les ultrabooks présentent une petite tendance à chauffer du fait de leur conception intégrée et leur corps métallique qui conduit la chaleur. Soyez donc avertis en cas d’utilisation prolongée ou un peu intensive.L’aspect très compact des ultrabooks n’impose pas seulement de limiter la taille et le nombre des composants mais aussi le nombre de ports. Ainsi la connectivité est relativement limitée en comparaison à un pc portable standard. Si vous recherchez un usage standard notamment bureautique ou graphique avec plusieurs éléments à connecter, passez votre chemin ou il vous faudra investir dans des solutions qui réduiront l’encombrement limité tant apprécié !
Retenez cependant que pour tous les composants ou éléments depuis l’écran jusqu’au disque dur, taille limitée ne signifie pas pour autant qualité limitée. Les ultrabooks offrent plutôt une qualité supérieure avec des composants de qualité et des performances à la hauteur. Ce qui peut justifier leurs prix souvent très élevés pour leur petite taille !
Thursday, November 15, 2018
Les estimations de ventes de l’iPhone Xr ont été revues à la baisse
Le célèbre analyste Ming-Chi Kuo a revu ses estimations concernant les ventes de l’iPhone Xr.
Quelques jours avant la commercialisation de l’iPhone Xr (qui est sorti le 26 octobre 2018), l’analyste Ming-Chi Kuo était peut être trop optimiste. A l’époque, il misait sur 100 millions d’unités écoulées. Mais aujourd’hui, il table plutôt sur 70 millions d’ici la fin de l’exercice fiscal en cours (soit septembre 2019).
Selon lui, la demande est plus importante pour les iPhone XS et XS Max, ce qui tend à prouver que les utilisateurs désirent plutôt acheter un modèle haut de gamme, nanti entre autres d’un écran OLED et d’un double capteur photo (l’iPhone Xr disposant d’un écran LCD et n’ayant qu’un seul capteur).
Ajoutons à cette raison que les iPhone de génération précédente continuent à se vendre très bien, que la concurrence est forte (en particulier Huawei avec ses Mate 20, dixit Ming-Chi Kuo) et que les tensions économiques entre les USA et la Chine ne facilitent pas les choses.
L’analyste maintient néanmoins ses estimations pour le trimestre en cours, estimant qu’Apple pourrait vendre entre 75 et 80 millions d’iPhone tous modèles confondus. Pour le premier trimestre 2019, il prévoit par contre une baisse en misant entre 47 et 52 millions de ventes, alors qu’il visait initialement 55 à 60 millions.
Quelques jours avant la commercialisation de l’iPhone Xr (qui est sorti le 26 octobre 2018), l’analyste Ming-Chi Kuo était peut être trop optimiste. A l’époque, il misait sur 100 millions d’unités écoulées. Mais aujourd’hui, il table plutôt sur 70 millions d’ici la fin de l’exercice fiscal en cours (soit septembre 2019).
Selon lui, la demande est plus importante pour les iPhone XS et XS Max, ce qui tend à prouver que les utilisateurs désirent plutôt acheter un modèle haut de gamme, nanti entre autres d’un écran OLED et d’un double capteur photo (l’iPhone Xr disposant d’un écran LCD et n’ayant qu’un seul capteur).
Ajoutons à cette raison que les iPhone de génération précédente continuent à se vendre très bien, que la concurrence est forte (en particulier Huawei avec ses Mate 20, dixit Ming-Chi Kuo) et que les tensions économiques entre les USA et la Chine ne facilitent pas les choses.
L’analyste maintient néanmoins ses estimations pour le trimestre en cours, estimant qu’Apple pourrait vendre entre 75 et 80 millions d’iPhone tous modèles confondus. Pour le premier trimestre 2019, il prévoit par contre une baisse en misant entre 47 et 52 millions de ventes, alors qu’il visait initialement 55 à 60 millions.
Bruxelles : un iPhone 6s s’embrase près de son lit, un drame évité
“Il y a avait des flammes, il y avait des étincelles qui jaillissaient un peu partout“, Sandy nous raconte son réveil brutal lorsque, pendant la nuit, son iPhone 6s a subitement pris feu. Premier réflexe de la jeune femme : jeter le téléphone au sol pour éviter que les draps à proximité ne s’enflamment à leur tour. Un incident est évité mais la Bruxelloise de 25 ans se dit chanceuse d’avoir le sommeil léger.
Un incident sans conséquence mais qui secoue malgré tout la jeune femme : “une heure avant, j’avais un bébé dans les bras. Il y avait de la fumée dans tout l’étage“.
Ce genre de situations n’est pas inédite pour un téléphone de la Pomme. D’autres cas d’iPhone qui se sont embrasés spontanément ont déjà été relevés sur des modèles de la même génération, comme cette conductrice qui a vu son téléphone s’enflammer dans sa voiture ou encore cette Américaine dont l’iPhone a pris feu aux côtés de son lit.
Dans la plupart des cas, le coupable n’est autre que la batterie, dont la surchauffe provoque l’embrasement du téléphone. Si la raison pour laquelle le téléphone de la jeune Bruxelloise a subitement pris feu ne fait pas vraiment de doute, des experts d’Apple devront déterminer avec précision les causes de l’incident et éviter qu’il ne se reproduise à l’avenir.
Les dangers de la surchauffe
Forte de cette expérience, la jeune femme qui a réchappé à un accident dont les conséquences auraient pu être terribles affirme qu’elle se détourne aujourd’hui de la marque. Mais il est une chose qui préoccupe plus l’ex-cliente de la Pomme, c’est de prévenir du danger que représentent les téléphones : “Il faut que les gens se rendent compte que le GSM, c’est un danger“.
La prévention en la matière est effectivement peu répandue en Belgique, la charge prolongée d’un téléphone présente un risque, particulièrement lorsque celui-ci est placé sous un oreiller ou une couverture. Mais Sandy espère que son histoire permettra d’éveiller les consciences.
Un incident sans conséquence mais qui secoue malgré tout la jeune femme : “une heure avant, j’avais un bébé dans les bras. Il y avait de la fumée dans tout l’étage“.
Ce genre de situations n’est pas inédite pour un téléphone de la Pomme. D’autres cas d’iPhone qui se sont embrasés spontanément ont déjà été relevés sur des modèles de la même génération, comme cette conductrice qui a vu son téléphone s’enflammer dans sa voiture ou encore cette Américaine dont l’iPhone a pris feu aux côtés de son lit.
Dans la plupart des cas, le coupable n’est autre que la batterie, dont la surchauffe provoque l’embrasement du téléphone. Si la raison pour laquelle le téléphone de la jeune Bruxelloise a subitement pris feu ne fait pas vraiment de doute, des experts d’Apple devront déterminer avec précision les causes de l’incident et éviter qu’il ne se reproduise à l’avenir.
Les dangers de la surchauffe
Forte de cette expérience, la jeune femme qui a réchappé à un accident dont les conséquences auraient pu être terribles affirme qu’elle se détourne aujourd’hui de la marque. Mais il est une chose qui préoccupe plus l’ex-cliente de la Pomme, c’est de prévenir du danger que représentent les téléphones : “Il faut que les gens se rendent compte que le GSM, c’est un danger“.
La prévention en la matière est effectivement peu répandue en Belgique, la charge prolongée d’un téléphone présente un risque, particulièrement lorsque celui-ci est placé sous un oreiller ou une couverture. Mais Sandy espère que son histoire permettra d’éveiller les consciences.
Microsoft retarde le déploiement de la nouvelle mise à jour de Windows
Pour Microsoft, les mises à jour majeures de Windows 10 se suivent et se ressemblent dans le cafouillage.
Après le retard pris par la mise à jour d’avril, celle d’octobre a dû rapidement être suspendue après son premier déploiement suite à une enquête lancée sur des cas de fichiers littéralement supprimés des ordinateurs sur lesquels elle avait été installée. Ce mercredi 14 novembre, Microsoft la relance, très prudemment et progressivement.
Mise à disposition début octobre 2018, la dernière mise à jour majeure de Windows 10 a rapidement été stoppée après plusieurs témoignages d’utilisateurs ayant vu des données personnelles disparaître de leur PC juste après l’avoir installée. Un mois plus tard, Microsoft prétend avoir résolu le problème et rendu sa mise à jour sûre.
Microsoft indique sur son blog dédié à Windows 10 que la mise à jour, tout juste relancée, sera proposée aux utilisateurs via Windows Update non pas automatiquement mais lorsque les données de leurs ordinateurs indiqueront que l’appareil est bien prêt à la recevoir. Il s’agit notamment pour Microsoft de détecter la moindre incompatibilité avec un programme figurant dans cette mise à jour, histoire de minimiser les risques de plantage.
Pour rappel, la principale nouveauté de cette mise à jour réside en une toute nouvelle application, “Votre téléphone”, qui permet de profiter de certaines fonctionnalités de son smartphone directement sur son PC, sans avoir à le connecter dessus avec un câble. L’application offre notamment la possibilité de consulter des photos récentes de son téléphone ou encore d’afficher et d’envoyer des SMS depuis son ordinateur (avec des téléphones fonctionnant sous Android uniquement). Au menu également : un mode sombre pour l’explorateur de fichier, l’apparition d’un historique dans le presse-papier, un nouvel outil pour ajouter des annotations aux captures d’écran, une mise à jour du navigateur Edge et de nouveaux emojis.
Après le retard pris par la mise à jour d’avril, celle d’octobre a dû rapidement être suspendue après son premier déploiement suite à une enquête lancée sur des cas de fichiers littéralement supprimés des ordinateurs sur lesquels elle avait été installée. Ce mercredi 14 novembre, Microsoft la relance, très prudemment et progressivement.
Mise à disposition début octobre 2018, la dernière mise à jour majeure de Windows 10 a rapidement été stoppée après plusieurs témoignages d’utilisateurs ayant vu des données personnelles disparaître de leur PC juste après l’avoir installée. Un mois plus tard, Microsoft prétend avoir résolu le problème et rendu sa mise à jour sûre.
Microsoft indique sur son blog dédié à Windows 10 que la mise à jour, tout juste relancée, sera proposée aux utilisateurs via Windows Update non pas automatiquement mais lorsque les données de leurs ordinateurs indiqueront que l’appareil est bien prêt à la recevoir. Il s’agit notamment pour Microsoft de détecter la moindre incompatibilité avec un programme figurant dans cette mise à jour, histoire de minimiser les risques de plantage.
Pour rappel, la principale nouveauté de cette mise à jour réside en une toute nouvelle application, “Votre téléphone”, qui permet de profiter de certaines fonctionnalités de son smartphone directement sur son PC, sans avoir à le connecter dessus avec un câble. L’application offre notamment la possibilité de consulter des photos récentes de son téléphone ou encore d’afficher et d’envoyer des SMS depuis son ordinateur (avec des téléphones fonctionnant sous Android uniquement). Au menu également : un mode sombre pour l’explorateur de fichier, l’apparition d’un historique dans le presse-papier, un nouvel outil pour ajouter des annotations aux captures d’écran, une mise à jour du navigateur Edge et de nouveaux emojis.
Subscribe to:
Posts (Atom)