Huawei est en discussion avec Google pour tenter de trouver une solution à la rupture de ses liens avec le géant américain de l’internet, a déclaré mardi le fondateur du groupe chinois de télécommunications.
“Google est une bonne entreprise et une entreprise hautement responsable. Google et Huawei sont en discussion pour chercher une réponse” à l’interdiction faite par les Etats-Unis de vendre des équipements au géant chinois des smartphones, a déclaré Ren Zhengfei lors d’un entretien à des médias de son pays.
Le géant Google, dont le système Android équipe l’immense majorité des smartphones dans le monde, a annoncé dimanche qu’il allait devoir couper les ponts avec Huawei en raison de la décision prise la semaine dernière par l’administration Trump, ce qui aurait pour résultat d’empêcher le groupe chinois d’accéder à certains services d’Android et ses applications Gmail ou Google Maps.
Les autorités américaines ont cependant semblé vouloir calmer le jeu lundi en décrétant un délai de 90 jours avant d’imposer cette mesure, le temps que Huawei et ses partenaires commerciaux s’adaptent.
Google a expliqué que les utilisateurs de ses services, Google Play (le magasin d’applications d’Android, ndlr) et le système de sécurité Google Play Protect continueraient de fonctionner sur les appareils Huawei existants.
Mais comme le décret présidentiel interdit spécifiquement le partage de technologies, Google va logiquement devoir cesser de collaborer avec Huawei pour les futurs appareils.
Huawei ne pourra plus proposer dans ses appareils que la version libre de droits (en “open source”) d’Android, a expliqué à l’AFP une source proche du dossier.
Ces conséquences concerneraient les propriétaires d’appareils Huawei en dehors de Chine, puisque la plupart des services Google y sont de toute façon interdits.
Dans un communiqué lundi, Huawei a affirmé qu’il “continuerait à fournir des mises à jour de sécurité et des services après-vente” sur tous ses téléphones multifonctions et tablettes existantes, y compris ceux qui ne sont pas encore vendus.
“Google est une bonne entreprise et une entreprise hautement responsable. Google et Huawei sont en discussion pour chercher une réponse” à l’interdiction faite par les Etats-Unis de vendre des équipements au géant chinois des smartphones, a déclaré Ren Zhengfei lors d’un entretien à des médias de son pays.
Le géant Google, dont le système Android équipe l’immense majorité des smartphones dans le monde, a annoncé dimanche qu’il allait devoir couper les ponts avec Huawei en raison de la décision prise la semaine dernière par l’administration Trump, ce qui aurait pour résultat d’empêcher le groupe chinois d’accéder à certains services d’Android et ses applications Gmail ou Google Maps.
Les autorités américaines ont cependant semblé vouloir calmer le jeu lundi en décrétant un délai de 90 jours avant d’imposer cette mesure, le temps que Huawei et ses partenaires commerciaux s’adaptent.
Google a expliqué que les utilisateurs de ses services, Google Play (le magasin d’applications d’Android, ndlr) et le système de sécurité Google Play Protect continueraient de fonctionner sur les appareils Huawei existants.
Mais comme le décret présidentiel interdit spécifiquement le partage de technologies, Google va logiquement devoir cesser de collaborer avec Huawei pour les futurs appareils.
Huawei ne pourra plus proposer dans ses appareils que la version libre de droits (en “open source”) d’Android, a expliqué à l’AFP une source proche du dossier.
Ces conséquences concerneraient les propriétaires d’appareils Huawei en dehors de Chine, puisque la plupart des services Google y sont de toute façon interdits.
Dans un communiqué lundi, Huawei a affirmé qu’il “continuerait à fournir des mises à jour de sécurité et des services après-vente” sur tous ses téléphones multifonctions et tablettes existantes, y compris ceux qui ne sont pas encore vendus.
No comments:
Post a Comment