Wednesday, February 27, 2019

Les 5 smartphones vedettes du Mobile World Congress

Cette édition 2019 du Mobile World Congress, qui se tient jusqu’au 28 février à Barcelone (Espagne), restera comme celle qui a vu à la fois l’arrivée des premiers terminaux 5G et des premiers smartphones à écrans pliables. Voici une sélection des modèles les plus parmi les plus impressionnants exposés cette année.
Huawei Mate X
Huawei a créé la grosse sensation du Mobile World Congress 2019 en dévoilant son tout premier smartphone à écran pliable, le Mate X. Il se compose de deux écrans de respectivement 6,6 et 6,4 pouces qui, réunis, transforment le terminal en une petite tablette d’une diagonale de 8 pouces. Comme si cela ne suffisait pas, le téléphone est également compatible 5G et affiche un bel espace de stockage de 512 Go. Il est d’ores et déjà affiché à 2.299 euros même si disponibilité n’a pas encore été annoncée et qu’il n’est pas sûr qu’il sorte un jour en France. A noter aussi la présence à Barcelone du Samsung Galaxy Fold, le premier smartphone à écran pliable présenté par le constructeur sud-coréen quelques jours auparavant.
Xiaomi Mi Mix 3 5G
Avec cette déclinaison de son Mi Mix 3, Xiaomi entend être le premier constructeur à lancer un smartphone compatible 5G en Europe (y compris en France) dès le printemps 2019. Ce téléphone haut de gamme est équipé du nouveau modem 5G Snapdragon X50 et du processeur Snapdragon 855, tous deux signés Qualcomm. Dérivé du Mi Mix 3 classique, il présente le même format d’écran de 6,39 pouces, sans bords ni encoche, grâce à un ingénieux système de caméras avant cachées qu’il faut déverrouiller en faisant légèrement glisser l’écran vers le bas. Il devrait être disponible en France à partir de 649,90 euros. Reste qu’il sera bien trop tôt pour en profiter pleinement puisqu’aucune offre commerciale 5G ne sera disponible avant, au mieux, la fin de l’année.
LG V50 ThinQ
LG profite du Mobile World Congress pour présenter également son tout premier smartphone 5G, le V50 ThinQ. Il s’agit d’un smartphone de 6,4 pouces disposant lui aussi des dernières technologies Qualcomm. Mais sa véritable originalité réside dans … sa housse de protection qui renferme un deuxième écran de 6,2 pouces. Il permet ainsi de profiter plus que jamais du mode multitâche disponible sous Android. Le double écran peut être positionné selon deux angles pratiques (à 104 et 180 degrés). Sa disponibilité n’a pas encore été annoncée et il n’est pas sûr qu’il sorte un jour en France.
Sony Xperia 1
Avec le Sony Xperia 1, le fabricant japonais lance le tout premier smartphone au monde doté d’un écran 4K HDR OLED au format 21:9. Outre cet écran, qui ravira les amateurs de cinéma mais aussi ceux qui veulent profiter de manière confortable de deux applications placées côte à côte, ce smartphone bénéficie d’un son multidimensionnel Dolby Atmos et d’une technologie (Eye AF) permettant de réaliser la mise au point en détectant les yeux de n’importe quel sujet. Le Sony Xperia 1 est annoncé pour le printemps au prix de 999 euros.
Oppo 10x
Le dernier smartphone de cette sélection est encore au stade de prototype. Il s’agit d’un terminal équipé d’un appareil photo principal proposant un zoom 10x sans perte, une avancée considérable comparé à ce que propose la concurrence aujourd’hui (zoom 3x optique ou 5x hybride sur les P20 Pro et Mate 20 Pro). Pour aboutir à un tel résultat, Oppo a développé un triple objectif composé d’une caméra principale, d’un objectif ultra grand-angle et d’un téléobjectif, puis a mis en place un système de relais entre eux. Cela signifie que ces capteurs fonctionnent tous ensemble afin d’optimiser leurs avantages respectifs et de maintenir la meilleure qualité d’image possible jusqu’à ce zoom 10x. Le premier smartphone de la marque équipé de cette technologie est attendu avant l’été.

La 5G sans Huawei coûtera très cher à l’Europe

Lors du salon du Mobile World Congress, le PDG de Vodafone s’est exprimé sur la possible interdiction de Huawei en Europe, pourtant fournisseur de nombreux systèmes de télécommunication. Selon Nick Read, cette décision pourrait retarder d’au moins deux ans le déploiement de la 5G.

Au cours d’une conférence de presse au MWC, le PDG de Vodafone s’est exprimé sur les effets pervers que l’interdiction de Huawei de déployer une infrastructure 5G en Europe pourrait avoir. La firme chinoise fait partie du trio des plus grands fournisseurs au monde d’équipements de télécommunication, avec Nokia et Ericsson.

Selon Nick Read, exclure Huawei pourrait entraver la concurrence entre les trois sociétés et donner lieu à une situation malsaine « si nous concentrons nos efforts sur deux acteurs, je pense que ce serait une position malsaine, non seulement pour nous en tant qu’industrie, mais également pour les infrastructures nationales du pays ».

Rappelons tout de même que Vodafone et Huawei sont des partenaires commerciaux. Ils l’ont d’ailleurs bien illustré lors du salon des télécommunications de Barcelone avec une démonstration 5G. La société britannique repose sur les équipements de la société chinois pour son réseau.

Nick Read a également affirmé que remplacer les infrastructures de Huawei déjà présentes en Europe par celles d’un concurrent pourrait coûter très cher aux opérateurs mobiles et, in fine, aux consommateurs. Cela retarderait également le déploiement de la 5G sur le vieux continent d’au moins deux ans.

La société chinoise est l’un des plus grands fournisseurs d’équipements de télécommunication au monde grâce à une offre de qualité à des prix attractifs en comparaison avec ses concurrents. Il est d’ailleurs le principal fournisseur de Proximus et Orange Belgium. Mais le côté sombre de la chose est que Huawei est accusé d’implanter une technologie faillible ce qui laisserait une porte ouverte pour l’espionnage en faveur du gouvernement chinois.

Des soupçons partagés par le directeur du Centre pour la Cybersécurité de Belgique (CCB), Miguel De Bruycker, qui, en décembre dernier, avait déclaré que plusieurs études avaient démontré « que l’utilisation de la technologie de Huawei comporte des risques ».

Évidemment, la société chinoise réfute totalement ces accusations.

Nick Read invite autant les États-Unis que les pays européens à présenter les preuves qui appuieraient les accusations contre Huawei car, jusqu’ici, aucun fait ne va dans cette direction, selon le patron de Vodafone.

Tuesday, February 26, 2019

Une faille dans les réseaux 4G expose la localisation des propriétaires des smartphones

Des chercheurs viennent de révéler avoir découvert plusieurs failles de sécurité dans le réseau 4G. Des défauts qui pourraient être exploités par des personnes mal intentionnées.

Selon le groupe de chercheurs universitaires, les failles présentes dans le réseau 4G pourraient permettre à des pirates d’écouter des appels téléphoniques et de localiser des smartphones. Des failles qui ne se limiteraient pas à l’actuel réseau puisque celui de nouvelle génération, la 5G, pourrait également présenter ces défauts.

Dans le document du groupe de chercheurs, partagé par TechCrunch, on peut lire comment la faille peut être exploitée pour trouver la localisation d’un propriétaire de smartphone. L’attaque de piratage “Torpedo” permet de vérifier si le périphérique se trouve à un certain endroit.

Pour cela, elle exploite “la faiblesse du protocole de radiomessagerie que les opérateurs utilisent pour notifier un téléphone avant qu’un appel ou un message texte ne passe“, indique TechCrunch. Ces notifications, informations de “pagination”, peuvent être exploitées pour localiser un appareil. Un pirate n’aura qu’à effectuer plusieurs appels téléphoniques à sa victime pour récolter et recouper les informations de pagination et ainsi localiser précisément la position du téléphone.

Grâce à cette localisation, les pirates pourraient envoyer de fausses alertes d’urgence sur les smartphones.

Cette attaque ouvrirait la porte à d’autres notamment la possibilité de déterminer l’identité internationale d’abonné mobile (IMSI). Les chercheurs ont également déclaré qu’il existait un risque que les appels et SMS soient interceptés par les pirates qui exploitent ces failles.

Le résultat de la recherche ne semble se limiter qu’au réseau américain et plus particulièrement, les réseaux des opérateurs mobiles AT&T, Verizon, Sprint et T-Mobile. Le problème serait donc limité. L’organisme représentant les opérateurs mobiles a été informé du problème, mais, pour le moment, aucune déclaration n’a encore été faite à propos d’un correctif.

ZTE lève le voile sur son premier smartphone 5G

Autres grands incontournables du salon Mobile World Congress, les smartphones 5G font leur apparition malgré l’absence d’accès à ce réseau pour le grand public. Après Samsung, Huawei, Ericsson, Xiaomi, au tour de ZTE, avec l’Axon 10 Pro 5G.

Prévu pour sortir durant le premier semestre 2019 en Chine et en Europe, l’Axon 10 Pro 5G ressemble à une mise à niveau de son prédécesseur, l’Axon 9 Pro, augmenté de la compatibilité 5G.

Avec notamment, la réduction significative de l’encoche sur l’écran. Un point qui semble devenir véritablement la nouvelle tendance chez de nombreux constructeurs de smartphones. Le lecteur d’empreinte s’intègre dorénavant à l’écran du téléphone. Côté pile, le module photo est augmenté, passant de 2 à 3 capteurs photo (objectif principal, grand-angle et ultra grand-angle).

ZTE n’a pas officiellement présenté les composants de son nouveau smartphone. Au-delà de la compatibilité 5G, on ne sait donc presque rien. Selon The Verge, l’Axon 10 Pro 5G embarquera un processeur Snapdragon 855 ainsi qu’un modem X50 5G de Qualcomm. D’après 9to5Google, le téléphone s’afficherait sur un écran AMOLED 6,47 pouces de 2340 x 1080, il embarquera également 6Go de RAM et 128Go de stockage.

L’annonce de ZTE fut très maigre, on connait simplement la fenêtre de sa sortie. Le fabricant chinois a également présenté d’autres smartphones, le ZTE Blade V10 et le Blade V10 Vita, la version moins chère, ainsi que des versions actualisées de ces modèles Blace V9 et V9 Vita.

Oppo présente son premier smartphone flexible

L’édition 2019 du Mobile World Congress a véritablement pour mot d’ordre les smartphones pliables. Après la présentation de Samsung – quelques jours avant le salon -, celui de Huawei et la version très particulière de LG, le constructeur chinois Oppo a également levé le voile sur sa propre interprétation de smartphone flexible. Une présentation en marge du salon barcelonais.

Si Samsung et Huawei ont décroché la palme des premiers constructeurs de smartphones pliables, la concurrence ne s’avoue pas pour autant vaincue. En effet, le fabricant chinois Oppo a profité de l’atmosphère médiatique particulièrement friande de télécommunications pour présenter le prototype de sa version de smartphone flexible.

En marge du salon MWC, le PDG de la firme chinoise, Brian Shen, a partagé plusieurs clichés du futur téléphone flexible Oppo sur son compte Weibo. Le moins que l’on puisse dire est qu’il présente un design très similaire à celui de Huawei.

Les différents clichés laissent apercevoir une tablette qui, une fois pliée, se transforme en tablette. Sans réelle présentation officielle, on ne sait pas grand-chose à son sujet, ni au niveau de ses fonctionnalités ni de ses composants. On peut tout de même apercevoir un double module photo, ainsi qu’un flash, sur la face arrière du smartphone. Une fois plié, il peut servir à prendre des selfies.

Esthétiquement, le prototype ressemble fort au Mate X de Huawei. Si la firme chinoise décide de le commercialiser, on peut imaginer qu’elle essaiera tout de même de se différencier. On peut tout de même imaginer que son prix sera plus attractif que ses concurrents.

Un étrange smartphone pliable présenté au MWC

Après Huawei et Samsung, c’était au tour du groupe TCL (Alcatel & BlackBerry) de présenter sa vision du smartphone pliable.

Le groupe chinois serait toutefois resté très mystérieux sur son prototype de smartphone pliable, se contentant d’un maigre teasing et d’une illustration qui ne nous en apprend pas beaucoup sur le modèle sur lequel il travaille.

Pour l’instant, aucune information n’a filtré sur la fiche technique de l’appareil. Les premières images suggèrent toutefois que TCL planche sur une configuration différente de Samsung et Huawei, avec un écran “rabattable”, à la façon des smartphones à clapet, qui pourrait suggérer qu’il s’agira d’un appareil brandé “BlackBerry.

TCL affiche un gros retard sur ses concurrents. Le groupe chinois ne sera en mesure de commercialiser des appareils pliables qu’à partir de 2020.

Il faudra donc se montrer encore très patient avant de découvrir le premier smartphone BlackBerry pliable.

Le groupe chinois justifie ce retard par sa volonté d’adopter “une approche patiente et réfléchie non seulement pour résoudre les problèmes matériels, mais aussi pour travailler avec nos partenaires sur des solutions logicielles afin de garantir une expérience utilisateur significative.”

iOS 12 : plus de 80% utilisateurs ont adopté le système d’exploitation

Présentée en juin dernier lors du WWDC d’Apple et rendue accessible au public le 17 septembre dernier, la dernière mise à jour majeure d’iOS a été adoptée par plus de 80% des propriétaires d’iPhone, iPad et iPod Touch.
Si Apple ne dévoile plus le volume de ventes de ses produits, la firme californienne continue de partager des statistiques à propos de son système d’exploitation iOS 12. En effet, la Pomme vient de publier les résultats d’adoption de sa douzième version d’iOS.
D’après les chiffres du rapport, iOS 12 a été adopté par plus de 80% des utilisateurs d’iPhone, iPad et iPad Touch, tous confondus. Une adoption effectuée sur 83% des appareils datant des 4 dernières années.
La firme de Cupertino révèle que le taux d’adoption a connu une croissance plus importante que la version précédente avec un téléchargement de 53% dès le premier mois de son lancement. En décembre 2018, iOS 12 avait été adopté sur 70% des terminaux compatibles, contre 59% pour iOS 11, en décembre 2017.
En parallèle, le déploiement d’iOS 11 a évidemment largement diminué. Cette version n’est plu présente aujourd’hui que sur 12% des iPhone, iPad et iPod Touch, tous confondus. Quant aux versions ultérieures d’iOS, elles ne représentent que 8%.
À noter que les chiffres partagés par Apple ont été extrapolés à partir des visites sur l’App Store.
Depuis le mois de janvier, Apple teste déjà la prochaine version de son système d’exploitation, iOS 13, en vue – très certainement – d’une présentation en juin prochain, lors de sa conférence WWDC.

Sunday, February 24, 2019

Des puces gravées en 5nm dès 2020 chez Apple

Les premières puces avec une finesse de gravure de 5nm sont prévues pour arriver en 2020 et elles seront une nouvelle fois produites par le fondeur TSMC.

Les puces A13 ne sont même pas encore sorties qu’il est déjà question de la  génération suivante de composants. Les A13 posséderont une finesse de gravure de 7nm et il semble que ce sera les derniers à être produits de cette manière. Puisque la puce A14 bénéficiera d’un processus de fabrication en 5nm, comme le rapporte Digitimes.

Apple a passé commande au fondeur TSMC pour des composants gravés en 5nm? Ce sera ces mêmes composants qui équiperont l’iPhone de 2020.

TSMC est la plus importante fonderie de semi-conducteurs au monde. La société taïwanaise est plutôt confiante sur le suet et assure être capable d’apporter les premiers composants gravés en 5nm pour 2020.

Ces nouveaux composants gravés en 5nm permettront de voir arriver des appareils encore plus efficaces. Ils seront notamment plus rapides tout en étant moins gourmands en énergie et produiront donc moins de chaleur, ce qui est bon signe quant à la durabilité de ces composants.

Huawei lance une nouvelle offensive sur le marché des ordinateurs portables

Au salon du mobile, à Barcelone, Huawei a dévoilé sa nouvelle gamme d’ordinateurs portables, un secteur à forte croissance pour le constructeur chinois, qui essaye aujourd’hui de se faire une place au soleil aux côtés d’Apple et de Microsoft.

Le MateBook X Pro, nouveau flagship de la marque, était présenté cette année comme le nouveau « Macbook Pro sous Windows », une machine au design très élégant, avec un écran sans bordures, qui combine les dernières innovations pour proposer une expérience premium.

Il s’agit, pour Huawei, de se positionner comme un nouveau rival de la marque californienne avec un modèle de luxe, aux performances impressionnantes, qui lui offre également de solides marges. Le groupe chinois a bien compris qu’il avait tout intérêt à éviter de s’embourber dans le low-cost, un secteur peu rentable, duquel ont tenté de s’extraire à tout prix les constructeurs traditionnels.

L’appareil de Huawei se distingue du MacBook Pro en plusieurs points. Avec son écran tactile tout d’abord, qui permet des interactions inédites avec la machine, du côté des performances aussi avec la connexion wifi « la plus rapide du marché », selon le constructeur, et de la conception, avec un lecteur d’empreinte digitale intégré au bouton « on » de l’ordinateur.

Pas mal d’innovation aussi du côté de la connectivité, avec un système de partage d’image par simple contact entre le smartphone et l’ordinateur, qui simplifiera beaucoup la vie des utilisateurs. La technologie n’a en soi rien de révolutionnaire, mais le concept est suffisamment bien pensé pour la rendre fonctionnelle au quotidien.

Les performances de la machine ne sont pas en reste, avec un écran 3K, des processeurs Intel de dernière génération, et une batterie solide promettant jusqu’à 15 heures de lecture continue lors d’un visionnage d’un film.

A côté du MateBook X Pro, Huawei a également profité du Mobile World Congress pour introduire deux autres modèles de PC portables, ses MateBook 13 et 14, qui héritent des mêmes fonctionnalités de partage instantané d’images et de documents que le MateBook X Pro.

Huawei veut réinventer le smartphone avec le Mate X

Avec son écran de 8″, sa double-batterie et son système de recharge ultra-rapide, le nouveau Mate X de Huawei présente une vision de ce à quoi pourrait ressembler le smartphone du futur…

Présenté au congrès du mobile de Barcelone, le Mate X a fait forte sensation lors de la keynote de Huawei. Non seulement parce qu’il s’agit du premier smartphone pliable du constructeur, mais aussi et surtout parce qu’il réinvente presque complètement le design du smartphone.

Le constructeur chinois n’a pas hésité à revoir entièrement le fonctionnement du mobile, en présentant un appareil à la conception unique qui reprend dans les grandes lignes le fonctionnement du Galaxy Fold de Samsung, présenté il y a quelques jours, tout en introduisant quelques nouveautés totalement inédites.

Huawei joue ainsi la carte du “bigger, beter & faster”, avec un smartphone équipé de deux écrans, de respectivement 6 et 6,36″, qui, une fois dépliés, forment un écran gigantesque d’une taille de 8″.

Plus grand que l’écran du Galaxy Fold (7,2″), l’écran du Mate X n’affiche également aucune encoche ni “goutte d’eau”. Le constructeur chinois a déposé un brevet unique pour un système de charnière qui permet de replier l’écran à 100%, sans qu’aucun trou n’apparaisse au niveau du “pli”. Selon le constructeur, ce système de charnière unique utiliserait pas moins de 100 composants mécaniques.

Le lecteur d’empreinte digitale est à l’inverse intégré directement au bouton d’allumage, sur la tranche du smartphone.

La conception du smartphone est assez particulière, dans la mesure où Huawei n’a pas hésité à repenser entièrement son fonctionnement. Un étrange encart qui accueille le double APN Leica apparaît sur la face avant du smartphone. Le design est particulier, mais pratique, dans la mesure où pour la première fois, le dos du smartphone sera utilisé comme un écran à part entière, qui permettra au sujet de la photo de visionner sa pose en temps réel – une fonction si pratique qu’on en vient à se demander pourquoi personne n’y a pensé plus tôt!

Une fois déplié, l’appareil se transforme, à l’image du Galaxy Fold, en une tablette petit format – parfaitement adaptée à la bureautique ou à la consommation de contenu multimédia.

Le Mate X fera également partie des premiers smartphones compatibles avec les réseaux 5G. Il sera équipé de 4 antennes et future-proof, puisqu’il sera compatible également avec les futurs réseaux 5G.

Lors de sa keynote, Huawei a ainsi évoqué une vitesse de téléchargement de 4,6Gb/seconde, qui permettra – notamment, de télécharger un film d’1 Go en 3 secondes top chrono.

Autre spécificité de ce modèle : la présence de deux batteries – en lieu et place d’une seule, qui conféreront à ce modèle une autonomie largement supérieure aux autres smartphones. On notera toutefois qu’on parle ici d’une capacité de 4.500mAh. La différence ne devrait donc pas être gigantesque…

Enfin, Huawei améliore son système de recharge rapide, en promettant une charge complète en un peu moins de 45 minutes grâce à son nouveau chargeur de 55W (contre 5W seulement pour l’iPhone Xs Max!)

Peu de détails ont filtré pour le moment sur la fiche technique du smartphone. On sait toutefois que le modèle de base, avec 8 Go de RAM sous le capot et 512 Go de stockage sera vendu à un tarif de 2.299€ au moment de son lancement, en juin prochain. Un tarif qui fait du Mate X le smartphone premium le plus cher du marché à l’heure actuel, loin devant le Galaxy Fold et l’iPhone Xs Max.

Nokia présente le premier smartphone équipé de 5 capteurs photo

Avec ses cinq capteurs, le Nokia 9 est capable de capturer des images d’une qualité surprenante.

Fruit d’une collaboration entre Nokia et la startup Light, qui avait déjà introduit un smartphone équipé de multiples capteurs, le Nokia 9 pourrait bien venir bousculer les géants du mobile avec sa conception unique.

Plutôt que d’emboiter le pas à ses concurrents en proposant des smartphones toujours plus puissants et en faisant grimper le nombre de mégapixels, Nokia a choisi de miser sur une combinaison de capteurs qui permet de créer des images au contraste impressionnant.

Le Nokia 9 Pureview est le premier smartphone à embarquer cinq capteurs simultanément. La technologie employée par le constructeur finlandais est différente de celle de ses concurrents, qui exploitaient chaque capteur séparément. Ici, les cinq appareils photo capturent simultanément la même photo et fusionnent les différents clichés en une seule photo d’une résolution de 12 mégapixels, avec pour résultat une plage dynamique plus grande et une profondeur de champ beaucoup plus importante.

Grâce à cette méthode de capture, le Nokia 9 est capable de capter jusqu’à 10 fois plus de lumière que ses concurrents.

L’appareil embarque également un processeur entièrement dédié à la photographie qui permet de tirer parfaitement parti de ses capacités.

L’innovation ne s’arrête pas là puisque le smartphone de Nokia est également capable de shooter en RAW, un format particulièrement apprécié des amateurs de photographie.

Autre spécificité du smartphone : malgré sa fiche technique de haut de gamme, le Nokia 9 Pureview reste relativement accessible avec un prix de vente de 599€. Un exploit rendu possible grâce à la volonté du groupe de proposer un appareil fonctionnel qui utilise des composants qui ne sont pas tout juste sortis d’usine. On retrouvera ainsi un processeur Snapdragon 845 – très tendance en 2018 – seulement 6 Go de RAM et 128 Go d’espace de stockage.

Le smartphone de Nokia n’en reste pas moins intéressant pour les mordus de photographie avec sa conception unique, son prix relativement attractif et ses fonctionnalités all-in, du lecteur d’empreinte digitale intégré à l’écran à sa norme IP67. Autre atout très séduisant : l’appareil est livré avec Android Go sous le capot, une version édulcorée d’Android qui garantit des performances optimales et un suivi logiciel sur plusieurs années…

Thursday, February 21, 2019

Samsung lève le voile sur ses Galaxy S10, S10 + et S10e

Le prochain porte-étendard de la marque coréenne – ainsi que les versions S10+ et S10e – sera disponible en magasin dès le 8 mars prochain.

Contrairement à son habitude, Samsung a préféré délaisser le salon du Mobile World Congress pour organiser sa propre conférence exclusive, à San Francisco. L’occasion d’attirer la lumière des projecteurs sur ses nouveaux produits – smartphones et montres connectées – en amont du salon des téléphones mobiles.

La conférence du 20 février était très attendue puisqu’elle devait présenter officiellement les nouveaux flagship de la marque, les Galaxy S10 et S10 +. Et les amateurs de Samsung n’ont pas été déçus. Même si beaucoup de détails du nouveau smartphone étaient déjà connus, la conférence a permis d’officialiser la chose et de lever le voile sur d’autres points importants, notamment le premier smartphone pliable de la marque, le Galaxy Fold.

Officialisant les caractéristiques de chacun – que l’on connaissait déjà -, Samsung a également apporté des précisions quant à la disponibilité et la gamme de prix de ses nouveaux téléphones. Les acheteurs pourront se procurer leur exemplaire dès le 8 mars prochain au prix de 909 € pour le S10, 1009 € pour le modèle S10+ et 759 € pour le S10e dans leur version 6Go de RAM et 128 Go d’espace interne.

Le Galaxy S10+ sera également disponible dans une version céramique, avec 8Go de RAM, 512Go de stockage au prix de 1259 € et 1609 € pour le modèle 12 Go de RAM et 1To d’espace de stockage.

Une augmentation tarifaire de 60 € par rapport au modèle de base du précédent, le Galaxy S9 qui avait également connu la même augmentation de prix par rapport à son prédécesseur. De quoi confirmer une nouvelle fois la tendance toujours croissante des prix des smartphones.

Si on connaissait déjà la majeure partie de ses composants, la présentation a permis d’officialiser ce que l’on savait. D’autant plus que cette fournée a le mérite de se distinguer de ses prédécesseurs, point pour lequel on pouvait facilement critiquer Samsung et les légères améliorations entre le S8 et le S9.

Ici, le design de la fournée 2019 a clairement été retravaillé pour coller parfaitement avec ce qu’il se fait aujourd’hui. En plus d’un léger agrandissement du téléphone – passant de 5,8 pouces à 6,1 pour le S10 -, la taille de l’écran sur la face avant se déploie toujours plus, se rapprochant toujours d’un vrai écran “sans bordures”.

En effet, l’écran AMOLED recouvre 87,54% de la face avant, contre 84,51% pour le S9, et affiche une résolution record de 3040 x 1440 pixels. Des dimensions qui ne laissent qu’une toute petite place à la caméra frontale, placée dans le coin supérieur droit, ce qui rappelle forcément le Honor View 20. Comme pour ses prédécesseurs, les bords de l’écran sont également incurvés.

On notera que le lecteur d’empreinte est directement intégré à l’écran. Un bon point pour ces smartphones, le précédent emplacement à l’arrière n’était pas forcément des plus pratiques. Contrairement à ces concurrents OnePlue et Huawei, le lecteur d’empreinte intégré à l’écran n’est pas un lecteur optique, mais ultrasonique. Aspect qui pourrait être problématique si on place un film de protection sur l’écran, mais ce choix reste tout de même plus efficace que l’optique en cas d’environnement très lumineux.

Dernier aspect du design, Samsung mise cette fois sur des coloris différents. Exit le bleu et le violet, place au vert et au blanc qui s’ajoute au traditionnel noir et, comme nous l’avons précisé, le S10+ est disponible dans une version noir céramique. Une édition Gold pourrait également débarquer dans les mois à venir, selon les rumeurs.

Pour ce qui est de la photographie, le plus intéressant se trouve à l’arrière puisque le S10 dispose de 3 capteurs photo ; un objectif de 12 Mpx (f/1,5), un téléobjectif de 12 Mpx (f/2,4) et un grand-angle de 16 Mpx (f/2,2). Le smartphone offre également la possibilité de filmer en 4K HDR10+ et permet de faire du montage vidéo avec une version préinstallée d’Adobe Rush. Côté face, la caméra propose 10 mégapixels (f/1,9).

Dernier aspect intéressant du Galaxy S10 : la recharge inversée. En effet, la conférence de Samsung a été l’occasion de dévoiler la présence de cette fonctionnalité de charge inversée sur cette nouvelle gamme de smartphones. Elle permet à un smartphone de recharger un appareil compatible avec la charge sans fil, notamment un autre smartphone, mais aussi une montre connectée. Une fonctionnalité qu’on retrouvait uniquement que sur le Huawei Mate 20 Pro, jusqu’à présent.

Galaxy S10+

Reprenant la majorité des caractéristiques de son petit frère, le Galaxy S10+ surenchérit sur plusieurs aspects. Notamment au niveau de sa taille puisqu’il se distingue avec un écran de 6,3 pouces et un double appareil photo frontal qui permet la reconnaissance faciale 3D. Il est également plus généreux au niveau de la batterie avec 4100 mAh, contre 3400 mAh pour le S10.

Pouvant embarquer jusqu’à 12 Go de RAM et 1 To d’espace de stockage, le Galaxy S10+ se révèle être une véritable bête de course pour ce qui est de ces performances. Des caractérisés qui, comme nous l’avons déjà souligné, ont un prix (jusqu’à 1609 €).

Galaxy S10e

Enfin, le modèle plus accessible, Galaxy S10e, rappelle forcément celui du concurrent direct de Samsung, l’iPhone Xr d’Apple. Il était logique que le constructeur coréen suive cette stratégie et propose une version plus abordable de son nouveau flagship.

Avec des dimensions plus petites (5,8 pouces), le S10e n’a pas de quoi rougir en comparaison avec ses grands frères. Comme eux, il intègre un Exynos 9820 et tourne avec 6 Go de RAM. Le capteur d’empreinte se retrouve sur le bouton d’allumage, sur la face latérale du smartphone. Côté autonomie, le S10e se positionne au même niveau que le S10, avec une batterie de 3100 mAh. En revanche, il ne dispose plus que de deux capteurs photo à l’arrière.

Autre grande différence avec les autres modèles, cette version plus abordable à 759 € ne dispose pas de bord incurvé, point qui a fait l’identité de la gamme des Galaxy ces dernières années. L’écran du S10e affiche donc des bordures assez épaisses.

Samsung propose également une nouvelle couleur pour ce modèle. En plus du vert, noir et blanc, le Galaxy S10e sera disponible en jaune.

La fournée 2019 des Galaxy conserve une prise Jack de 3,5mm, ce qui est une bonne chose en comparaison de l’abandon de cette version de port par d’autres constructeurs. En plus des mises à jour du design, le processeur du Galaxy S10 est également upgradé avec un Snapdragon 855 de Qualcomm, à l’image de ce qu’avait présenté quelques heures plus tôt Xiaomi avec son Mi 9. Une version dont les Européens ne pourront pas profiter, seuls les modèles avec un Exynos 9820 seront proposés en Europe. Samsung assure qu’on ne verra pas la différence.

Rendez-vous le 8 mars pour profiter de ces nouveaux smartphones. Les précommandes sont déjà ouvertes.

Le Galaxy S10 compatible avec la 5G en Europe dès cet été

La présentation du nouveau smartphone phare de Samsung a été l’occasion pour le constructeur sud-coréen d’annoncer la compatibilité du Galaxy S 10 avec le réseau 5G, et ce, en Europe.

Le 20 février marquait la présentation officielle et en détail du Galaxy S10 (retrouvez toutes les informations ici). Au-delà de ses caractéristiques, le PDG de la division IT & Mobile Communications de Samsung, DJ Koh, a annoncé que les consommateurs européens pourront profiter de la 5G depuis leur smartphone S10 dès cet été.

Une annonce à laquelle on pouvait facilement s’attendre puisque le réseau 5G est un objectif important tant pour les constructeurs de smartphones que les opérateurs mobiles. Bien qu’intéressante, cette compatibilité ne sera effective que dans plusieurs mois et cette projection parait encore assez floue étant donné que très peu d’opérateurs à travers le monde proposent actuellement une connexion 5G.

Alors que le réseau est déployé dans quelques villes aux États-Unis et en Chine, l’Europe ne compte que très peu de pays proposant ce réseau. À ce propos, Samsung a listé le nom des opérateurs mobiles européens qui ont assuré pouvoir proposer une telle connexion à leurs clients très prochainement. On retrouve ainsi Deutsche Telekom (Allemagne), EE (Royaume-Uni), Orange (France), Sunrise (Suisse), Swisscom (Suisse), TIM (Italie), Vodafone, Telefonica (Espagne).

Si aucun de ces opérateurs ne propose actuellement une telle connexion, les propriétaires d’un modèle 5G du Galaxy S10 pourront profiter du réseau dès que son lancement. Malheureusement, ça ne sera pas pour tout de suite pour la Belgique.

Samsung dévoile son smartphone pliable à près de 2.000 dollars

En novembre dernier, le constructeur sud-coréen présentait le prototype de son smartphone pliable. Lors de sa conférence du 20 février, centrée sur le Galaxy S10, Samsung en a profité pour dévoiler la version finie de son smartphone pliable.
On s’y attendait, Samsung a présenté la version aboutie de son téléphone à écran flexible, le Galaxy Fold. Un smartphone qui se rapproche d’une tablette une fois qu’il est déplié. L’un des responsables de Samsung, Justin Denison en a fait la démonstration : une fois plié, c’est un smartphone “traditionnel” qui tient dans la main de 4,6 pouces, mais lorsqu’il est “ouvert”, il atteint les dimensions d’une tablette de 7,3 pouces.
Avec cette présentation, Samsung se positionne en tête des fabricants de smartphones désireux de se lancer dans le pari des téléphones pliables. Une technologie avancée qui a évidemment un coût, mais moindre que ce à quoi on pouvait s’attendre. En effet, le Galaxy Fold sera disponible dès le 26 avril au prix de 1980 dollars.
Un prix que la marque peut aisément justifier par l’avancée technologique de son produit, mais également sa fiche technique. En effet, en plus de ses deux écrans, un de 4,6 pouces AMOLED et un second de 7,3 pouces Infinity Flex Display, le Galaxy Fold intègre 12 Go de RAM, 512 Go d’espace de stockage, une batterie intéressante de 4380 mAh et un processeur SnapDragon 855.
Côté photo, le smartphone dispose en tout de 6 capteurs photo, trois à l’arrière, deux à l’intérieur et un dernier à l’avant.
De quoi permettre de belles performances, mais qui ne feront pas forcément passer la pilule du prix exorbitant du smartphone. Il faudra attendre fin avril pour savoir si l’engouement pour ce téléphone se crée ou non. Si ce n’est pas le cas, il faudra encore déterminer si c’est le prix ou la technologie qui n’a pas séduit le grand public.

Samsung dévoile sa nouvelle smartwatch, et de nouveaux trackers

Samsung vient d’annoncer de nouveaux objets connectés lors de sa conférence Galaxy Unpacked et dévoile la Galaxy Watch Active ainsi que la Galaxy Fit.
Samsung élargit sa gamme de wearables et vient d’exposer une nouvelle montre connectée, la Galaxy Watch Active. Deux trackers d’activité ont également été présenté, le Galaxy Fit et le Galaxy Fit-e.
La Galaxy Watch Active : la rencontre de l’élégance et du sport
La Galaxy Watch Active comporte un design plus sportif et plus fin que sa grande soeur. La Watchface sera très facilement personnalisable avec un choix varié de cadrans numériques, visibles en cliquant sur l’image en une de cet article. Cette montre connectée se veut, à l’instar de nombreuses montres, devenir un coach numérique en surveillant la condition physique, mais également en voulant s’assurer bien-être de son propriétaire. C’est ainsi qu’est assuré le suivi des activités, du sommeil, mais également du stress.
Pour se faire, cette montre connectée de Samsung se voit être équipée d’un Stress Tracker qui permet de mieux maîtriser son niveau de stress. Dans le cas où il devient trop important, la montre incite à faire des exercices de respiration afin de pouvoir se sentir mieux.
Les activités physiques sont également mieux suivies et le type d’activité pratiqué est automatiquement détecté grâce à un cardiofréquencemètre. Il est également possible de configurer manuellement le tracker parmi un choix de 39 activités différentes. Des objectifs quotidiens peuvent également être fixés avec la possibilité d’en suivre l’évolution.
Sur le plan technique, l’OS de la montre reste basé sur Tizen 4.0, mais aucune évolution hardware n’est à dénoter. Exception faite de la batterie qui se voit être réduite en terme de capacité, ce qui semble plutôt logique compte tenu de la taille réduite de la montre. La Galaxy Active sera disponible à partir du 5 mars et sera proposée à un prix avoisinant les 250€.
De nouveaux trackers : le Galaxy Fit et la Galaxy Fit-e
Samsung a également dévoilé 2 nouveaux trackers d’activité, tous deux basés sur le Realtime OS. Le compromis de suivi entre activité physique, sommeil et stress est au coeur des préoccupations de Samsung et cela est donc au rendez-vous sur les deux modèles.
Le premier reste toutefois le plus puissant en étant doté d’un écran AMOLED, d’un Gyroscope et d’un capteur NFC. Sa batterie est de 120 mAh alors que le Galaxy Fit-e se voit être pourvue d’une batterie moindre, de 70 mAh. Cette dernière est équipée d’un écran plus petit encore, de technologie Pmoled, en noir et blanc.
Le Galaxy Fit-e, le modèle le plus accessible, sera disponible à partir de la mi-avril dans les couleurs noir, blanc et jaune pour un prix d’environ 40€. Tandis que le Galaxy Fit, le plus élaboré, sera disponible à la fin du mois d’avril pour un prix tablée autour des 100€.

Xiaomi présente officiellement son smartphone Mi 9

Après avoir dévoilé quelques clichés à son sujet, le fabricant de smartphones présente officiellement son nouveau flagship, le Mi9. Une présentation qui coïncide « étrangement » avec celle de Samsung.
Le patron de Xiaomi avait promis qu’il présenterait son nouveau smartphone haut de gamme le même jour que la très attendue conférence de Samsung. Une promesse qu’il a tenue. À quelques jours du Mobile World Congress, on découvre l’intégralité des caractéristiques du Xaiomi Mi 9 et le moins qu’on puisse dire est que l’appareil a de quoi séduire.
Sous le capot, le smartphone embarque un processeur SnapDragon 855. Disponible en 6 ou 8 Go de RAM, le Mi 9 intègre 128 Go d’espace. Visuellement très proche d’un P20, l’appareil affiche sur un écran AMOLED FHD+ de 6,39 pouces, avec un ratio de 19,5 :9 et une encoche en forme de goutte sur la face avant pour la caméra de 20 mégapixels.
Le Xiaomi Mi9 intègre également un système d’identification faciale et un lecteur d’empreinte sous l’écran.
À l’arrière, le smartphone fait place à un triple capteur photo 48 + 12 (zoom x2) + 16 (ultra grand angle 117°) mégapixels. De quoi réaliser des petites merveilles en photographie. Côté autonomie, le Mi 9 embarque une batterie de 3300mAh avec la possibilité de recharge rapide avec ou sans fil.
Proposé dans plusieurs coloris, le smartphone sera également disponible dans une version Transparent (avec le dos transparent) laissant transparaitre les composants du téléphone. Cette version est équipée de 12 Go e RAM et d’une ouverture focale plus grande que pour la version standard, f/1,47.
Xiaomi propose également une version light de son dernier flagship, avec le Mi 9 SE (écran de 5,99 pouces et processeur SnapDragon 712).
Évidemment, la présentation officielle s’est déroulée en Chine, dévoilant la date de sortie (26 février) et les prix des smartphones uniquement pour le pays. Comptez 2999 yuans (394 €) pour le modèle 6 Go, 3299 yuans (433 €) pour la version 8 Go et 3999 yuans (525€) pour le modèle Transparent et ses 12 Go. Le modèle Mi 9 SE, quant à lui, sera disponible quelques jours plus tard, le 1er mars au prix de 1999 yuans (263€) pour la version 6 Go et 2999 yuans (302 €) pour la version 8 Go.
La date de sortie pour l’Europe et les prix des téléphones devraient être communiqués la semaine prochaine. La gamme de prix semble se situer légèrement au-dessus de celle du précédent modèle, le Xiaomi Mi 8.

Tuesday, February 19, 2019

Huawei dévoilera son prochain flagship le 26 mars à Paris

S’il sera présent au Mobile World Congress de Barcelone, fin février, Huawei n’y dévoilera pas son nouveau flagship.

Le géant chinois lèvera le voile sur son prochain flagship à l’occasion d’un événement presse organisé à Paris le 26 mars.

Attendu au tournant, le P30 se positionnera comme un nouveau rival pour le futur Galaxy S10 et l’iPhone XI.

Lors du Mobile World Congress, Huawei devrait lever le voile sur un autre smartphone, pliable cette fois.

Le P30 devrait à nouveau introduire plusieurs nouveautés majeures, côté photographie, grâce en partie à son partenariat avec le spécialiste allemand de la photo Leica.

Chrome : un bug empêche les extensions de fonctionner chez certains utilisateurs

La 72ème version de Chrome empêche certaines extensions de fonctionner correctement.

C’est le site Techdows qui a identifié le problème en premier. Certains utilisateurs du navigateur Chrome ne peuvent plus utiliser correctement leurs extensions, la faute à une mise à jour du navigateur qui aurait introduit un bug qui n’affecterait qu’un nombre réduit de machines.

Certains utilisateurs d’ad-blockers ont ainsi remarqué que des publicités s’affichaient à nouveau dans leur navigateur, sans qu’ils aient touché à quoi que ce soit. D’autres extensions seraient également concernées.

Selon Google, le problème affecterait moins de 0,1% des utilisateurs de son navigateur. Assez paradoxalement, le géant du web ne prévoit pas de correctif vu le très maigre taux de machines affectées.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe une façon de réactiver les extensions défaillantes en se rendant dans chrome://flags, en recherchant #network-service et en le désactivant. En relançant Chrome, tout devrait à nouveau fonctionner!

Android : 17.000 applications pistent les utilisateurs à leur insu

Près de 17.000 applications disponibles sur Play Store ne respecteraient pas les règles de confidentialité de Google et enregistreraient les données des utilisateurs sans leur consentement.

À l’origine de cette révélation, l’étude de l’International Computer Science Institute qui a mis en lumière la présence de très nombreux éditeurs malhonnêtes sur le Google Play Store. Selon l’étude, ce sont près de 17.000 applications qui ne respectent pas les règles de confidentialité en vigueur sur la boutique virtuelle de Google. Cette infraction se traduit par la récolte et la conservation des données personnelles des utilisateurs à leur insu.

Les applications en question ne sont pas, comme on pourrait le croire, éditées par des petites sociétés inconnues. En effet, le rapport révèle que parmi ces 17.000 applications, on retrouve de grandes entreprises telles que Rovio (Angry Birds), Audible (Amazon) ou encore Flipboard. Ces applications sont parfois très populaires et ont été téléchargées parfois jusqu’à 500 millions de fois comme le souligne le chercheur en cybersécurité Serge Egelman.

Dans les faits, l’infraction de ces applications outrepasse la récolte de données autorisées par Google et pour lesquelles le consentement de l’utilisateur doit être obtenu, comme leur identifiant à des fins publicitaires. Ici, les applications mises en cause conservent les identifiants des utilisateurs et les relient à d’autres données telles que les adresses MAC, le numéro IMEI des smartphones, numéro de série carte SIM et l’identifiant Android à l’insu des utilisateurs. Ces informations sont alors vendues ou envoyées à des annonceurs.

En croisant ces données, un réseau publicitaire est en mesure d’identifier précisément un utilisateur et de le pister lorsqu’il utilise son smartphone. Grâce à ce profilage d’utilisation d’applications, les publicitaires pourront adapter leurs publicités.

Suite à ces révélations, Google a annoncé que des mesures avaient déjà été prises contre les applications et éditeurs en infractions avec ses règles de confidentialité. « Il est strictement interdit de combiner l’identifiant publicitaire avec l’identifiant de l’appareil dans le but de personnaliser les annonces. Nous examinons constamment les applications, y compris celles qui sont énumérées dans le rapport du chercheur, et nous prendrons des mesures lorsqu’elles ne sont pas conformes à nos politiques », a ainsi indiqué un porte-parole de Google.

La firme de Mountain View n’a toutefois pas communiqué sur le fond des mesures prises ni sur le nombre d’applications concernées.

Apple dépose un nouveau brevet pour un iPhone pliable

Le Pomme vient de déposer un nouveau brevet à propos d’un smartphone flexible. De quoi renforcer l’idée selon laquelle Apple travaillerait bien sur une telle technologie.

L’année 2019 s’annonce comme une année charnière pour les smartphones pliables. Si de nombreux fabricants s’apprêtent à lever le voile sur leur propre modèle, la Pomme semble vouloir prendre son temps. D’après les analystes, la firme californienne ne prévoit pas de sortir un tel smartphone dans le courant des prochaines mois. Cela ne signifie pas pour autant qu’elle ne s’intéresse pas au sujet.

En effet, Apple travaille sur sa propre technologie de smartphone pliable depuis 2016, déposant régulièrement des brevets à ce sujet. Et le projet semble toujours d’actualité comme le laisse penser le récent dépôt d’un nouveau document de la Pomme auprès des autorités américaines compétentes.

Celui-ci vient faire écho à un autre document déposé en octobre dernier et apporte quelques précisions sur la vision d’Apple à propos des smartphones flexibles.

Il semble que la Pomme miserait sur un appareil mobile à double écran, un à l’avant et un second à l’arrière. Bien que les dessins soient très schématiques, on peut tout de même observer que le smartphone pourrait se plier en deux ou trois points, grâce à des charnières.

Comme d’habitude, le dépôt de ce brevet ne signifie pas qu’Apple l’exploite un jour. Cependant, l’aboutissement des dessins et la mise à jour du brevet laissent penser que la Pomme entend bien protéger ses mécanismes, voire les utiliser.

Monday, February 18, 2019

Nouveau Batterie pour Kyocera Duraforce PRO E6820 E6810,KYOCERA SCP-67LBPS 3240mah

KYOCERA SCP-67LBPS téléphone Portable Batterie, 3240mah 3.8V|Li-ion Batterie pour Kyocera Duraforce PRO E6820 E6810 téléphone Portable,KYOCERA SCP-67LBPS Batterie tout neuf avec 1 an de garantie,Prix bas,100% compatible SCP-67LBPS. KYOCERA SCP-67LBPS téléphone Portable Batterie livraison rapide, le meilleur service
SCP-67LBPS

Spécifications du produit

  • Marque:Kyocera
  • Capacité:3240mah
  • Tension:3.8V
  • Couleur:
  • Type:Li-ion

Numéros de pièces compatibles:

Cette batterie est aussi compatible avec:

Kyocera Duraforce Pro E6810 E6820 E6830

Kyocera SCP-67LBPS Batterie aux normes CE, garantie 12 mois.

* Kyocera SCP-67LBPS Batterie adaptable (tout neuf)
* Longue durée de vie grâce à des cellules de qualité.
* Parfait Cette batterie fonctionne parfaitement bien sur Kyocera SCP-67LBPS .
* Batterie pour Kyocera SCP-67LBPS a été testée et certifiée pour garantir un fonctionnement parfait sur votre ordinateur portable.
* Batterie pour Kyocera SCP-67LBPS de remplacement pour ordinateur portable est conçue pour atteindre ou dépasser les spécifications du fabricant d'origine.
* Batterie longue durée pour Kyocera SCP-67LBPS.
* Caractéristiques supérieures à celles de la batterie ordinateur portable Kyocera SCP-67LBPS origine.

230W Adaptateur secteur ADP-230GB Chargeurs pour ASUS ADP-230GB

ASUS ADP-230GB Alimentation Ac Adaptateur Chargeur PC Portable pour ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ028T GX501GI-XS7, ADP-230GB chargeur pc portable, pas cher. ASUS Laptop/PC Portable Adaptateur/Chargeur,adaptateurs pour plus de 90.000 appareils différents!Plus de 600.000 clients!
ADP-230GB

Spécifications du produit

  • Marque:ASUS
  • Capacité:100-240V,50-60Hz(for worldwide use)
  • Tension:19.5V 11.8A, 230W
  • Couleur:
  • Type:GSB368

Numéros de pièces compatibles:

ADP-230EB T ADP-230GB B

Cette batterie est aussi compatible avec:

ASUS ROG Zephyrus M GM501GS-XS74
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-XS71
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-XS74
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ028T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-XS74 GM501GS-XS74
ASUS ROG Zephyrus GX501GI-XS7
ASUS ROG Strix Scar Edition GL703GS-XS74
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-XS71
ASUS ROG Strix GL703GS-DS74
ASUS ROG Zephyrus M GM501GS-EI004T
ASUS ROG STRIX GL504GS-XS76
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-XS74
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ028T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ025T
ASUS ROG Strix Scar Edition GL703GS-E5036T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ022T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ058T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ020T
ROG Zephyrus M GM501GS-EI015T
ROG Zephyrus M GM501GS-EI004T
ROG Zephyrus M GM501GS-EI002T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ028T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ021T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ027T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ038T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ022T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ005R
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ025T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ030T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ043T
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-GZ020R
ASUS ROG Zephyrus GX501VI-XS75
ROG Zephyrus M GM501GS-EI013T
ROG Zephyrus M GM501GS-EI003T
ASUS ROG Strix Scar Edition GL703GS-E5035T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ066T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ026T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ036T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ042T
ASUS ROG Zephyrus GX501VS-GZ070T
ASUS ROG STRIX SCAR II GL504GS-XS76
ASUS ROG STRIX SCAR II GL504GS-DS74

ASUS ADP-230GB: Description du produit

   
*Remboursement de 30 jours !100% neuf !Garantie : 12 mois
* Chargeur ordinateur portable 100% compatible constructeur.
* chargeur ordinateur portable ASUS ADP-230GB Réspecte l´environnement selon les Normes Européennes RoHS.
* ASUS ADP-230GB AC Adapter pour 19.5V 11.8A, 230W 100-240V,50-60Hz(for worldwide use) AC Power Adapter for 1 an de garantie,100% compatibles OEM.
* Tous nos adaptateurs ont été soumis à des tests et contrôles de qualité approfondis afin que les articles que vous achetez soient conformes à des standards de qualité élevés.
* Ruebatterie.fr vous propose exclusivement des produits de grande qualité. Ainsi, vous pouvez acheter en toute confiance.

Rue Batterie : Batterie PC Ordinateur Portable ASUS - ASUS B41N1711 batterie

Sur RueBatterie.fr, batterie ASUS B41N1711, batteries ASUS B41N1711 1 ans de garantie, 30 jours remboursé, 100% neuf!
B41N1711

Spécifications du produit

  • Marque:Asus
  • Capacité:64Wh/4240mAh
  • Tension:15.2V
  • Couleur:
  • Type:Li-ion

Numéros de pièces compatibles:

Cette batterie est aussi compatible avec:

Asus GL503VD GL703VD Series
Asus FX503VM FX63VD Series

Asus B41N1711 Batterie aux normes CE, garantie 12 mois.

* Asus B41N1711 Batterie adaptable (tout neuf)
* Longue durée de vie grâce à des cellules de qualité.
* Parfait Cette batterie fonctionne parfaitement bien sur Asus B41N1711 .
* Batterie pour Asus B41N1711 a été testée et certifiée pour garantir un fonctionnement parfait sur votre ordinateur portable.
* Batterie pour Asus B41N1711 de remplacement pour ordinateur portable est conçue pour atteindre ou dépasser les spécifications du fabricant d'origine.
* Batterie longue durée pour Asus B41N1711.
* Caractéristiques supérieures à celles de la batterie ordinateur portable Asus B41N1711 origine.

Sunday, February 17, 2019

La réalité virtuelle pourrait s’inviter bientôt sur Switch

De nombreuses informations font état que Nintendo pourrait bel et bien permettre à sa console hybride, la Switch, de proposer un mode compatible VR.
Cette nouvelle peut sembler difficile à croire, mais de nombreuses rumeurs et informations vont dans ce sens. Nintendo est justement en train d’expérimenter la réalité virtuelle sur sa dernière console. Cette fonctionnalité pourrait arriver dans un avenir plus ou moins proche.
L’an dernier, CNET avait rapporté l’existence d’un mode de test de réalité virtuelle sur Switch. On ne peut cependant qu’apercevoir l’écran se scinder en deux, mais cela confirme que des expérimentations ont lieu. Un brevet existe et a même été déposé l’an dernier.
Cependant, de nombreux pontes de la compagnie essaient de calmer le jeu et il se pourrait que ces tests ne dépassent pas le stade de l’expérimentation. Même si le précédent président de Nintendo, Tatsumi Kimishima, avait avoué que la société était en train d’étudier l’ajout d’une telle fonctionnalité.
Dans tous les cas, tout porte que le développement de la réalité virtuelle sur Switch n’ait pas été abandonné. Nous ne sommes donc pas à l’abri d’une révélation cette année.

Wednesday, February 13, 2019

Android : comment vider le cache ou effacer le stockage d’une application

Vider le cache est souvent la solution lorsqu’une application Android ne répond plus, plante à de multiples reprises ou est victime d’une série de bugs. On vous explique comment faire.
Quand une application Android ne répond plus, le première étape est d’en forcer l’arrêt pour la redémarrer. Mais lorsque les problèmes persistent, il faut tenter de vider le cache. Ce processus permet de se débarrasser de la mémoire à court terme de votre application. Le cache permet en effet de conserver des données pour ne pas devoir les télécharger à chaque fois que vous ouvrez l’application. Et c’est bien souvent la source des bugs qui la font planter !
Comment vider le cache ou effacer le stockage d’une application Android
Pour cela :
Rendez-vous dans les Paramètres de votre smartphone Android
Allez ensuite dans Applications et notifications
Choisissez l’application Android qui pose problème
Allez dans Stockage
Cliquez sur Vider le cache et/ou sur Effacer le stockage
Important : vider le cache ne supprime pas certaines données comme les identifiants ou les sauvegardes de jeux. C’est une première étape avant d’Effacer le stockage, qui, là, efface toutes les données de l’application.
Ouvrez ensuite l’application pour vérifier que tout est rentré dans l’ordre !
Avec le temps, le cache d’une application se retrouve rapidement encombré mal rangé, et peut générer des erreurs qui finissent par ralentir son fonctionnement. Voire de provoquer un bug vous empêchant de l’utiliser normalement, voire de l’utiliser tout court.
Si vider le cache n’a pas suffi à résoudre vos soucis, on vous invitera à effacer le stockage de votre application. Cette manoeuvre va se débarrasser de tous les paramètres et données associés à l’application. Si vous effacez les données d’un réseau social, comme Facebook ou Instagram, vous devrez donc vous reconnecter. En fait, l’application se comporte exactement comme si vous veniez de l’installer la première fois.

La Russie va se déconnecter de l’Internet

La Russie veut évaluer sa capacité à se désolidariser du World Wide Web et va donc se déconnecter pendant une courte période.
Le gouvernement russe est en train de vouloir tester les infrastructures réseau du pays. Cela ne devrait durer que l’espace d’un instant, sans plus de précisions sur cette durée.
Cet exercice, qui sera fait l’échelle du pays entier, est effectué afin de pouvoir établir ses capacités contre une cyber attaque. Comme le rapporte le site de la BBC, ce test devrait être effectué avant le 1er avril 2019.
Cela partie intégrante d’un projet de loi, dans le cas où des puissances étrangères agiraient afin d’isoler la Russie de l’Internet. Appelé programme national d’économie numérique, cette loi qui demande entre autre aux FAI russes de garantir leur capacité à fonctionner de manière autonome.

Monday, February 11, 2019

Microsoft dévoilera bien HoloLens 2 au MWC

Microsoft tease à propos de l’évènement que la société américaine tiendra à l’occasion du Mobile World Congress à Barcelone le 24 février prochain afin d’annoncer le HoloLens 2.

Microsoft commence enfin à communiquer à propos de la venue de pontes de l’entreprise lors du Mobile World Congress. C’est Alex Kipman travaillant sur la suite du projet du HoloLens qui vient de partager une vidéo sur son propre compte YouTube.

Cette courte vidéo est assez cryptique et mystérieuse. Malgré tout il est possible de distinguer le mot Barcelona suivi des numéros 02 24 19.

Cela correspond sans surprises à la date de la conférence de presse qui se tiendra le 24 février 2019 à Barcelone, en amont du Mobile World Congress.

Satya Nadella, la CEO de Microsoft, viendra en personne présenter cette conférence. Elle sera accompagnée par la vice-présidente Julia White et par ce fameux Alex Kipman.

Avec cette vidéo partagée par ce dernier, tout porte à croire que le sujet du HoloLens sera sur la table lors de cette conférence de presse.

Montres connectées : pourquoi elles peinent à séduire

Considérées autrefois comme un “marché porteur”, les montres connectées ont aujourd’hui bien du mal à séduire le consommateur, la faute en grande partie à l’inefficacité des constructeurs… Explications.

C’est un fait, si les fabricants de smartphones se bousculaient il y a quelques années pour nous livrer de nouveaux modèles de montres connectées tous les six mois, c’est le calme plat aujourd’hui sur le marché des wearables. Plusieurs facteurs expliquent cette perte d’engouement.

Une autonomie désastreuse

Soyons clairs : si les consommateurs sont prêts à recharger chaque nuit leur smartphone, ils n’ont certainement pas l’envie de procéder de façon identique pour leur montre connectée… Et c’est un fait, aujourd’hui encore, la majorité des montres connectées disposent d’une autonomie désastreuse. La majorité des modèles tiennent un à deux jours tout au plus. Les chiffres le prouvent, la plupart des acheteurs rangent leur montre au placard un mois seulement après en avoir fait l’acquisition. Il suffit de faire un tour sur les plates-formes de ventes de deuxième main pour s’en convaincre : les montres connectées ont bien du mal à convaincre les acheteurs et leur autonomie n’y est pas pour rien.

Une espérance de vie très courte

Autre gros défaut des modèles connectés : une espérance de vie très courte liée à un cycle de mise à jour réduit. Vu le prix auxquelles elles sont proposées, les montres connectées n’offrent pas vraiment ce qu’on pourrait appeler un bon retour sur investissement. N’espérez – de façon générale – pas les tenir plus de deux ans. Soit, parce que l’écran se sera fissuré, soit parce que le support logiciel se sera arrêté. Les propriétaires de la montre Pebble se reconnaîtront dans ce commentaire. Un an après la sortie de la dernière montre Pebble, le support s’arrêtait et il devenait impossible de télécharger applications et watchfaces. Et puis bien sûr, il y a la question de la batterie. Contrairement aux montres mécaniques, les modèles connectés sont alimentés par une batterie qu’il faut recharger et qui a par nature une durée de vie limitée dans le temps. Si celle-ci meurt au bout de trois ans, impossible de la réparer. Direction donc le magasin spécialisé pour lui trouver une remplaçante…

Une qualité de service déplorable

Vous aurez tôt fait de le remarquer : chaque OS a ses exclusivités et il est difficile de ne pas être déçu en achetant une montre connectée. Si vous venez de craquer pour la dernière montre de Fitbit par exemple, vous remarquerez ainsi très vite qu’il n’existe aucune appli Spotify compatible avec le système. Pour écouter de la musique, il vous faudra passer par Deezer. Quid si vous aimez Spotify? Il faudra changer d’abonnement et recommencer vos playlists. Même topo pour ce qui est des applis de fitness, de course ou des services. Avec les montres connectées, le consommateur n’est pas roi, il subit le diktat des développeurs et il doit donc effectuer une véritable étude de marché avant de passer à la caisse, pour s’assurer que les services qu’il utilise sont disponibles sur la montre qu’il prévoit d’acheter.

A cela s’ajoute un autre facteur qui a son importance : toutes les montres ne sont pas compatibles avec tous les modèles de smartphones. De manière générale, c’est souvent votre smartphone qui définit la montre que vous vous procurerez. Si vous disposez d’un iPhone, vous vous procurerez probablement une Apple Watch – parce que les modèles sous Android n’offrent pas des fonctionnalités étendues. Inversement, si vous avez un smartphone Android, vous ne pourrez par utiliser une Apple Watch… Le vice va même plus loin pour certaines marques de montres qui ne tournent qu’avec certains modèles de smartphones. Vous l’aurez compris : il faut faire très attention avant de craquer, sous peine d’avoir droit à une mauvaise surprise…

Microsoft conseille de ne plus utiliser le navigateur Internet Explorer

Cible de nombreuses moqueries des internautes, Internet Explorer compte un nouveau détracteur : l’expert en cyber-sécurité de Windows. L’homme incite les utilisateurs du navigateur à migrer vers une alternative plus moderne.

Il y a quatre ans, Microsoft dévoilait Edge, son navigateur flambant neuf destiné à remplacer Internet Explorer. Pourtant, ce nouveau venu n’a pas réussi à totalement détrôner son prédécesseur. En effet, nombreux utilisateurs de Windows 7 surfent encore sur Internet Explorer, enregistré comme navigateur par défaut sur les machines, notamment dans les entreprises.

Une situation risquée pour Chris Jackson, expert en cyber-sécurité et architecte principale de Windows, qui liste les risques liés à l’utilisation d’Internet Explorer, dans un article publié sur le forum de l’entreprise. La raison première est que Microsoft ne prend plus en charge ce navigateur has-been. Il n’est donc plus mis à jour et ne correspond plus aux normes du web.

Pour les entreprises, utiliser Internet Explorer entraîne une « dette informatique ». Cette terminologie fait référence au rapport de coût et de qualité d’utilisation. Avec Internet Explorer, le cycle de vie et sa maintenance reviennent plus cher que sa qualité de surf.

Au-delà du coût, avoir recours à un navigateur obsolète peut entraîner de nombreux problèmes pour les entreprises, notamment de compatibilité et l’impossibilité de faire évoluer un site. Les solutions mises au point pour des navigateurs modernes ne sont pas testées pour fonctionner sur cette technologie obsolète ce qui peut poser problème pour consulter ou utiliser des outils en ligne.

Si la plupart des internautes surfent sur Chrome, Mozilla ou encore Ecosia, Microsoft compte bien faire d’Edge une référence. Jusqu’à présent, ce n’était pas forcément le cas. Le nouveau navigateur de Windows n’a pas vraiment convaincu les utilisateurs, son incompatibilité avec Windows 7 et 8 n’a pas aidé.

Microsoft espère changer les choses avec une nouvelle version de son navigateur qui sera disponible sur Windows 7 et 8. De quoi aider les entreprises à migrer vers cette solution plus moderne. Mais Internet Explorer devrait encore avoir de beaux jours devant lui puisqu’il est difficile d’imaginer que les entreprises et utilisateurs attachés à leur navigateur habituel prennent la peine de faire de changer leur navigateur par défaut. À leurs risques et périls.

Chrome va bientôt se doter d’un mode “jamais lent”

Google continue de faire évoluer son navigateur internet Chrome et vient d’évoquer l’arrivée prochaine d’un mode permettant une navigation allégée et moins gourmande en ressources.

Google continue de vouloir optimiser et faire évoluer son navigateur internet. Chrome est en effet très gourmand en ressources. Cela peut notamment s’avérer être problématique sur les configurations restreintes.

La firme de Mountain View prévoit donc en conséquence de lancer un mode “never slow” (“jamais lent”). Ceci afin que l’expérience utilisateur se retrouve moins perturbée. Ce mode est annoncé comme étant moins gourmand en ressources aussi bien au niveau matériel qu’en usage de données.

Lors de l’ouverture d’une page internet, ce nouveau mode “jamais lent” bloquera le contenu trop lourd afin d’accélérer la navigation. De plus, la taille des images et des différents fichiers de navigations seront aux aussi limités. Une image ne pourra pas peser plus d’1 Mo, pour un maximum de 2 Mo sur une même page, un fichier CSS 100 Ko et un script 50 Ko, d’après les informations partagées sur ChromeStory.

Par contre, ce mode pourrait potentiellement perturber la navigation de sites internet chargés en contenu. Il est donc à espérer que Google permette de sortir du mode “jamais lent” dans le cas où une page ne s’affiche pas complètement.

Cependant, cela est encore loin de la version allégée tant désirée que de nombreux utilisateurs demandent. Mais ce nouveau mode reste néanmoins un pas en avant pour une navigation internet simplifiée via Google Chrome.

iPhone : Apple garderait finalement le port Lightning

D’après ce qu’il vient d’être rapporté, Apple conserverait encore cette année le port Lightning sur les appareils à venir.

Apple ne semble pas encore totalement décidé à abandonner son port propriétaire. Le changement du port Lightning pour de l’USB C ne sera, a priori, pas pour cette année.

D’après le site japonais Macotakara, Apple utilisera encore en 2019 le port Lightning. La firme va continuer à fournir avec ses appareils, les mêmes chargeurs 5W, accompagnés d’un câble Lightning vers de l’USB traditionnel.

Malgré l’arrivée du port USB C sur l’iPad Pro, la société américaine préfère jouer le jeu de l’économie. Ce qui s’explique notamment par une période de recette en recul par rapport à ce qui avait été espéré.

Apple fait tout pour faire durer ses accessoires propriétaires le plus longtemps possible. Cette décision oblige ses utilisateurs à se procurer un chargeur spécifique ou à se tourner vers des solutions alternatives. Cela afin de tout simplement pouvoir bénéficier de la charge rapide en Power Delivery.

Sunday, February 10, 2019

Comment bien choisir sa batterie externe pour smartphone

Encombrement, poids, capacité, connecteurs … le choix de la batterie externe idéale dépend de nombreux facteurs. Nous vous guidons pour trouver le modèle qui répond le mieux à vos besoins.
La batterie de votre smartphone est à plat ? Et vous n’avez pas de prise de courant à proximité ou vous avez oublié votre chargeur ? La solution est d’acheter une batterie externe pour votre smartphone. Il en existe de toutes les tailles et pour tous les budgets. Mais encore faut-il choisir le bon modèle. Voici les critères à prendre en compte :
Quelle capacité ?
La capacité d’une batterie s’exprime en mAh. Cette donnée est importante car elle permet de savoir combien de charges complète elle peut offrir à votre smartphone et s’il faudra du temps pour la recharger totalement. Une « petite » batterie possède une capacité de 3000 mAh tandis que des gros modèles dépassent les 20 000 mAh. Tenez compte du fait que les batteries de smartphones sont alimentées en 5 V tandis que celles des boîtiers ont une tension de 3,6-3,7 V. Il faut procéder à un calcul mathématique simple pour savoir quelle est la capacité minimale pour offrir une charge complète. Par exemple, un Galaxy S9 embarque une batterie 3000 mAh. Il faut au moins une batterie externe de 3000 x 5/3,6 = 4167 mAh pour recharger complètement l’appareil. Nous vous conseillons de prendre un modèle de 5000 mAh pour avoir une bonne marge, voire 10 000 mAh si vous désirez faire plusieurs charges. Vous pouvez connaître la tension de la batterie externe par une simple division si le constructeur indique sa quantité d’énergie en Wh (tension = quantité d’énergie / capacité).
Tenez compte des dimensions et du poids
Certaines batteries externes se glissent dans la poche et d’autres nécessitent un sac. Plus la capacité est élevée, plus la batterie sera lourde et encombrante. Par exemple, une batterie de 20 000 mAh avoisine les 500 g, contre 250 g pour une 10 000 mAh et environ 120 g pour 5000-6000 mAh. Cette dernière tient facilement dans la main et peut se loger dans une poche.
Quels connecteurs ?
Les batteries externes sont dotées de plusieurs connecteurs USB qui agissent en sortie, pour charger le smartphone, en entrée, voire dans les deux sens. Le connecteur USB Type-A de « base » délivre une tension de 5 V et une intensité d’environ 2 A, suffisante pour la plupart des smartphones pour une charge en vitesse « lente ». Les constructeurs ont prévu des fonctions « intelligentes » qui ajustent la tension et l’intensité en fonction des besoins de l’appareil. Par exemple, la technologie iSmart de RAVPower offre une intensité jusqu’à 2,4 A. Choisissez une batterie avec deux ports en sortie si vous souhaitez recharger deux appareils en même temps. Attention : dans ce cas, il est possible que le temps de charge soit allongé, car l’intensité peut baisser si les deux ports sont connectés. Si votre appareil mobile est doté d’un port USB Type-C, recherchez une batterie avec le même type de connecteur et utilisez un câble USB Type-C pour une charge optimale.
Vérifiez la compatibilité avec la charge rapide
Les constructeurs ont développé des technologies de charge rapide, mais il n’y a hélas pas de standard universel. Il faut donc chercher dans les caractéristiques de la batterie externe si elle est compatible avec la charge rapide de votre smartphone. Si ce dernier est doté de composants Qualcomm, cherchez si la batterie est compatible avec la technologie Quick Charge (2.0 ou 3.0) et si les ports USB sont capables de délivrer une puissance de 18 W. La version 4.0+ de la technologie offre la compatibilité avec le standard USB Power Delivery (voir plus bas). Samsung utilise pour sa part la technologie Adaptive Fast Charging (9 V/1,67 A) pour ses smartphones avec processeur Exynos, qui est en théorie compatible avec Quick Charge 2.0.
OnePlus utilise pour sa part la technologie propriétaire Dash Charge (5 V/4 A), ce qui rend les batteries externes compatibles très rares.
Avec l’USB Type-C est apparu un nouveau standard d’alimentation, baptisé USB Power Delivery (USB-PD). Ce standard permet de négocier le mode d’alimentation optimal entre le chargeur, le câble USB Type-C et l’appareil mobile. Les derniers iPhone (à partir des modèle 8 et X) exploitent ce standard, à condition d’acquérir un câble USB Type-C vers Lightning. Ensuite, toute batterie externe compatible Power Delivery et offrant au moins une puissance de 18 W sur le port USB Type-C fera l’affaire. Enfin, signalons que la technologie SuperCharge (5 V/2 A ou 4,5 V/5 A ou 5 V/4,5 A) des derniers smartphones Huawei est compatible avec le standard USB Power Delivery.
Enfin, certains boîtiers disposent d’un système de charge rapide en entrée, ce qui peut être pratique pour réduire le temps de charge de la batterie externe, si vous disposez d’un chargeur compatible.
Les petits « plus »
Outre les connecteurs présents, tenez compte de la lisibilité de l’indication du niveau de charge. Par exemple, certaines batteries embarquent un petit écran à cristaux liquides pour indiquer le pourcentage de charge restante. Certains modèles disposent de câble USB intégrés, ce qui peut être pratique si vous ne désirez pas emporter le câble de votre smartphone. Enfin, une pochette de transport se révélera appréciable pour protéger votre investissement.